Un rendez-vous qui tourne mal (Nina&Ian) [Attention certaines scénes ou paroles peuvent choqué les ames sensibles et les plus jeunes : Interdit aux - de 16 ans]

Je me promener le long des immeubles en pensant a tout ce que j’allais faire dans la journée… puis je repensai que je n’avais rien à faire Ha si me concentré sur ce fameux Ryan de l’équipe de la NYPD. Je mis mes mains dans mes poches et en sortit une carte…. Je me rappelai alors cette jolie brune au doux nom de Nina et si à la place d’un homme je m’amusais un peu avec cette jolie demoiselle ? Oui.

Je décidai de lui envoyer un message :

« Coucou,

Nous nous somme rencontré dans ce café. Je souhaitais te revoir ceci serait ‘il possible ? Si oui rejoins-moi vers 20 H 30 sur les docks à Statent Islande.

Je t’attendrais la bas XXX Anthony »

Il me restait quelques heures pour m’installer et préparé mes instruments avant de rejoindre Nina pour notre rendez-vous enfin ci celle-ci accepte bien entendu, mais je ne pense pas que ceci devrais nous posez problème.
Je pris alors la direction de mon Audi, qui était garé sur un parking un peu plus loin. Des multiples idées me traversé la tête sur la façon dont je pourrais m’amuser de cette personne. Un sourire sadique me fendit le visage.

Encore somnolente, j’avais un grand mal à entrouvrir les yeux. Les rayons du soleil qui éclairaient la chambre m’aveuglaient, je clignais plusieurs fois des yeux avant de m’habituer à la luminosité de la pièce. Les bras de Matt me gardaient contre lui, je lui déposais un léger baiser dans le cou. Nous étions tout les deux rentrés tard de nos missions, je n’avais pas le courage de rentrer chez moi, seul il y a quelle que heures plutôt. Mon téléphone vibrait sur la table de chevet, je me libérais discrètement de l’étreinte de Matt pour prendre mon portable. Je décrochais et répondis d’une voix faible et presque inaudible pour ne pas déranger Matthew, qui dormait encore, même si c’était 17H de l’après midi.

- Agent Dobrev … Dis je dans un murmure.
- Nina … C’est Roy … Je vous dérange peut être ? Dit-il un peu gêné.
- M. Watson Bonjour … Non non ne vous inquiétez pas, que puis je pour vous ? Dis je toujours en murmurant le plus possible.
- J’ai une nouvelle mission pour vous, serait il possible de ce voir dès que possible demain ?
- Bien sur M. Watson ! Repondis je avant de sentir Matt bouger dans le lit.
- Très bien, à demain Agent Dobrev !
- Bonne fin de journée M. … Dis je d’un un murmure encore plus faible que les précédant avant de déposer mon portable sur la table de chevet.

Matt se retourna et m’agrippa la taille pour m’attirer vers lui comme un enfant ferrait avec sa peluche.

- C’était qui ? Dit il d’une voix endormis et avec ses yeux mi-clos.
- Mon patron … Dis je en passant une de mes mains dans ses cheveux.
- A cette heure-ci !
- Il est 17H08 ! Dis-je en ricanant, avec ses nombreuse missions on perdait la notions du temps.
- Ha Bon !? Dit-il les yeux grands ouverts.
- Oui ! Dis je en souriant avant de l’embrasser … Et je dois te laisser … Repris-je en exprimant mon regret sur mon visage.
- Hooo Non ! Dit-il en me serrant encore plus contre lui
- J’ai des choses à faire … Dis-je en essayant de me relever.
Il m’agrippa les poignets et me plaqua le dos contre le matelas avant de ce mettre au dessus de moi.

- Sa peut entendre ? Dit-il avant de m’embrasser passionnément et de me laisser une ligne de baiser dans la nuque.
- Matt … Dis je en le suppliant, sans y prêter attention.

Je le repoussai en le mettant à son tour sur le dos, encadrant son visage de mes mains.
- J’ai dis Non … Repris-je en frôlant mes lèvres des siennes … Je reviens après, c’est promis … Finissais-je avant de l’embrasser fougueusement et de fuir du lit. Il restait allongé sur le lit les bras écartés en fixant le plafond.

- C’est fou comme tu me désarmes à chaque fois … Dit il en sculptant un léger sourire.

Je me rhabillais rapidement.
- Mais tu as pas idée à quel point te me désarme aussi et un jour tu m’aura ! Dis-je en rigolant tout en enfilant mes tennis et en prenant mon sac… Je te dis à ce soir !
- A ce soir ! Dit il en prenant appuie sur le lit avec son coude et en laissant reposer sa tête sur sa main.

Je sortis de l’appartement et pris ma voiture, je m’apprêtais à mettre le contact quand mon portable sonna. Je laissais les clés reposer sur le contact avant de prendre mon téléphone qui m’indiquait que j’avais un message.

« Coucou,

Nous nous somme rencontrés dans ce café. Je souhaitais te revoir ceci serait il possible ?
Si oui rejoins-moi vers 20 H 30 sur les docks à Statent Islande.

Je t’attendrais la bas XXX Anthony »

Je clignais des yeux de surprise en essayant de savoir qui était cette personne. Soudainement, son visage me revenait et pus lui répondre.

« Salut
Ceci ne va pas pouvoir être possible, j’ai des projets pour ce soir.
J’ai un petit ami, que j’aime donc pour l’avenir je ne pense pas que cela serait possible … Je suis désolée …
Bonne journée
Nina. »

Je refermais mon téléphone et prit la route pour rejoindre mon appartement, une tonne de paperasse m’attendais. Une fois chez moi, je me penchais sur mes dossiers pendant quelle que heures.


Il était 19h30, je pris mon portable et composa le numéro de Matt.

- Coucou … J’ai bientôt fini mes dossiers, je te rejoins dans 45 minutes sa te va ? … Super j’ai hâte … Dis je en ricanant … A tout a l’heure … Je t’aime aussi !
Je raccrochais mon téléphone et me rua dans la salle de bain pour prendre une douche bien mérité et pour pouvoir me changer. Je pris mon sac et mes clés avant de sortir de mon appartement, je tombais nez à nez avec Anthony.

- Euh … Anthony ?!
Il ne disait pas un mot, son visage était plein de haine.
- Ca va ? Lui dis-je calmement… Tu n’as pas l’air bien ?
- C’est à toi qu’on va dire cela ! Me dit-il avant de m’assommer voilement.
Je tombais sur le sol, puis plus rien.

J’étais a l’intérieur d’un bâtiment proche des docks, ce bâtiment qui était avant une ancienne usine et il était totalement désert, il ne résonnait entre ces quartes murs que mes pas. Je m’attelais a la tache de préparé mon petit coin de torture pour mon invitée, qui ne devrait plus tarder a ma répondre, j’étais plutôt de bonne humeur, la journée avait plutôt bien débuter, peut être ne tuerais-je pas cette personne, je verrais d’abord comment ce passe notre rendez-vous, il est vrai qu’il est interdit de jouer avec les belles œuvres mais la je ne peut m’empêcher de vouloir jouer avec !

Pendant que je préparé ma table sans vraiment pensé a m’en servir ce soir, mon portable ce mit a vibré, je regarda alors et je vis le prénom de Nina s’affichait, je souris :

« Salut
Ceci ne va pas pouvoir être possible, j’ai des projets pour ce soir.
J’ai un petit ami, que j’aime donc pour l’avenir je ne pense pas que cela serait possible … Je suis désolée …
Bonne journée
Nina. »

Je pris mon téléphone et l’explosa par terre comment osait elle me dire non a moi, moi qui pensais juste prendre un bon dîner avec elle et ne pas la tuer, la garder en vie encore un peut, moi qui lui faisait une faveur incroyable comment osait-elle me dire non !

Fou de rage, j’observa ma pièce, me mis a regardais tout les détails, finalement j’avais bien fait de préparé cette endroit, ce soir il sera alors parfait pour cette Nina, je la voyais déjà attacher sur ma tables d’acier, entrain de tirer sur ces liens alors que moi je la torturerais avec un des plus grand plaisir que je n’aurais encore jamais eut !

