Rendez-vous très matinal [ Cabot & Dobrev & Winchester ]

Installer sur une table de poker a l’intérieur d’un casino de Vegas, face a moi ce tenait plus qu’un seul de mes adversaire, nous étions en fin de partie sur un tapis tout les deux, mon téléphone n’arrêtait pas de vibrer dans ma poche depuis environs trois heures, le milieu de notre partie, mais je n’y prêtait aucunement attention, cet outils de malheurs devais surement encore me dire qu’il fallait que j’aille bosser mais je n’en avait pas envi, j’étais bien la où j’étais .Mais revenons a notre adversaire, il semblait serein d’extérieur mais il dégagé des signes d’anxiété, la sueur et a certains moments un tique lui venait. La victoire était mienne avec les cartes que je possédais.

Quand la dernier carte sorti enfin du paquet, nous retournions tout les deux au même moment nos cartes, la tristesse ce lit immédiatement dans le regard de jeune homme en face de moi je venais de remporté 50 000$ Que du bonheur. Après avoir récupéré tout cet argent, je m’installai au volant de ma Chevrolet impala et regardai alors mon téléphone. 56 appels manqués avec 35 messages, ma messagerie était pleine. Bien entendu tous venait du bureau, je ne pris même pas la peine d’en écouter un seul, ceci m’agacer déjà. Je tournai la clé de contacte, alluma la radio sur une bonne station de rock et me mis en direction de New York, de la où je me trouvais et a l’allure a la qu’elle je comptais rouler, il m’en faudrait pour 2 à 3 petits heures, je serais la bas vers 7heure du matin.

Après ce long trajet et cette nuit mouvementée, je souhaitais juste un lit, une couette et un oreiller pour pouvoir partir au pays des rêves … Mais je me garai devant le grand bâtiment du FBI, comme a chaque fois, je réfléchissais a pourquoi es ce que je m’amusais encore avec ces clones ..

J’entrai dans le bâtiment, ne saluant personne, avançant tête haute jusque l’ascenseur, bousculant au passage un petit stagiaire qui fit tomber toute ces feuilles qu’il tenait, j’en souri même une fraction de seconde.

J’ouvris la porte de mon bureau, posa mon cul sur ma chaise et calla mes pieds sur mon bureau de façon tout à fait décontractée. Je n’ut pas le temps de savoir pour qu’elle raison l’on m’avait harceler, que déjà l’on frappa discrètement sur la porte.

- Entré ! Lançais-je

C’est alors qu’une jolie blonde entra, elle n’était pas du FBI cela ce voyait rien que a sa tête, je l’aurais plus prise pour une avocate ou quelque chose dans ce genre là, une vrai rapace ... Je n’aime pas du tout ce genre de personne, elles font toujours tout pour que vous récoltiez la peine maximal, même si vous n’avez fait que cracher en pleine figure d’un agent de police en fonction qui était en pleine arrestation… Où encore c’est le genre de personne qui enquête sur vous juste pour trouver l’infime petite faille qui vous fera tomber de votre grandeur.

Je scrutais la demoiselle de haut en bas, avant de regarder une note poser sur mon bureau :

*Rendez-vous 7h20 avec mademoiselle Cabot agent de la NYPD*

Bien au moins je savais qui elle était, ce qu’elle faisait (et en l’occurrence je mettais tromper, ce qui était rare, mais je mettrais ceci sur le compte de la fatigue) ce qui ne me disait toujours pourquoi nous étions réunis en ici.

- Vous êtes hors tard. Dis-je sèchement sans la regardait.

Je n’aimais pas trop le manque de ponctualité, mais surtout ce qui me gêner le plus chez elle c’est son aire désinvolte, le mépris dans son regard envers moi.

- Que puis-je faire pour vous ? Rajout ais-je

Je relavai les yeux pour la fixée, un regard de lassitude face à cette situation. Je ne savais pas pourquoi j’étais ici mais en mon fort intérieur j’espérais que ce ne serait pas trop long, et que je pourrais profiter au plus vite de mon nouveau versement à la banque.

