Au bureau ! (pv Emilie&Neal)

Assis sur un tabouret accouder au bar des bas cartiers, je veinait de finir ma soirée … enfin si l’ont pouvais dire cela car j’étais a cette place depuis 18h 02 et actuellement nous étions le lendemain 8h07. Mes idées étaient complément noyer dans l’alcool, pour oublier pour disparaître .. rien ne m’importai … pour vous dire, même si la plus belle fille de la terre venait me faire plusieurs propositions alléchante a laquelle aucun homme ne peut dire non, je partirais en courant. Allais je mal ? Non . Depuis déjà bien longtemps j’ai tout ce que je veux dans la vie mais je ne peux pas oublier non je ne peux pas oublier ce que j’ai vécu…. Mais rien ne pourras plus jamais y changer. Pour certaine personne je leur fait croire que je garde la tête hors de l’eau pour ne pas qu’ils s’inquiète, es ce que j’arrive a les tromper ? Je ne sais pas.

Jetant un coup d’œil a mon téléphone, je lu un sms que j’avais reçu la veille.

« Vous avez rendez-vous a 8h00 avec un membre de votre équipe, Mlle Sanders, vous devrez la briefer sur une infiltration que celle-ci va effectuer sous vos ordres.

Ne soyez pas hors tard ! »

Je regarda ma montre 8h10 … adieux ponctualité … Quoi que, Emilie avait l’habitude de mon retard car je n’ais jamais était a l’heure a aucun de mes rendez vous. Je regardais alors le cimetière de bouteille de whisky autour de moi je commença alors a me lever difficilement de mon siège.

- Ne bouger j’appelle un taxis ! me dit le barman

Je lui lança un regard, me tient au comptoir et ajouta avec une voix d’alcoolique

- Non pas la peine je sais conduire, et si vous appelez un taxis ou si vous tentez de me retenir je vous met en prison !

je dit tout cela en cherchant avec difficulté de ma main libre mon badge que je trouva un bout d’un certain temps.

La terre tourner autour de moi, l’alcool avait fait son effet attendue, ma tête était vide, mes pensées étaient brouiller et j’étais bien dans un monde ou personne ne m’emmerde la vie. Ma vu était flou mais je m’en foutais, je sorti les clef de ma voiture et me dirigea avec lenteur et difficulté jusque la sortie qui me parut très très lointaine je reversais quelques chaises qui me servait d’appuis sur mon passage. Je poussa la porte et la lumière m’aveugla, je me frottais les yeux, heureusement ma voiture était encore la garé devant ce bar. Je m’installa au volant de ma chevrolet impala, ha cette voiture me va tellement bien, je l’adore bien quelle en ai vu des choses.

Je ne sais pas comment je suis arriver jusqu’au bureau du F.B.I entier mais j’y étais parvenu, je remis mes affaires en place, repassa ma chemise avec mes mains, sortit de ma voiture et enfila ma veste en cuire et une paire de lunette de soleil, il était déjà 9h10, normalement dans un état moins alcoolisé il ne m’aurais fallut que 25 minutes du bar a ici en voiture … la j’avais mis environs 1h …

Je monta dans l’ascenseur sans croiser personne ni même un bonjour, arriver a mon étage je partie directement a mon bureau, la porte du fond sans même faire attention a ma secrétaire qui devait me beugler que j’était hors tard sur mes dossiers ou encore j’avais louper plusieurs appelles ect…

Quand j’ouvrit la porte je la vis toujours aussi belle assise sur une chaise je ne voyais que son dos mais je savais très bien que c’était elle, je fit le tour du bureau espérant ne pas quelle remarque dans l’état dans le quel j’était, ma tête allais exploser et mon estomac commencer a remonter, mais je ne tentais de rien laisser paraître, mais je pense que ma voix du me trahir, je m’assit sur ma chaise, passa une main sur mon visage, me pencha sur la première feuille que je trouva, sans pouvoir la lire et dit.

- [b]Alors, sais tu pourquoi tu es ici ? Es ce que quelqu’un ta parlais du pourquoi et du comment ?[/b]

Je la connaissais très bien mais je n’avais pas de temps a perdre avec les formalités, je ne voulais pas parler d’autre chose que sa mission, je ne voulais que réussite pour elle. Plus tard j’en était persuader elle prendra ma place dans la hiérarchie.

Invité

Depuis toujours, Emilie détestait les réveils. Peu importe l’heure, la musique choisie ou le système adopté, c’était le principe même du réveil qui n’avait jamais su lui sied. Alors aujourd’hui – comme les autres jours – c’est dans un geste lourd et massif que sa main vint percuter l’objet du mal. Une main, d’ailleurs, c’est tout ce qu’on pouvait distinguer d’elle. Perdu dans le lit, son corps se confondait au milieu de nombreux oreillers et d’une couette moelleuse et dodue. Pour une fois, la jeune agent s’était vu offrir une soirée de repos complète. Elle n’avait cependant pu mettre à profit que peu de temps de la nuit, puisqu’une insomnie récalcitrante l’avait occupée jusqu’à ce que – exténuée – elle s’endorme de fatigue. Avant de partir chez elle, on lui avait confié un dossier que peu de personnes avaient consulté. Au visage de celui qui le lui avait remis, cela ne sentait rien de positif, et les craintes formées par la jeune femme furent fondées. Quelques mois plus tôt, Emilie Sanders avait enquêté sur un trafic d’armes progressant dans la région. Alors que l’enquête en était arrivée au point mort, il semblait qu’il n’y avait plus qu’une solution possible : infiltrer le réseau.