C’est alors que je pris conscience que je ne savais pas encore où elle habitait … Il me fallait tout de suite activer mes recherches, je contactais alors un de mes contacte qui en contactait lui aussi un autre ils eut tous du mal a trouver son adresse mais finalement celle-ci me fut donner.

Je me précipitai hors du battement monta en furie dans mon audi et démarrais en trombe laissant une trace de pneu sur le bitume, j’était maintenant impatient d’avoir la suite.

J’arrivais alors a toute allure devant son immeuble, mis un grand coup de frein faisant crissé les pneus sur le bitume. Je me précipita a grand pas devant son entré, montant les escaliers de quatres en quatres. J’arrivais finalement devant sa porte 19h32, je n’eut pas le temps de frapper a sa porte que celle-ci s’ouvrit, je me retrouvais alors nez à avec elle, mon visage était alors remplit de haine envers celle qui avait osez refusait un rendez, un simple rendez-vous avec moi.

- Euh … Anthony ?!

Elle marqua une pose avant de reprendre

- Ca va ? … Tu n’as pas l’air bien ?

- C’est à toi qu’on va dire cela dans pas si longtemps ma petite ! lui dis-je avant de prendre l’extincteur a coter de sa porte et de lui portais un violent coup sur la tête.

Elle tomba a terre, je ne pris même pas la peine de la rattrapée, je fermai sa porte et commença a la ramassé et la posa brutalement en sac a patate sur mon épaule, avant de redescendre les escaliers, je croisa l’un de ces voisin alors que je me précipitais sur les marche, il me barrait la route.

- Que faite vous ? dit-il me semble t’il menaçant

Je repris ma respiration, déjà que la haine ce lisait sur moi comme dans un livre ouvert, je fis apparaître alors sur celle-ci la colère.

- Je vous en pose des questions ? ! fis-je en le bousculant, il dévala alors les marches et ne se releva pas, je pensais l’avoir achever, mais finalement, il ce mit a crier de douleur, je n’avais pas de temps a perdre avec cette homme, la jeune femme que je tenais risquait de ce réveiller a tout moments alors je sauta par dessus et courut jusque ma voiture ou je plaça Nina, sur la banquette arrière.

Je redémarrais alors a pleine allure jusque mon usine. Là ou tout m’attendait, tout était prés jamais personne ne m’avait dit non, et maintenant elle sera ce qui l’en coûte de me dire non a moi Ian, un tueur. Il ne faut jamais énervé quelqu’un que l’ont ne connais pas !

Arrivais a l’usine, je sortis la fille, et partis l’installer sur ma table, je serrais alors ces liens au maximum, pour que rien qu’un seul mouvement de sa part entaille sa chaire, ces poignets et ces chevilles étaient maintenant totalement immobile. Je me retourna, prit mon grand couteau de boucher et m’installais alors a ces cotés, attendant, le réveille de la belle aux bois dormant.

Quand enfin elle ouvrit les yeux, je la fixais avec un mélange de rage et de plaisir a la voir la sur ma table, elle était a ma merci, je ne lui avait pas bâillonner la bouche pour qu’elle puisse crié de tout ces poumons. De toute manière, personne ici n’entendrait ces cries.

- Alors, comme cela on ne veux pas d’un simple rendez-vous avec moi ? Pourtant moi je voulais juste t’inviter au restaurant prendre un bon repas et peut être te revoir, mais en aucun cas, je n’aurais imaginais que tu dirais non Nina … Sache que ceci ne m’as aucunement plut, alors moi qui pensait m’amusait avec quelqu’un d’autre durant ma fin de soirée, j’ai décider que ce serais toi ma futur œuvre dans les bas fonds de New York..

Un sourire sadique s’affichait sur mes lèvres, je brandis mon couteau au dessus de son corps.

- Mais avant tout nous allons te mettre alaise, et je vais t’aider attend, d’un coup sec avec mon arme je déchirais ces vêtements, voilà ceci va mieux pour ma vue et tu aura alors moins chaud.

Je reposais mon arme, et prit une seringue remplis d’un fort anesthésiant, non elle ne souffrirait pas tout de suite, la douleur ce réveillera petite a petite et voir cela sur leur visage me procurait une immense joie. Je lui planta l’aiguille dans sa jugulaire pour bien atteindre rapidement tout son corps, bientôt elle ne sentirais plus rien du tout.

- Calme toi, ne t’agite pas. Lui lançais-je en reposant ma seringue. Je prit un petit couteau pour la remplacer.

Une forte migraine qui me martelait la tête sans relâche me sortie de mon sommeil qui n’était pas du tout réparateur comme on pourrait le pense. Je clignais des yeux plusieurs fois en tentant de lever ma main droite pour me frotter l’arrière du crâne, mais qui fut stoppé dans sa course par des sangles qui laceraient le poignet au moindre de mes mouvements. On pouvait lire de l’étonnement sur mon visage avant que je me mette à réfléchir et que celui-ci ce remplisse de haine. Je tournai le regard pour croiser celui d’Anthony. Est-ce son vrai nom finalement ? Que me veut-il ? Des tas de questions ce bousculait dans ma tête. Il me regardait avec une telle rage, qu’il en avait du mal à la contenir.

- Alors, comme cela on ne veut pas d’un simple rendez-vous avec moi ? Pourtant moi je voulais juste t’inviter au restaurant prendre un bon repas et peut être te revoir, mais en aucun cas, je n’aurais imaginais que tu dirais non Nina … Sache que ceci ne m’as aucunement plut, alors moi qui pensait m’amusait avec quelqu’un d’autre durant ma fin de soirée, j’ai décidé que ce serais toi ma futur œuvre dans les bas fonds de New York…

Je soutenais son regard, je ne voudrai pas lui faire plaisir de les baisser et de montré ma situation qui était des plus complexe. Il me souriait sadiquement avant de dévoiler son couteau qu’il fit tournoyer dans sa main avant de le mettre au dessus de mon corps. Je ne pouvais m’empêcher de regarder celui-ci en prenant une grande inspiration.

- Mais avant tout nous allons te mettre alaise, et je vais t’aider attend ! D’un coup sec avec son arme il déchirait mes vêtement, dévoilant mes sous vêtement… voilà ceci va mieux pour ma vue et tu auras alors moins chaud.

Peu de temps après d’avoir mis ma peau à l’air libre, il sortit une seringue de nulle part avant de m’empoigner ma gorge de sa main gauche pour m’immobiliser. Je tirais sur les sangles comme une furie dans l’espoir que celle-ci ce détachent pour que je puise lui en mettre une. Malgré tout mes efforts, il parvient à m’introduire l’aiguille dans la jugulaire, me coupant le souffle pendant un temps. Folle de rage, je continuais le combat qui était perdus d’avance contre les sangles qui laceraient toujours mes chevilles et poignet.

-Calme toi, ne t’agite pas. Dit il avec un calme qui était presque agaçant en troquant sa seringue contre un fin couteau et de se pencher au dessus de moi.

- Vous croyez vraiment que je vais me laisser faire ! Criais-je.

Il mit sa main gauche sur ma bouche avant de pencher son visage au dessus du miens, me posant la pointe de la lame au coin de l’œil gauche

- Chuuute … Il est inutile de crier … Tu t’épuise pour rien … D’une voix grave et légère à la fois.

Toujours sa main sur ma bouche, il fit descende sa main droite avec le couteau le long de mon corps, lentement s’attardant sur ma poitrine et mon ventre pour atteindre ma cuisse droite. Il planta la lame dans ma cuisse vers mon genou et faisait remonter celle-ci vers ma hanche, d’un geste fin et précis. Ma respiration s’accélérait, m’attendant à souffrir atrocement mais rien … Il me sourit en voyant ma réaction de surprise.

- La plus grande souffrance est de découvrir chacune de ses blessures pas l’une après les autres pour faire qu’un mais toute en même temps, ce qui est encore plus dur à supporter et à survivre…

- Vous croyez vraiment que je vais me laisser faire ! Me cria-t-elle.