Le bureau était plus grand qu'à ce qu'il y paraissait de l'extérieur. Je fis un rapide scan de la pièce avant de me concentrer sur l'homme derrière le bureau. Il ne devait pas vraiment être plus vieux que moi,la trentaine, grand, brun avec des yeux vert, plutôt beau, mais ses traits étaient fatigués, comme s'il n'avait pas dormi depuis plusieurs jours. Assis de manière nonchalante, les pieds sur le bureau, un air de mépris peint sur son visage, il me jaugeait, critique. Je sentais son regard balayer mon corps, et une chose était sure, entre nous, ça allait plus être la guerre que l'amour. Il lu pendant quelques secondes une note posée sur son bureau avant de parler.

- Vous êtes en retard, lâcha-t-il sèchement, sans même prendre la peine de lever les yeux de sa lecture.

Ma colère qui s'était apaisée lorsque ma curiosité avait pris le dessus resurgit d'un seul coup. D'accord, il n'avait pas tord, j'étais en retard d'un quart d'heure mais il n'était pas non plus obligé de me le faire remarquer ! Il n'était pas mon supérieur. Et je ne m'abaisserais pas à faire des excuses, c'était certain, surtout à ce genre de personne, celle avec un ego si énorme qu'il ne passait pas à travers les portes. Je levai juste les yeux au ciel. Mais avant que je ne puisse dire quoi que ce soit d'autre, il enchaîna.

- Que puis-je faire pour vous ? 

C'est bien la question que je me posai... Si lui même ne savait pas pourquoi j'étais là, on allait avoir du mal à avancer. C'était quand même exagéré, non ? Je croisai les bras, me demandant si mon patron avait décidé de me rendre folle parce qu'elle s'ennuyait.

- Écoutez, ce n'est pas vous qui avait été appelé dans le bureau de quelqu'un d'autre, parce que c'est bien votre bureau non ? demandai-je excédée.

Encore un rapide coup d’œil autour de moi, une grande respiration, et je repris ma tirade.

- On est bien d'accord, c'est votre bureau, donc si vous n'êtes pas en mesure de me dire pourquoi j'ai été convoquée ici lorsque j'ai du boulot important ailleurs, j’apprécierais parler à votre supérieur, ou du moins à quelqu'un qui est capable de me dire ce que je fous ici !

Puis je lui lançai mon regard Cabot (breveté), le même que je donnais à une époques aux criminels de toutes sorte, quand je les interrogeais au tribunal. J'eus une brève pensée pour mon lit douillet et dans lequel j'avais bien envie de me blottir puis je me reconcentrai.

*Le boulot, focalise toi sur le boulot, ne pense surtout pas aux soixante heures sans dormir que tu viens d'enchaîner Alex.*

J'attendais avec patience un réaction de sa part, n'importe quoi,colère, excuses, pétage de plomb, autre que l’indifférence, pour que cette matinée devienne un peu intéressante.

- Appelez les proches, et dite moi çi cette homme avait des ennemis potentiel qu'on pourrait suspecter ! Dis je à un agent en lui tendant le porte feuille de la victime... Puis, demander au NYPD de nous tenir au courant de leur évolution et que nous ferons de même. Repris je en m relevant de ma position accroupis, prêt du corps.
- Pas de soucis Patron ! Me répondit elle.

Un meurtre de plus dans cette ville, j’espérais de tous coeur que cette enquête allait très vite ce boucler. Je m'étira un instant et bailla à m'en décrocher la mâchoire, même à 7H25 du matin, les criminels trouvent quand même le moyen de s'amuser. Un agent me tendit un gobelet en carton de café encore fumant, je le remercia d'un beau sourire et en pris une bonne gorgée. Mon portable se mit à sonner dans la poche de mon jeans, bataillant avec ma main libre pour le récupérer avant de décrocher et le porter à mon oreille.