Si le passé des moins glorieux d’Emilie n’était connu de personne en dehors de Neal (son supérieur hiérarchique direct), personne dans le service ou au FBI ne savait qu’elle pouvait disposer des contacts utiles pour infiltrer le réseau. C’était donc pour ses états de services et sa connaissance du dossier qu’elle avait été placée sur cette mission. Ce que tout le monde évitait de dire, c’est qu’elle pouvait dire adieu à sa vie privée et à son quotidien : tout serait modelé selon les besoins de l’infiltration. Fort heureusement, rien ne l’attendait à la maison. Pas de chien, chat ou poisson rouge, et encore moins d’homme ou d’enfant. Mais elle avait vu tellement d’autres agents qui – dans un moment de faiblesse – avait traversé la ligne blanche et plongé dans le clan adverse, qu’elle se demandait si cela était une bonne idée de la mettre à ce poste s’ils avaient connaissance son passé.

Les doutes et hésitations se dissipèrent en même temps que les traces d’une nuit agitée lorsqu’Emilie but son premier café du matin. Par la fenêtre de son appartement, le soleil levant perçait à travers les arbres de Central Park. 7h10. Décidemment, ce matin était vraiment plus difficile que les autres matins. Si la jeune femme ne se dépêchait pas, elle finirait par être en retard. Elle se dirigea donc vers la salle de bain où après une rapide toilette, elle maquilla ses yeux d’un simple trait d’eye-liner comme elle en avait l’habitude, puis brossa ses cheveux ondulés qu’elle enroula en chignon. Elle s’habilla ensuite d’un jean noir, d’un top en soie corail puis une veste de tailleur noire. Attrapant sous le bras le dossier de l’enquête et une pomme, et de l’autre main son sac à main où se situaient plaque, arme, badge et clefs en tout genre, l’agent enfila une paire d’escarpins comme à son habitude et se dirigea vers la sortie de son appartement.

7h40. Il faudrait moins d’un quart d’heure à Emilie pour rejoindre les bureaux en voiture. Les rues empruntées étaient dégagées, ce fut donc rapidement qu’elle rejoignit le FBI. Elle croisa quelques collègues dans les couloirs ou ascenseur, qu’elle salua d’un sourire poli et agréable. Enfin arrivée dans le service où elle travaillait, C’est une pomme à moitié entamée qu’elle croquait alors qu’elle saluait ses collègues d’un ton – cette fois – plus enjouée. Si cela pouvait paraitre surfait, ce sourire quotidien pouvait être sa meilleure arme, surtout pour cacher au mieux son stress. Car oui, tout aussi assurée qu’elle pouvait le semblait, le jeune âge d’Emilie pouvait lui porter préjudice dans ce genre de cas.

« Agent Sanders ? »

L’interpellée se retourna vers la voix qui s’était élevée derrière elle. Il s’agissait de la secrétaire de Neal qui, par moment pouvait réellement faire peur. Tirée à quatre épingles, droite comme un « i » et tout ce qu’il y avait de moins marrant. Elle reprit alors :

« L’agent Winchester n’est pas encore arrivé mais vous pouvez l’attendre dans son bureau… Il ne devrait… La femme insista sur la pause de quelques secondes, faisant comprendre que la suite n’était que pure fiction. Plus tarder !
- Je vous remercie, je prends mes affaires et m’y rends. »

Emilie sourit à la femme qui reparti sans broncher un mot à son bureau. Elle laissa éclater un rire qui accompagna un « Trop flippant ! » adressé à elle-même. La jeune femme termina son fruit qu’elle jeta dans sa corbeille, accrocha insigne et arme à sa ceinture et se dirigea vers le bureau de son supérieur, dossier à la main. Elle s’assit sur l’un des fauteuils qui faisait face à son bureau et commença à relire le dossier qu’elle devait probablement connaitre par cœur.

9h15. Après deux relectures du dossier, Emilie s’accorda à observer autour d’elle. Le bureau de Neal était à son image. Mais ses observations furent interrompues lorsque, à l’extérieur derrière elle, elle entendit la voix de la secrétaire se lever. Voulant garder cette image studieuse et professionnelle – et sachant pertinemment que Neal n’aimait pas qu’on observe lui ou son environnement – Emilie se replongea dans le dossier, bien qu’elle n’en lise pas clairement les mots, se concentrant plutôt sur les sons qui occupaient la pièce. Finalement, elle entendit son supérieur arriver derrière elle. Elle releva alors le regard du dossier pour le porter derrière elle et voir Neal qui vint s’assoir en face d’elle, à son bureau.