Je mis ma main gauche sur sa bouche avant de pencher mon visage au dessus du siens, posant la pointe de ma lame au coin de son œil gauche

- Chuuute … Il est inutile de crier … Tu t’épuise pour rien … D’une voix grave et légère à la fois.

Toujours ma main sur sa bouche, je descendis ma main droite avec le couteau le long de son corps, lentement m’attardant sur sa poitrine et son ventre pour atteindre sa cuisse droite. Je plantai la lame dans sa cuisse vers son genou et faisais remonter celle-ci vers sa hanche, d’un geste fin et précis. Je sentis sa respiration s’accélérait, Sa réaction de surprise quand aucune douleur n’arriva jusque elle me fit sourire

- La plus grande souffrance est de découvrir chacune de ses blessures au même moment et non pas l’une après les autres pour faire qu’un mais toute en même temps, ce qui est encore plus dur à supporter et à survivre… Ma chère petite si tu savais comme j’ai hâte d’arrivais a ce moment et d’entendre tes cris

Un large sourire me fendait le visage au que j’aime les entendre criés et rejeter toutes les larmes de leur corps alors que leur veines ce vide a petit flot le long de leur corps immobile. C’est un grand moment.

Je me mis à remonter ma lame, j’effleuré juste son corps avec la pointe de celle-ci sans entailler sa chaire, elle ne pouvait ressentir, mais je ressentais son dégout quand j’atteins son entre jambe je ne mis attarda pas, j’y reviendrais plus tard la j’avais d’autre projet en tête je lui ferais payer le faite de dire non a des hommes avec de bonnes intentions.

- J’espère que tu te souviens a quoi ressemblais ton corps avant car une foie que j’en aurais finit avec toi, tu ne ressembleras plus a rien, ton petit ami ou même les membres de ta familles ne pourrons mettre un nom sur ton visage qui leur était si commun.

Je me penchais au dessus de la table, rapprochais mon corps du siens, mon visage ce rapprochai dangereusement d’elle, nos lèvres ce frôlèrent, je lui murmurai alors a l’oreille dans un ton plus doux et mielleux

- Maintenant ton ultime projet sera de rester en vie assez longtemps pour que j’entende tes cris et que je puisse voir tes larme couler et ce mélanger avec ton sang ici, dans ce vieil entrepôt, avec moi.

Je me redressai rapidement, et planta mon couteau dans son épaule, le sang gicla et je fis tournoyer la lame avant d‘ouvrir plus en largeur la plaie. J’observais ceci d’un œil expert, je savais que ceci ne la tuerais pas, tout ce que je lui ferais, ne fera que lui faire couler son sang jusqu’a ce qu’elle ce vide de ces forces et de toute énergie et me laisse sa vie sur cette table d’acier froide.

Je changeais d’arme pour prendre un scalpel, je réfléchissais encore a où j'allais l'entailler encore une fois ... Je me reculais, pour la contemplée, elle était plutôt jolie comme fille, j’avais des remords de ne pas lui accordé plus de temps pour faire d’elle une œuvre a part entière parmi mes tableaux.

Je chassais cette idée, re-saisis mon premier couteau, celui de boucher, lui caressa les seins avec sa pointe et laissa derrière son passage, une légère trainer de sang. Avec l’autre main, je lui pris le visage et l’embrassa de force, ces lèvres avait un gout exquis.

- La plus grande souffrance est de découvrir chacune de ses blessures au même moment et non pas l’une après les autres pour faire qu’un mais toute en même temps, ce qui est encore plus dur à supporter et à survivre… Ma chère petite si tu savais comme j’ai hâte d’arrivais a ce moment et d’entendre tes cris.

Je déglutis après ses mots, toujours en gardant mon calme et mon sang froid. Un sourire de vipère se forgea sur son visage, il lui manquait plus que la langue fourchue. Il fit danser la pointe de sa lame sur mon corps avant d’arriver à mon entre jambe, je levai les yeux au ciel sans rien dire, ceci était inutile.

- J’espère que tu te souviens a quoi ressemblais ton corps avant car une fois que j’en aurais finit avec toi, tu ne ressembleras plus a rien, ton petit ami ou même les membres de ta familles ne pourrons mettre un nom sur ton visage qui leur était si commun. Dit il avec de la haine en rapprochant son corps du miens, son visage du miens laissant nos lèvres se frôler avant de me murmurer à l’oreille.

- Maintenant ton ultime projet sera de rester en vie assez longtemps pour que j’entende tes cris et que je puisse voir tes larme couler et ce mélanger avec ton sang ici, dans ce vieil entrepôt, avec moi.

A ces mots je serrais la mâchoire, si seulement j’avais une main de libre pour l’étrangler. Il se redressa d’une rapidité folle en m’infligeant un coup de poignard dans l’épaule avec force avant de faire tournoyer la lame dans la plaie. Je sursautais sous le coup, pensant encore à la douleur que sa aurait pus produire mais j’avais encore oublié que pour le moment je n’allais rien ressentir. Je fermais les yeux un instant avant de respirer un bon coup et de les rouvrir en espérant que j’allais me réveiller de ce mauvais rêve dans les bras de Matt. Mon attaquant changea son arme pour choisir un scalpel, tellement aiguisé, que je n’aimerais pas qu’il touche ma peau, mais il lui accorda peu de temps avant de prendre un couteau qui était anormal pour moi. Il glissa la pointe sur ma poitrine laissa une trainé de sang derrière le passage de celle-ci avec son autre main, il me prit le visage et me laissa un baiser de force. Je me mis à tousser par surprise avant de le regarder avec haine et de lui cracher à la figure avant qu’il relève son visage du miens. Ses yeux devenaient plus sombres après mon geste avant de m’offrir une claque monumental comme j’en ai jamais eu dans ma vie. Même pas mon père m’en avait donné une aussi violente dans ma jeunesse avec mes problèmes de stupéfiant. Je bougeais la mâchoire par reflexe, mais il avait l’air déçus que je n’avais pas pus la sentir.

- Je n’ai pas l’habitude d’embrasser des vipères … Lui dis je avec un ton insolant …
- Je n’aime pas beaucoup ton insolence !
- Moi je n’apprécie moyennement d’être en sous vêtement sur une table attaché … Tu as peur de voir ce qu’une femme peu faire ? … Ho moins tu me surestime cela me fait plaisir … Dis je pour me montrer plus faible que je suis, discrètement, j’essayais de tirer sur les sangles mais en vains …
Je soutenais son regard sans rien rajouter. Une légère chaleur commençait à parcourir mon corps qui me surprenait, mais je ne quittais pas son regard.

- Moi je n’apprécie moyennement d’être en sous vêtement sur une table attaché … Tu as peur de voir ce qu’une femme peu faire ? … Ho moins tu me surestime cela me fait plaisir … Dit-elle

- Je ne surestime personne, je n’accepte aucune résistance et il me semble que tu cherche a m'embobiné et je te le dit tout de suite ceci ne fonctionne pas sur moi. Mais dit moi, pourquoi souhaites-tu que je te sous-estime ? Tu fais quoi dans la vie boxeuse professionnel ?!

Il est rare que mes victimes réagissent comme elle. Elle me parait trop calme quelque chose ne vas pas et ceci ne me plait pas mais alors pas du tout. Aurais-je loupé des informations importantes ? Pourtant elle me parait si naturelle.

Elle tirait sur ces sangles, encore. Comment lui expliquer que ces sangles son incassable, elles ne craqueront pas, ces poignets craqueront avant. Mais ceci me semblait peine perdu… Je reposai mon grand couteau pour me re-munir de mon petit scalpel, devrais-je lui refaire son visage ? Non, il est si beau. Je me promenais, le long de ces joues.

- Tu es plutôt intrigante comme fille tu sais.

San lui laisser un temps de réponse, je lui fendis la lèvre inférieur en deux avec ma lame. Le sang perla le long de son menton, je me penchai et embrassa son menton et suivis les traits de sang pour remonter jusque ces lèvres mais avant de les atteindre je m’arrêtai, me redressa pour l’avertir.