- Agent Dobrev ?
- Nina ! C'est Laura ! Excuse moi de te déranger, je sais que tu es occupée mais je t’appelle au sujet de Neal ...
- Haa... Je t'écoute ... Quel que soit la raison, tu as bien fait de m’appeler. Lui dis je avec un profond soupir avant de prendre une autre gorgée de café.
- Il a rendez vous avec un agent de la NYPD de l'equipe Atwell se matin à 7H20... Pour une collaboration ...
- Je vois ... qui est ce ? Repondis je les lèvres sur le rebord du gobelet en prenant une longue gorgée.
- Alexandra Cabot !

Je recracha mon café et jeta rapidement le gobelet dans la poubelle qui était à proximité, et m'essuya la bouche.

- Il est arrivé ?! Tu as des nouvelles de lui ?! Dis je avec un ton paniqué.
- Non justement et de l'agent du NYPD non plus d'ailleurs, elle doit être en retard.
- J'arrive ! Je fais au plus vite ! Criais je en raccrochant mon portable pour le remettre dans la poche de ma veste. Je m'adressa à l'agent Avery.

- Je dois vous laisser ! Tiens moi au jus de l'affaire ! Lui dis je pendant que je courrais vers ma voiture.

10 minutes plus tard, je me gara en urgence devant les bureaux du FBI. Je me posta devant l’ascenseur et me mise à attendre patiemment en tapant du pied. Celui-ci était trop long pour moi, je pris l'initiative de prendre les escaliers et les escaladaient comme si ma vie en dépendait. Je déboulais dans les bureaux tel une furie.

- Elle est dans son bureau depuis 5 minutes Nina !
- Et lui ?! Je t'en suplis dit moi qu'il ne sais pas lever !? Et qu'il dort encore !?
- Je suis désolée ! ...

Je courus à travers les couloirs et ouvris comme une folle la porte du bureau de Neal.

- Neal !!! Criais je complètement essoufflé en oubliant qu'il y avait Alexandra dans la pièce.

- Écoutez, ce n'est pas vous qui avait été appelé dans le bureau de quelqu'un d'autre, parce que c'est bien votre bureau non ? On est bien d'accord, c'est votre bureau, donc si vous n'êtes pas en mesure de me dire pourquoi j'ai été convoquée ici lorsque j'ai du boulot important ailleurs, j’apprécierais parler à votre supérieur, ou du moins à quelqu'un qui est capable de me dire ce que je fous ici !

C’est alors que cet agent me lança un regard d’avocat, un de ces regards qui vous dit, j’ai toutes les preuves qu’il me faut, vous êtes fichu, bienvenue en enfer. Ceci me fit sortir de mes gonds, je n’aime pas que l’on me traite de la sorte, je me levai de ma chaise violement en la renversant, sauta pas dessus le bureau, et me mis parfaitement face a blondie, la bloqua en posant mes deux bras de chaque coter de son visage.

- Alors ma petite vous aussi vous allez m’écouter, je n’en ais rien à faire de vous, comme cela vous déplait fortement a vous aussi d’être ici, et que moi votre présence m’agace, avec votre aire de je suis parfaite. Alors sortez et laisser immédiatement et surtout ne remettez pas les pieds dans ce bureau !

Je finis cette phrase par un grand geste du bras lui montrant la sortit, c’est alors que quelqu’un entra en criant mon nom. Je n’en reconnu que peut après Nina, a qu’es ce qu’elle pouvait être toujours sur mon dos … Mais j’aurais fort a supposer qu’elle en savait plus sur notre situation a Blondie et moi. Mais pour moi ceci était claire, si il me fallait travailler avec cet agent de la NYPD je refusais.

- Nina, que vient tu faire parmi nous ?

Je lui lançai un grand sourire, avant de retourner remettre en place ma chaise et prendre la direction de la porte. Car oui, maintenant qu’elle était ici, ils n’avaient plu besoins de moi, et je pouvais partir me reposer tranquillement.