« Alors, sais-tu pourquoi tu es ici ? Est-ce que quelqu’un t’a parlé du pourquoi et du comment ? »

Emilie resta muette une fraction de seconde. Pas de « bonjour » ou « comment vas-tu ». Oui, c’est vrai. Il était là en tant que patron, et non pote ou ami. La jeune agent se ressaisit alors et répondit.

« Bonjour Neal, commença-t-elle en lui accordant un sourire. On m’a vaguement expliqué qu’il s’agissait du trafic d’armes de guerre que nous sommes parvenus à capter de part et d’autre de la ville. On s’en doutait que ça finirait ainsi, hein ? Essayant de faire décrocher un sourire à son supérieur, Emilie se dégagea la gorge en voyant l’échec de cette tentative et reprit plus sérieusement. Notre source peut nous avoir le contact d’un acheteur qui ferait partie du réseau qui les répand dans New York et ses environs. Si on laisse le réseau se développer, il pourrait atteindre D.C. Après une courte pause, l’agent continua. J’attends donc tes ordres : mon champ d’action, le plan que tu souhaites mettre en place… »

Durant son court monologue, Emilie n’avait quitté du regard Neal qui lui trouvait occupation dans des feuilles de-ci de-là son bureau. Ses traits étaient tirés, ses yeux fatigués, et ses mains tremblaient lorsqu’elles passaient d’une feuille à l’autre. Elle ne se décida cependant à soulever la chose immédiatement, préférant attendre que les termes de l’enquête soient discutés. Mais, clairement, ce n’était pas l’enquête ou l’infiltration qui l’inquiétait le plus dans les instants immédiats, mais plutôt Neal qui arrivait de plus en plus tard, de plus en plus alcoolisé, et de moins en moins celui qu’elle avait connu des années plus tôt…

Je la vis hésiter avant de me répondre en insistant sur le « Bonjour ».

- Bonjour Neal. On m’a vaguement expliqué qu’il s’agissait du trafic d’armes de guerre que nous sommes parvenus à capter de part et d’autre de la ville. On s’en doutait que ça finirait ainsi, hein ?

Elle tenta l’ironie c’était bien jouer mais je ne rentra pas dans son d’une part parce que je ne pouvais me permettre de sympathisé en ces lieux et d’une autre parce que si je me mettais a rire mon cerveau exploserait.

- Notre source peut nous avoir le contact d’un acheteur qui ferait partie du réseau qui les répand dans New York et ses environs. Si on laisse le réseau se développer, il pourrait atteindre D.C.

Après une courte pause, l’agent je put retrouver le dossier et enfin mettre la main sur le pourquoi elle était la, même si elle venait de me l’expliquer.

.- J’attends donc tes ordres : mon champ d’action, le plan que tu souhaites mettre en place…

Il était vrai que j’étais le mieux placé sur le papier pour parler d’infiltration, car je fait partie des meilleurs dans ce domaine, mais en ce moment j’avais juste envie d’un bon Doliprane et de mon lit. Je me prit la tête entre les mains, pris une grande inspiration pour me ressaisir. La en face de moi ce tenait une jeune fille prête a risquer sa vie sur mes conseilles douteux que j’allais lui donner, il ne me fallait pas me louper car j’y tenais comme un membre de ma famille a cette petite. Pour la faire attendre quelques minutes je leva une main en face d’elle.

- Trente secondes je lis le dossier. Dis-je simplement

Et je me mis a parcourir les page de textes flou avec des mots qui ressortaient par ci par la. Après une lecture rapide et laborieuse des pages les plus importante j’en conclut que j’accompagnerais mon agent sur le terrain, car sachant son passé je ne voulais risquer la rechute de ma demoiselle en détresse.

- Bien je t’accompagnerais, tu connais ton boulot … je releva la tête vers elle, ma voix n’étais pas très nette et plutôt roque, je pressa mon front contre ma paume et ajouta en baillant, on verra les détails de mon plan demain.

Car peut être que j’en aurais trouver un d’ici la, seul le temps pourrait me le dire, la je ne pouvais réfléchir mes idées étaient complètement confondus entre elles. Je revoyais toute mes bouteilles de la soirée elle volées en cercle autour de ma tête mes mains devenait tremblante, je tenta de me reprendre.

- Demain, on ce dit vers 15h dans mon bureau, et si on te parle de cette mission on as déjà conclut tout les plans d’actions ok.

Oui parce que sinon je serais encore dérangeais par le directeur (mon seul supérieur) qui me ferra encore une crise cardiaque, et peut être même qu’il pourrait confier cette mission a d’autres et sa c’était non, cette missions serait pour Emilie, elle y jouait beaucoup plus que moi. Car moi je m’en foutais d’être renvoyais ou rétrograder, depuis le temps j’ai appris a faire avec une fois l’on ma même envoyer aux archives pour dire. Mais ceci ferais tache sur le dossier de ma jeune protégée.

Je tentais de reprendre constance face a elle, cette jeune fille avec un look si bien soigner, elle était jeune belle et intelligente, certains (débiles) ne la voyais pas comme agent mais plus comme femme et ne pouvais voir son potentiel.

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