- Tu me crache encore une fois à la figure et cette foi là je te garantis que tu ne pourras plus bouger ta mâchoire et je déformerais ton visage. Suis-je claire ?

Mais je ne repris pas mon ascension jusque ces lèvres. Mais descendit pour déposer des baisers tendres le long de ces jambes pour remonter jusque le haut de ces hanches. Je me penchais alors sur elle, pointa mon scalpel sur la pointe de son nez.

- Que dirais-tu que l’on s’amuse un peu toi et moi ? Lançais-je avec un sourire aux coins et un regard ténébreux.

J’avais tellement d’idées malsaines qui venait en tête que je ne savais plu quoi en faire et je ne savais pas si j’avais le temps de toutes les réalisées. Mes vils penchants revenaient au galop dans mon esprit.

- Je ne surestime personne, je n’accepte aucune résistance et il me semble que tu cherche a m'embobiné et je te le dit tout de suite ceci ne fonctionne pas sur moi. Mais dit moi, pourquoi souhaites-tu que je te sous-estime ? Tu fais quoi dans la vie boxeuse professionnel ?!

Il avait l’air surpris par mon calme, j’avais déjà gagné une manche, le faire douter. Il reprit son scalpel en main avant de frôler ma peau avec la pointe de la lame.

- Tu es plutôt intrigante comme fille tu sais.

Il ne me laissa pas le temps de répondre, et d’un geste fin et précis, il m’ouvrit légèrement la lèvre inférieure en deux. Il jouait encore au jeu de la séduction avec moi, mais ceci ne me touchait en aucun point.

- Tu me crache encore une fois à la figure et cette foi là je te garantis que tu ne pourras plus bouger ta mâchoire et je déformerais ton visage. Suis-je claire ? Dit-il avant de déposer de multiples baisés sur ma jambe en remontant jusqu'à ma hanche.

- Que dirais-tu que l’on s’amuse un peu toi et moi ? Dit-il avec une voix et un regard ténébreux.

Il me fixa avec un regard malsain et pervers à la fois. Je n’y prêtais pas attention. Je fixais le plafond, montrant une expression de surprise sur mon visage. Ma respiration se faisait de plus en plus haletante avant de respirer difficilement. La douleur commençait doucement à se réveiller, lentement. Je pouvais sentir sa main caresser ma cuisse, je ne pouvais m’empêcher de m’agiter en tirant énergiquement sur les sangles, le faite de sentir maintenant sa main sur moi me répugnais.

- Tu vas te tenir tranquille !!! Cria t-il. Avant de me planter le scalpel dans le bras gauche pour me montrer sa colère.
Je serrais les dents pour m’empêcher d’hurler, je ne lui ferais pas ce plaisir.

Elle commençait a s’agiter grandement et ceci m’agacer, j’avais envie de la punir, mais pas avant que l’effet de l’anesthésier se soit dissiper, la elle verrait ce dont je peux être capable, mais le je réagis simplement en criant et en lui lancent mon scalpel dans le bras. Je me ressaisis alors.

- Voilà regarde ce que tu me fait faire ! Ha tu mériterais tout ceux a quoi je pense mais je ne veux pas que tu meure tout de suite…Je repris mon souffle, calma ma voix et ajoutais a peine inaudible, Ne soit pas si pressé de mourir jeune fille.

Ceci me ferait plaisir de voir sa peau rosir sous les coups de ceintures que je pourrais lui mettre jusque sang pour la punir de me défiait si ouvertement.. Après cela elle me semblerais plus docile, plus douce, plus soumise …. Je suis entrain de l’imaginer, menottée, écartelée, a ma merci, je lui donnerais alors des coups de fouets, elle serait alors offerte a moi, a ma merci. Je dresserais cette petit brune. Mais pour le moment je n’en était pas la, le produit faisait encore effet, alors il me fallait attendre encore 5 minutes pour pouvoir jouer avec ma partenaire.


Pour savoir, si mon produit ce dissipe, je commença alors a passer mes doigts, en la chatouillant, le long de ces bras, quand je vu qu’elle avait des frissons, je sus qu’il était temps pour moi de commencer, ces douleurs allaient ce réveiller et les nouvelles lui feraient tellement mal… J’avais hâte.

Je pris alors sur ma tables, un bandeau que j’attachai sur les yeux de ma balla. Par la suite je saisis un gant de fourrure, avec lequel je commençais a effleuré son cou, parcourant lentement sa gorge, descendis sur sa poitrine, m’attardant sur ces seins que je saisis caressant doucement et langoureusement, je tirais alors sur ses pointes pour les voir durcir sous le désir. Sa tête disait non mais son corps ne pouvait que dire oui.
Je fis alors traîner ma main jusque son ventre sans me pressé, j’encercla son nombril, passant d’une hanche a l’autre les sensation ne lui manquaient pas. Je passais alors entre ses jambes, descendis le long d’une jambe remontant par l’autre. Je fis alors remonter le gant jusque ces bras pour revenir vers sa taille, a quelle était attirante…. Mais je repris mon chemin jusque ces seins, je sentis de nouveau ces pointes ce durcir a mon contacte.

Maintenant il était temps de passa a plus dure, je quittais mon gant pour me saisir de ma ceinture, lui effleurant la chaire avec celle-ci. Je levais mon bras tenant la ceinture pour m’abattre voilement sur son ventre, elle l’achat un léger cris a bout de souffle, un cris de surprise. Je lui en assenais d’autre de plus en fort, sa peau commençait a peine a rougir sous les coups, je me déplaçait sur son corps, passant sur ces seins, son coup, mais pas son visage, je descendis sur ces cuisses, ces mollets pour revenir sur son ventre avec des coups d’une telle violence. Puis je m’arrêta brusquement pour observais sa peau a vif.

Je me mis alors a grimper au-dessus d’elle, pour embrasser les endroit ou j’étais passer avec ma ceinture, ma langue, langoureuse et mes lèvres ce poser sur ces brûlures de cuire. Je m’arrêtais encore sur ces seins faisant tournoyer ma langue autour d’eux d’une façon des plus experte, elle gémis, je me reculais. Je posais mes mains de chaque coté de son corps, étant toujours au dessus d’elle.

Elle venais de m’exciter mais une règle d’or chez moi était de ne jamais au grand dieu de non jamais coucher avec les victimes. Alors je descendis et repris une arme blanche pour la lui lancer comme si elle était pour moi une cible humaine, bien entendu je fis attention de ne rien toucher qu’il puisse la tuer. La douleur devait être pour elle insupportable, je lui assénât plusieurs petit coups rapide dans son corps encore marquer par ma précédente lubie.

Le sourire aux lèvres, je lui retirais les couteaux et retirais aussi son bandeau pour qu’elle puisse revoir mon visage remplis de joie de la voir souffrir, j’avais préparé une chaise, pas n’importe qu’elle chaise, une spécialement conçu pour les prisonniers, une chaise avec des menottes a chaques accoudoir et aux pieds de devants. Mon intention était je l’installai sur cette chaise alors je lui retira ces liens et commença alors a la prendre…


PS : Je te laisse mettre ce que tu veux faire mais pense que tu es toute endolorie, et a moitié sonné par mon anesthésiant et aussi que a la fin tu es attacher sur la chaise de force. A toi de jouer

Note Nina : Tu t'es bien emporté la ! MDR

Ma respiration était de plus en plus difficile, cherchant presque l'air comme si celui-ci était liquide, remplissant mes poumons dans une forte impression d'étouffement. Mes muscles et mon abdomen ce contractaient, comme si je recevais de multiple coup d'électricité dans tout mon corps, passant par mon sang et mes organes. Mon agresseur laissait courir ses doigts sur ma peau immaculée de mon sang avant de retirer lentement les lames de ses couteaux. Je fermais les paupières et crispait ma mâchoire, le cœur battant.
Lentement, passant d'une arme a l'autre, ce délectant de chaque expression qui pourrait me trahir sur mon visage.
Je rouvris les yeux soutenant son regard qui pesait sur moi, je voulais voir son regard, ses expressions, puis je ne voulais pas lui faire plaisir en lui montrant de la faiblesse. Mais, pour la première fois j'avais peur pour ma vie et je ne savais pas comment m'en sortir. Il se pencha au dessus de mon corps avant de commencer à me détacher les chevilles dans une attente dès plus lente, puis les poignets. Il me prit les mains, les tira lentement vers lui pour me redresser. Je n'ai pu m'empêcher d'échapper un léger cri qui m’arrachait la gorge à cause de ma blessure à l'épaule, faite plus tôt et gentiment par mon hôte. Il me mit dans ses bras pour me soutenir avant de me descendre de la table. Mollement et difficilement, j'essayais de prendre appuie sur mes jambes. Toujours en me soutenant, il essayait avec peine de me faire marcher jusqu'a une chaise qui ne m'avait pas l'air sympathique et confortable. J'allais, pour la première fois de ma vie, utiliser ma faiblesse a mon avantage. Je me laissais tomber mollement, renversant le plateau et la petite table qui supportait les armes d'Anthony.
Il me suivit dans ma chute en s'accroupissant vers moi afin de tenter d'amortir ma chute. Sa main gauche claquait lentement ma joue avant d'approcher ses lèvres de mon visage.

- Reste encore avec moi . . . Dit il en soufflant contre ma peau pendant qu'il m'embrassait la nuque. Silencieusement et discrètement, je pris l'un de ses couteaux qui s'étaient dispersés sur le sol de l'entrepôt. Je refermais lentement et délicatement mes doigts sur le manche.

- Je resterais avec toi . . . commençais je haletante . . . et te regarderai à travers . . . les barreaux de la prison ! Finissais-je en lui infligeant un coup de couteau dans la cuisse gauche, se tenant celle-ci, j'en profitais pour me relever et sortir de la pièce après avoir prit sa veste qui reposait sur la table voisine. Je me soutenais à l'aide de la main gauche déambulant dans un couloir à la recherche de la sortir. La douleur passait maintenant au dessus de l'adrénaline et commençait tranquillement à me ralentir et me stopper. Je m'adossais contre le mur pour permettre de me soutenir et fouilla dans les poches du manteau de mon agresseur. Je pris son portable et fit retomber le vêtement à mes pieds. D'une main faible et les doigts tremblant, je composais le numéro de Matt avant de le porter à mon oreille. Mon cœur s'accélérait au fil des tonalités, les larmes commençaient à perler au coin de mes yeux.

- Matthew Bomer, j'écoute ! Dit il sur un ton nerveux. Il savait peut être déjà que j'avais disparue ?
- . . . Matt . . . Commençais-je en respirant de plus en plus mal, laissant les larmes couler sur mes joues.
- Nina ?! Que . . .
- . . . Attend, je n'ai pas beaucoup de temps . . . Dis je avec une voix faiblarde et coupé par mes sanglots . . . Je suis à Staten Island, dans un entrepôt prêt des docks . . .
- Tu vas bien ?! Dit il paniquer.
- . . . Je mis un petit temps à répondre . . . Matt, je ne vais pas te mentir . . . Je t'aime, essaye de localiser l'appelle . . . Finissais-je dans un sanglot . . . Je dois te laisser . . .
- Nina ! Attend !

Je laissais mon bras retomber le long de mon corps, sans raccrocher le portable, ma vision commençait à ce troubler, je me laissais glisser le long du mur. Je remis le téléphone dans la poche du manteau avant de le rouler en boule et de lancer par la fenêtre qui était prêt de moi. J'espérais tellement que grâce à ça, Matt arriverait à me localiser. Je me laissais lentement tomber sur le coté, sentant la fraîcheur du sol sur mon dos qui me fit frissonner avant de me mettre à trembler avec de nombreux spasmes à cause de la douleur. J'entendais ses pas se rapprocher avant qu'il s'agenouille prêt de moi et de me caresser la joue avec le dos de sa main gauche.

- Tu n'arriveras pas à t'enfuir . . . Dit il . . . et je compte bien continuer ce que je t'ai prévus et en finir avec toi . . .

Contre ma volonté, les larmes coulaient le long de ma joue, montrant pour une fois ma faiblesse.

- Je resterais avec toi .. . . et te regarderai à travers . . . les barreaux de la prison

La garce !

Elle venait de me plantais un couteau dans la cuisse, je fus surpris par ce revirement de situation. L’on ne m’avais encore jamais résister comme cela et ceci me donnais des envies de plus en plus cruels envers elle, elle n’allait pas mourir en paix, je la ferais souffrir jusque son dernier souffle ! Des idées fusé, je la laissa courir flageolante dans l’entrepôt de toute manière elle n’irait pas bien loin, les portes était fermer et les fenêtres était plutôt haute mais, dans tout les cas même a cloche pied il me serais simple de la rattraper, elle devait être grandement affaibli.

Ce que je ne comprenais pas c’est pourquoi elle me voyait derrière les barreaux d’une prison alors que toutes les autres me voyaient simplement mourir, enfin il faut bien un peut de nouveauté, mais ceci me prouver qu’elle aimait la justice, mais pas moi, au contraire, je ferais tout pour que celle-ci ne sache plus au chercher quand j’aurais mis cette ville a sang !

Je me relevais, regarda ma jambe, du sang perlait de ma cuisse mais rien de grave, je retirais le couteau, et me mis alors a sa recherche, je suivis les traces de sang qu’elle laissait derrière elle. Quand je la vie enfin, elle était allonger sur le sol, elle n’était vraiment pas aller bien loin, je la laissa quelques minutes agonisé sans bouger puis je me rapprochais d’elle, m’agenouillais et commença a lui caressais la joue.

- Tu n'arriveras pas à t'enfuir . . .dis-je. . . et je compte bien continuer ce que je t'ai prévus et en finir avec toi ma belle.

Des larmes coulaient enfin le long de son visage, ce qui ne fit qu’agrandir mon sourire. Je la soulevais alors comme si elle ne pesait rien pour l’installer enfin sur ma fameuse chais, je lui resserra volontairement a fond les menottes aux poignets et aux chevilles. Je lui donnais une petite gifle pour qu’elle ré-ouvre les yeux.

- On résiste ? Mais aurais-tu oublier ou tu te trouve ? Tu n’es pas en petite compagnie très chère, sache que j’ai bien des années d’expériences et ce n’es pas une petite fille comme toi, qui va me mettre a mal, tu finira comme toutes les autres, a la morgue de F.B.I en leur compagnie, la ou tu ne parlera que par ma signature qu’il te sera graver a jamais sur tout le corps… Ton dernier souvenir ne sera que mon visage souriant, le son de ma voix et la douleur qui te submergera.

Entre temps, j’avais remis en place mon plateau d’outils, je me retournais vers celui-ci, et en pris des clous avec un marteau, J’aimais bien ce genre de torture a l’ancienne, le fait que la rouille des clous lui fera une infection interne et les fer dans sa chaire lui fera une sensation de froid, mon geste sera vif et précis, le douleur sera directe. J’aurais put faire charpentier, mais le bois n’est pas un bonne outil de travail, je préfère la chaire fraîche.

Je posa un clou sur le haut de son poignet, mon coup serait sec, et son os ce brisera sous le choc. Et quand je donna mon coup dans le clou qui ce planta dans sa chaire, elle entendit son os craquait, j’en plantais alors un second pour m’assurer dans bien l’avoir clouer, elle ne pouvais pas bouger assise sur ma chaise, ma chaise très très spéciale (petite dédicace à Chloé et Manon).

Je voulait l’entendre hurlait alors je reposa mes clous prit le marteau avec mes deux mains et assena un coup puissant un direction de son épaule gauche, l’os ce brisa, la chaire ce pliais a la forme difforme que je venais de lui donnait, elle cria a plein poumons et moi je ris de plus belle.

Un bruit étrange me parvient a l’extérieur du bâtiment, mais je n’y fis pas vraiment attention, je pensais alors que ceci était dut au vent qui soufflait dehors, alors je ne détourna pas le regard, posa le marteau sur mon épaule. Un sourire triomphant ce dessinait sur mon visage, j’aimais voir souffrir les autres, j’aimais la voir souffrir la sous mes coups.

- Alors maintenant, a qui crois-tu avoir a faire ? Vu que tu ne peux en avoir aucune idée, je vais te dire qui je suis, de toute façon tu ne pourra le garder que pour toi, ce sera un secret que tu gardera dans ta tombe. Car oui tu es mal tomber Nina, je suis une personne que les journaux et la police appel plus communément l’ange de la mort, j’ai plus de victime a mon actif que n’importe qui et je viens juste d’arriver en ville pour la réduire en sang, et toi tu fait partit maintenant des premières œuvres de cette ville soit fière, ton existence n’auras servit qu’a une chose présenter ma venue en cet fameuse Big Apple, la police passera des heures a examiner ton corps inerte sur une table d’autopsie. Tes amis et collègues te pleurerons, et ils feront eux aussi partie de mes futur victimes, tout cela grace a toi, j’enquêterais sur tout tes proches et ils te rejoindrons bientôt a la morgue !

Mon rire sonna comme une fin pour elle…

Nina venait de quitter l’appartement. Je replongeais mon nez dans les couvertures car j’étais crevé. Nous avions encore eu une mission difficile.

Je dormis encore une vingtaine de minutes avant de me lever et de m’habiller. J’enfilais un jeans et un simple t-shirt.

Je m’installais dans le salon avec mon pc portable sur les genoux pour rédiger mes rapports sur les différentes missions de la semaine…

Vers 19h30, je reçu un appel de Nina, j’attrapais mon Smartphone et répondis.

- Coucou … J’ai bientôt fini mes dossiers, je te rejoins dans 45 minutes sa te va ? … Super j’ai hâte … A tout à l’heure … Je t’aime aussi !

Je me décidais à commander chez le traiteur pour le repas du soir. Après la mission que nous venions d’avoir, nos estomacs seront plus que satisfait par un bon repas et je n’ai pas très envie de cuisiner aujourd’hui. Je préparais simplement la table de la salle à manger avant d’allumer la télévision et d’attendre que l’on sonne à la porte. Une quinzaine de minutes plus tard, la commande arriva.
Je tournais en rond. J’avais hâte que Nina revienne. Mais j’avais l’impression qu’elle avait un contre temps car elle avait déjà dix minutes de retard. Enfin, je m’inquiète peut-être pour rien ce n’est que dix minutes après tout… Après vingt minutes de retard, une boule se forma à mon estomac : j’étais angoissé. J’avais peur qu’il lui soit arrivé quelque chose. Je sortis mon téléphone et composais son numéro… Pour tomber sur sa messagerie.

Il y avait bel et bien quelque-chose qui clochait, j’en étais certain. J’appelais le F.B.I et demandais des nouvelles de Nina. Ceux-ci me répondirent qu’ils ignoraient où elle se trouvait. Je leur demandais alors de localiser son portable mais ils ne purent rien faire. Ils me répondirent que soit sa batterie avait été enlevée soit le téléphone était détruit car normalement même éteint, ils auraient pu le réactiver pour le localiser.

J’attrapais et enfilais ma veste avant de sortir de mon appartement. Je partais en direction du bureau secret du MI6 à bord de ma fidèle Mustang pour approfondir mes recherches et éventuellement leur demander de l’aide.

J’arrivais au département d’informatique et expliquais la situation à Asher Morgan. C’était quelqu’un de plutôt fiable et nous étions devenus amis il y a cinq ans lors d’une mission commune. Cependant, je n’arrive plus à faire totalement confiance à quelqu’un depuis l’incident avec Sam donc je reste malgré tout prudent et distant.

- Tu as une idée de comment on pourrait retrouver l’agent Dobrev ? Demandais-je.

- Le F.B.I a déjà tenté de localiser son téléphone, tu m’as dit ? Donc cela veut dire que soit elle ne veut pas qu’on la retrouve, soit son agresseur ne veut pas qu’on la retrouve.

- Il n’y aurait pas comme autre possibilité qu’elle soit restée coincée dans un embouteillage et qu’elle n’ait plus de batterie ? Demandais-je, bien que peu convaincu par ma théorie.

- Si tu croyais vraiment ça, tu ne serais pas ici Matthew. De plus on aurait quand même pu le réactiver si ça avait été le cas.

- On fait quoi alors ? Demandais-je encore plus angoissé qu’à mon arrivée.

- On cherche une piste…

J’entendis la sonnerie de mon téléphone, je le sortis rapidement de ma poche et regardais l’écran. Un numéro inconnu… Je répondis cependant, ça pouvait peut-être être Nina ou son kidnappeur...

- Matthew Bomer, j'écoute ! Dis-je nerveusement.

- . . . Matt . . .  Entendis-je une voix faible et féminine m’appeler.

C’était Nina ! Que lui arrivait-elle ? Allait-elle bien ?

- Nina ?! Que . . . Commençais-je.

- . . . Attend, je n'ai pas beaucoup de temps . . . Dit-elle avec une voix faiblarde et coupée par des sanglots . . . Je suis à Statent Island, dans un entrepôt près des docks . . .

- Tu vas bien ?! Demandais-je, paniqué.

Quelques secondes de silences s’écoulèrent avant qu’elle me réponde.

- . . . Matt, je ne vais pas te mentir . . . Je t'aime, essaye de localiser l'appel. . . Finissait-elle en sanglotant. Je dois te laisser . . .

- Nina ! Attend !

J'entendis un bruit de chute puis plus rien. Merde ! J’abattis mon poing sur le bureau d’Asher qui fit un mouvement de recul. J’ignorais son mouvement et lui demandais de localiser l’appel et de trouver le nom du propriétaire du téléphone.

- Nous savons qu’elle est Staten Island dans un entrepôt donc tu peux déjà cibler les recherches.

Asher entra les données dans l’ordinateur. Après quelques secondes, un point rouge apparu sur la carte à l’écran.

- Elle est là-bas ! Je t’envoie l’adresse sur ton Smartphone.

- J’y vais. Dis-je en me précipitant en courant vers la sortie.

- Je te suis ! Dit Asher.

Je montais dans ma voiture et allumais le contact. Asher s’installa à mes côtés puis je démarrais…
Je dépassais toutes les limites de vitesse mais je n’en avais strictement rien à faire. La seule chose qui comptait en cet instant c’était d’arriver à temps et de la sortir de là en vie.
Arrivé à l’entrepôt, je parquais mon véhicule et appelait par précaution une ambulance. On n’est jamais trop prudent. Elle n’avait pas l’air en forme tout à l’heure quand je l’ai eu au téléphone. Elle est peut-être gravement blessée.

Arme à la main et suivis d’Asher, je m’approchais du bâtiment mais la porte était verrouillée et plutôt solide. Ce qui voulait dire que je n’allais pas pouvoir la défoncer. Je soufflais un grand coup avant de forcer la serrure avec du fil de fer que j’avais trouvé sur les lieux. J’entrais à pas de loup dans l’entrepôt et Asher couvrit mes arrières…

Il y avait des trainées de sang sur le sol. Mon rythme cardiaque s’accéléra. Et si j’étais arrivé trop tard ? J’en suivais l’une d’entre elle et c’est là que je vis Nina… Et son agresseur…
Nina cria et hurla de douleur. Je dû me retenir pour ne pas sauter à la gorge de ce fils de p***.

- Asher… Chuchotais-je. Va par l’arrière et cache-toi. Le surprendre nous pourrait être utile.

Je courais ensuite vers elle et ce salopard.

- F.B.I ! On ne bouge plus ! Criais-je.

Il me regarda surpris puis afficha une mine neutre mais légèrement moqueuse. Comme s’il avait un plan en tête.

- Recule ! Dis-je froidement.

Nina était vraiment en mauvais état. Il l’avait torturé l’ordure ! Il va le payer !

- Nina ? Ça va ? Je vais te sortir de là, je te le promets.

Il sortit un petit canif de sa poche et le glissa sous la gorge de Nina. Mon envie de tirer sur lui et de le tuer ce fit encore plus forte. Quoique une mort comme celle-là serait trop facile…
C’est à ce moment qu’Asher entra en jeu en pointant le canon de son arme sur la tête de l’homme.

- Je ne ferais pas ça à ta place.

Il écarta lentement la lame et la jeta sur le sol. Il se retourna rapidement et donna un coup à Asher, sur l’abdomen, qui tomba au sol. Il subtilisa son arme et la pointa vers moi.
Tout ce jouait entre lui et moi maintenant. Ce qui est certain, c’est que je ne le laisserais pas s’enfuir.

- Qui es-tu ? Demandais-je. Et pourquoi tu as kidnappé Nina ?

Je m’approchais lentement de lui tandis qu’il me pointait toujours avec son flingue.

- Lâche ton arme ou je vais devoir te descendre. Et crois moi je n’hésiterais pas une seconde.

Pendant ce temps, Asher avait récupéré la lame de l’homme en douce. Toujours couché sur le sol, il s’approcha lentement et planta ce dernier dans le pied du kidnappeur. Il hurla et tira mais heureusement le tir n’atteignit personne. Je profitais de sa confusion pour me jeter sur lui et le plaquer au sol. Nous nous débâtîmes pendant plusieurs minutes. Asher lui alla voir comment se portait Nina. Je mourrais d’envie d’aller près d’elle mais je devais d’abord arrêter ce psychopathe. Sinon qui sait ce qu’il pourrait encore faire. Il essaya de prendre mon arme des mains mais je résistais. Il insista et le coup partit. Il était touché à la jambe. Cependant, cela ne l’empêcha pas d’encore se battre. Les coups fusaient, heureusement j’en bloquais une bonne grande partie mais je devais avouer qu’il était assez fort. Mais pas assez…

Je le pris par son t-shirt et le lançais sur le mur. Je profitais qu’il soit sonné pour le menotter et le confiais à Asher qui l’emmena au F.B.I. Il était bien amoché et devrait sans doute recevoir des soins mais ce n’est pas moi qui allait m’en soucier.

Je revins vers Nina pour voir comment elle se portait…

L’un de ses bras se logeait au creux de mes genoux et l’autre vers mes épaules. Il me souleva avec une facilité étonnante, comme si j’étais légère comme une plume. Je serais les dents pour m’empêcher de hurler, chaque pas qu’il faisait pendant que j’étais dans ses bras était rythmé comme ses coups de poignard et d’une douleur quasiment similaire. Il me déposait délicatement sur une chaise, le métal glaçait ma peau ainsi que le peu de sang qu’il devait me rester. Mon cœur battait dans un rythme effréné, sortant presque de ma poitrine. Je fermais délicatement les paupières, laissant rouler la dernière larme sur la joue qui perlait au coin de mon œil. Je pouvais sentir les menottes de mon agresseur se refermer sur mes poignets et chevilles, me mordant la chaire. Mais bizarrement, cette douleur était limite supportable par rapport au reste. Sans m’y attendre, le jeune homme me mit une gifle monumentale, laissant l’empreinte de sa main sur l’une de mes joues. Je tournais la tête au moment de l’impact, en ouvrant les yeux, je restais dans cette position et fixa le sol. Je pouvais sentir son regard bruler ma peau, ses pensées me tailler les veines.

- On résiste ? Mais aurais-tu oublié ou tu te trouve ? Tu n’es pas en petite compagnie très chère, sache que j’ai bien des années d’expériences et ce n’es pas une petite fille comme toi, qui va me mettre a mal, tu finiras comme toutes les autres, a la morgue du F.B.I en leur compagnie, la où tu ne parleras que par ma signature qu’il te sera gravé a jamais sur tout le corps… Ton dernier souvenir ne sera que mon visage souriant, le son de ma voix et la douleur qui te submergera. Dit-il, sur un ton très théâtral à mon goût.

Mon dernier souvenir ? . . . Je fixais toujours le sol perdu dans mes pensées qui me permettaient de fuir l’instant présent.  Je frottais mes lèvres l’une contre l’autre un court moment en repensant à Matt plus tôt dans l’après midi. S’il savait à quel point il hante de plus en plus mes pensées chaque jour. S’il savait à quel point je suis désolée. Je sortis de mes rêveries, plus calme. Je me redressais sur ma chaise, si je devais mourir ce soir, ce serait avec dignité en acceptant mon sort.

Anthony s’approchait de moi, un marteau dans une main et un clou dans l’autre, malgré tout le sang froid que je pouvais faire paraître, une boule se formait dans ma gorge. Il s’amusait à picoter ma peau avec le clou d’une intense couleur rousse à cause de la rouille. Mon regard se perdit droit devant moi, je ne voulais pas me concentrer sur ce qu’il s’apprêtait à faire. En une fraction de seconde plus tard, un coup de marteau précis et puissant frappait le clou, me transperçant la chair et me brisant l’os du poignet. Je pris une profonde inspiration après avoir entendu mon os ce briser. Je fermais les yeux, je ne voulais pas lui faire ce plaisir, de lui montrer que je souffrais. Il cloua mon os avec un second clou. Je serrai tellement ma mâchoire, que mes gencives m’en faisaient mal. Je pouvais l’entendre s’éloigner, je rouvris les yeux un instant avant de le voir m’infliger un coup de marteau avec les deux mains sur ma clavicule gauche. La surprise et la douleur étaient trop grandes, je n’avais pus m’empêcher de hurler à plein poumons. Un large sourire barrait son visage, me contemplant ainsi et de prendre son pieds de me voir souffrir. Le regard vide, je ne cherchais pas à me débattre. J’avais de plus en plus froid, ne sentant quasiment plus mes jambes.

- F.B.I ! On ne bouge plus ! Cria un homme.

Je lançais un regard satisfait avec un petit sourire moqueur à Anthony quand je le vis surpris. Il m’offrit un petit regard malicieux à son tour avant de regarder l’agent. Je laissais ma tête reposer sur le dossier de la chaise, toujours en respirant difficilement. Mais j’étais déjà un peu plus rassurer.

- C’est bon comme dernier souvenir . . . de te voir . . .  te faire arrêter . . .  Murmurais-je.

- Recule ! Dit l’agent froidement.

- Nina ? Ça va ? Je vais te sortir de là, je te le promets. Reprit-il.

Cette voix … Cette voix me disait quel que chose, mais je n’arrivais plus à mettre deux pensées en placent. Mon corps refusait de bouger, ma bouche refusait de répondre. La pièce tournait autour de moi, me laissant voir des silhouettes et des sons presque incompréhensible, ce déformant de plus en plus. Je pouvais juste entendre le bruit de ma propre respiration.
Je pouvais sentir une main sur ma joue, claquant celle-ci délicatement. Je pouvais revenir à moi lentement, effaçant délicatement le brouillard qui saturait ma vision.

- Nina . . . Ici l’Agent Asher Morgan . . . Tout vas bien ce passer.

Il prit les clés des menottes qui se trouvaient sur la table avant de déverrouiller celle-ci. Les menottes me laissaient une sensation de picotements sur la chaire de mes poignets et de mes chevilles.

- Nina restez avec moi ! Me dit-il. Sa voix résonnait dans ma tête . . . Les secours arrivent !

Mon regard se fixa sur l’abdomen de l’agent, voyant le sang qui imprégnait son haut.

- Vous . . . Vous êtes blessé . . .

- Qu’est ce que je devrais dire de vous ! Dit il avec un grand sourire et amusement pour me détendre je suppose.

- Moi . . .  Je pète la forme . . . Lançais je avant de rire et de regretter mon action.

Une violente douleur me prit à l’abdomen avant de me serrer le cœur me coupant le souffle.

- Restez calme Nina . . . Dit-il en déposant une main réconfortante sur ma cuisse, il détourna son regard de moi un instant . . . Je vais vous laissez entre de bonnes mains Nina . . . Ne vous inquiétez pas ! Reprit-il avant de se relever.

Je pense qu’il ne sait pas que je ne suis pas une enfant. Je baissais le regard, fixant toujours ce sol qui m’attirait de plus en plus . . .  Ou tout simplement . . . c’est que j’avais envie de tomber ? Je pouvais voir un homme s’agenouiller devant moi, sans voir son visage. A l’aide de ses deux mains, il me redressa la tête.

- Matt . . . Dis-je dans un souffle avant d’exploser en sanglots . . . J’ai eu si peur de ne pas avoir pus te revoir . . . Repris-je en essayant de respirer.

Il me déposa un doux baiser sur mes lèvres, celui-ci apaisant toutes mes douleurs pendant cet instant. Je pense qu’il voulait s’assurer que j’étais bien là, à moins que ce sois pour me faire taire une fois de plus. Levant une main faible à son visage, j’effleurais du bout du doigt une entaille qui était sur sa joue. Je frôlais également ses lèvres pour retirer le sang que je lui avais mis sur sa bouche, à cause de ma blessure à la lèvre inferieure.  Mon bras retomba mollement, je luttais pour rester éveillé.

J’étais en pleins discoure quand je fus interrompu par un petit :

- FBI ! On ne bouge plus !

Je pense que l’ont ne pouvait pas lire mon expression, mais a l’intérieur j’étais entrain de bouillir commença FBI ! ! ! ! ! pourtant Arya m’avait prévenue, je n’avais en plus dans ce bâtiment aucune issus de sorti, je le sais je le connaît et il bloquer ma sortie puis il avait dut venir avec du renfort, je me retourna alors lentement vers l’intrus et vu un jeune homme, plutôt bien bâtit brun avec quelques centimètre de plus que moi, je pourrais le maîtrisé, mais son arme me posait problème car moi les miennes ce trouvait de l’autre coter de la demoiselle.

La demoiselle bien rebelle qui ajouta alors une phrase qui fit monter la colère en moi :

- C’est bon comme dernier souvenir … de te voir… te faire arrêter….

- Recule !

Et en plus le petit bonhomme me donne des ordres … lui il prendrait bien la place de sa demoiselle en détresse bientôt lâcher son dernier soupir car je sortit un petit canif de ma poche pour le caler sous sa gorge et ajouta a son attention :

- Peut être que tu ne la verra pas très chère … dis-je en laissant couler mes mots a son oreille.

Mais ce que je ne vis encore pas venir fut le canon pointait sur ma tête.

« ET MERDE ! »

Sa sentait le roussit. Mais quoi que la bestiole qui tenais son arme a ma tempe semblait fébrile. Je posa tout de même mon arme a terre délicatement, pas de balles perdu, mais me retourna et frappa l’insecte a son abdomen en un point qui lui coupa immédiatement le souffle ce qui fit qu’il s’écroula a mes pieds, je récupéra son arme a feu et la pointa vers son collègue, je n’aimais pas utiliser ce genre d’arme je les trouve trop brutal pas assez dans la souffrance mais si il le faut je sais parfaitement m’en servir.

- Qui as-tu ? Et pourquoi as tu kidnappé Nina ?

- Comme je le disais a ta partenaire, je suis L’ange de la mort ! Enfin ce qui disent cela sont les journaux du monde entier...

Un frisson le parcourra, semblait il qu’il sache mes exploits. Mais pour l’instant rien ne l’arrêta il avançais doucement vers moi, nos armes étant pointais l’un sur l’autre moi je ne bougeais pas.

- Lâche ton arme ou je vais devoir te descendre. Et crois moi je n’hésiterais pas une seconde.

- Ho je n’en doute pas, mais tu n’ais pas le premier a le vouloir…

Je ne put finir encore car l’enculé qui était a terre venait de me planter ma lame dans la cheville, je balança mon pied sains a travers la figure de ce misérable et tira sans le viser pour que celui-ci s’éloigne de moi. Mais l’autre profita de ce moment pour ce jette de tout son poids sur moi et me mettre au sol, mais a mains nu il n’avait aucune chance face a moi. Le combat commença, je lui mis plusieurs bon coup et lui réussi aussi a me toucher mais aucun ne prenais l’avantage sur l’autre il ne m’aurais fallut que quelques secondes de plus pour l’avoir mais le sort en décida autrement et il réussis a récupéré son arme et me tira dans la cuisse du coter déjà toucher par l’autre gugusse.. Malgré la douleur je continuais toujours pleins de rage a l’assaillir de coups, mais il avait l’avantage malgré que je le touche a plusieurs reprise au visage dans l’abdomen, il aurait surment le nez et quelques dent casser mais aussi une ou deux cotes mais rien de méchant .. Je perdais et je le savais Dans une autre situation j’aurais surment eut l’avantage mais la je ne l’avais pas.

Il me prit par mon t-shirt et ma lança voilement contre le mur, du sang perlait de mon visage, sur le coup je m’écroula terre sonner, il me rajouta une droite en pleine figure pour être certain que je puisse plus résister et en profita pour me passer les menottes. Il me confia a son collègue j’étais a terre je tenta encore une fois de me lever pour fuir de cette merde mais rien a faire pour m’achever pleinement l’enculé m’assommât avec deux coups de poings.

Je bouillait de rage, j’aurais comme toujours dut écouter Arya , maintenant j’était dans une merde noire mais il n’aurais rien sur moi a part mes empreintes qui n’existe pas dans le fichier car officiellement je n’existe pas, j’irais surment rejoindre mon père plutôt que prévue mais je sortirais et je me vengerais toute cette petite équipe en souffrira et ça j’y met un point d’honneur Ho non ce n’est pas fini loin de la …. Au contraire cela ne fait que commencer …

- Bon maintenant que ce psychopathe est sous contrôle, nous allons pouvoir l’amener au bureau. Et s’il est bien ce qu’il prétend être il sera envoyé dans un quartier de haute sécurité pour le restant de son existence… Quoique je pourrais m’arranger avec un de mes contacts pour l’envoyer dans un état où la peine de mort est encore applicable… Dis-je laissant transparaître ma haine pour cet individu sur mon visage.

D’ailleurs pourquoi s’en était-il prit à Nina ? Etrange concours de circonstances et malchance ou alors quelque chose de plus personnel? En tout il ne me tarderait pas à le découvrir…

- Asher… Commençais-je. Pourrais-tu appeler les secours, Nina est vraiment mal en point. Je veille sur elle en attendant.

Tout cela me rappelait la balle qu’elle avait pris à Gaza… Pourquoi ce genre de choses se produisait-il encore et encore ? Surtout que dans ce cas-ci cela n’a rien à voir avec notre statut d’espion.

Je me penchais sur mon amour et voir les horribles blessures qu’elle arborait me donna envie de tuer lentement le responsable… Si je n’étais pas du côté des « gentils » et surveillé, je l’aurais peut-être fait.

- Nina… Les secours vont arriver. Commençais-je en caressant sa joue en évitant soigneusement ses blessures pour ne pas lui faire mal. Je sais que la dernière fois que tu es allé à l’hôpital, ça ne fut pas une expérience très agréable mais tu vas t’en sortir!

-…

- Et évite de perdre la mémoire, d’accord ? Dis-je avec un petit sourire.

Quelques minutes plus tard, les secours arrivèrent et emmenèrent Nina. J’expliquais brièvement au jeune secouriste devant moi ce qui venait de se produire avant de m’adresser à Asher.

- On amène vite fait cet animal au poste, je ne veux pas qu’il nous file entre les doigts. On le mettra dans le quartier secret du sous-sol et vu le nombre de gardes qui s’y trouvent, il ne s’envolera pas de sitôt cet ange de la mort. Dès que c’est fait je vais voir Nina. On va lui donner un sédatif pour éviter qu’il tente de s’échapper.

- Ça marche !

Quand l’agent Morgan et moi arrivèrent au FBI avec Anthony, bien que je doute que ce soit son vrai nom, nous expliquâmes la situation aux agents sur place rapidement qui commencèrent à mener l’enquête tandis que nous amenâmes notre prisonnier dans sa cage hyper-protégée.

- Maintenant, il ne pourra plus faire de mal à personne. Dès qu’il sera revenu parmi nous, pourras-tu commencer à l’interroger ? Demandais-je à Asher. Je vais voir Nina à l’hôpital et dès que possible je m’occuperais de cet enfoiré.