Une mission pour Dobrev, la survie pour Smith ... [ PNJ Nina et Audrey ]

6H :
Les rayons du soleil entraient tranquillement dans la pièce, comme si il avait des moments d’hésitation. Je sentis cette sensation de chaleur sur mon visage, encore endormis sur une pile de dossier. Affaler sur le canapé, la jambe droite pendante dans le vide et l’autre reposer sur la table basse. Je mettais encore endormis dans le salon, s’en même prendre la peine de retirer mes vêtements de travail ou encore de débarrasser le canapé des tonnes de paperasses qui si étaient accumulées depuis des jours. La lumière du jour pris d'assaut le salon, je commençais lentement à ouvrir un œil, puis le suivant. Soudain, je me jeta sous un coussin pour cacher mon visage et surtout mes pauvres yeux, cette lumière aveuglante venait de m’agresser de bon matin. Je me mis a ronchonner sous mon oreiller et décida de me lever lentement. Je me rassis sur le canapé, d’un air désespéré de voir que c’étais déjà le matin, je regardais un peu partout autour de moi et soupira sous la vue des montagnes de dossiers. Je m’étira les mains en l’air avant de me lever lentement, j’étais encore courbaturée de la mission de la veille. Je me dirigeais d’un pas lent et peu stable vers la cuisine pour prendre un bon petit déjeuner. Je m’aidais des mur de l’appartement pour me soutenir.

* Si on me voyait ! … Ils pourraient tous croire que j’ai fait la fête hier soir … * Pensais je en grimaçant de douleurs.

Quelle que minutes passée a tituber dans les pièces de l’appartement, en peignoir après une bonne douche revigorante, mon portable sonna. Je me mis a le chercher du regard, je courus vers le canapé et souleva tous les coussins à la recherche du téléphone. Mais celui-ci était introuvable, je souleva les gros coussin qui constituaient le canapé et glissa ma mains dans le fond de celui-ci, au cas ou mon portable serait tombé derrière pendant ma folle nuit sur le divan. Au lieu de ça, je trouva une pair de menotte à Froufrou rouge. Je les souleva et les examina avec un regard plus que surpris.

- … Tiens ! Je les cherchais partout ! … Dis je en les jetant par-dessus mon épaule pour repartir dans les fouilles du canapé.
Quelle que seconde plus tard, je trouvais enfin mon portable et décrocha rapidement.

- … Aal … Allo ! Dis je en haletant.
- … Euh … Angent Dobrev ? … Je vous dérange ?
- .. Non ! Pas du tous … Je suis … juste un peu essoufflée, je cherchais énergiquement mon portable. Que puis je pour vous Général ? Dis je avec ton plus sérieux et professionnelle sur la fin.
- … Ha… Dobrev ! Vous ne changerez jamais ! Dit il en ricanant. Donc Major ! Je voulais vous informez que Sirius Evans à contacter notre Agent sous couverture pour la mission 312.
- Parfait !
- J’aime votre enthousiasme Dobrev ! Donc, comme je vous disais, Sirius Evans à dit à notre Agent sous couverture qu’il acceptais de rencontrer la femme d’affaire que nous lui avons proposer … Avec de grande capacités pour le crimes évidement ! Et nous avons choisis un Agent en particulier pour infiltrer le réseau. Dit il avec sérieux.
- C’est Super ! J’ai … J’ai déjà de nombreux Agent qualifier pour …
- C’est vous que nous voulons Dobrev ! Vous vous appellerez Tatiana Klimenko, russe évidement … vous êtes la seul qui peu mener cette mission à bien.
- Euh … A vos Ordres mon Général … Dis je étonnée
- Vous recevrez bientôt l’enveloppe avec les infos confidentielle … Je compte sur vous Agent Dobrev
- Ne vous inquiétez pas Général, je vais tous de suite me mettre au travail.
- Bon Courage et revenez entière !

Après cette conversation, je raccrocha et posa mon portable sur la table basse, je n’arrivais pas a y croire, j’allais bientôt pourvoir venger mes hommes du FBI.
Je repris ma course folle dans les pièce de l’appartement après se moment de silence pesant.
Je me rua dans la salle de Bain, fouilla dans les placard pour trouver de la teinture capillaire et mon fer à lisser. J’appliquais généreusement le produit et pendant l’attente, je commençais à me maquiller, pour cette fois, je choisis un maquillage charbonneux et un rouge-à-lèvres prune. Je me rinça les cheveux et me les sécha. Ceux-ci avait pris une teinte ébène, d’un noir mystérieux et profond, je me les lissa complètements ce qui me changea du tout au tout. D’un air concentré, je me dirigeais vers mon armoire à vêtements et pris un pantalon et une veste en cuir noir, avec un léger bustier prune.

- Bonjour … Dis je en essayant de prendre un timbre de voix russe … Bonjour .. Bon .. Bonjour … Continuais je pour enfin trouver la perfection. J’enfilais un pair de chaussure plate noir, un peu comme des baskets.
Une fois habillée, je me dirigeais vers le salon, pris mon armes dans la commode et la dissimula dans mon dos, je pris également une dague que je glissa dans les sangles autour de ma cheville.
Je me jeta sur mon sac à mains et pris mon portable qui n’avait toujours pas bougé de place depuis la dernière fois, ce qui était étonnant. Je sortis de chez moi en pensant à bien refermer derrière moi et descendis les escaliers à la vitesse de la lumière.
A la sortis de mon immeuble, je vis ma voisine d’en face, une vieille femme particulièrement charmante. Je mis mes lunettes de soleil et la salua.

- Bonjour Mme K ! Dis je en oubliant ma nouvelle apparence.

Mme Kartman se retourna surprise et me dévisagea, je sortis rapidement et me dirigea vers ma voiture.
Mais au même moment …

- Agent Dobrev ! … Entendis je au loin…

Le Pouvoir, il y a rien de mieux. Je suis Sirius Evans, un des criminelles des plus riches de tous les U.S.A, enfin … je pense. Tous ça pour dire que tous le monde me craint, même mes propres hommes, je suis à la tête d’une immense organisation criminelle et terroriste. Je pense que je suis l’un des plus rechercher dans tous les états également. Enfin bref, assez parlé de moi…

10h32 :

Je déambulais dans les couloirs, avant de pousser une porte noir, celle-ci était celle de mon bureau, je me permis d’entrer évidement. Un peu fatigué de toute les stratégies trouvées la veille, je marchais d’un pas lourd jusqu’à mon bureau avant de me laisser sur mon fauteuil et de laisser reposer mes jambes sur le bois parfaitement laqué et brillant de mon bureau. Je fermis les yeux quelle que instant, tout en écoutant se doux silence qui était paisible pour mes oreilles.

Quelles que minutes plus tard, le couloirs résonnaient de conversation les plus bruyante les unes que les autres. Ceci m’agaçait énormément, surtout pour entendre les jérémiades de ses hommes sans cervelles.
Je tendis une oreilles et essaya de capté un bout de leur discutions si passionnante et c’est à ce moment là que je compris qu’ils voulaient me rendre visite.

- … Tu es sur qu’on doit lui dire maintenant ?! … Dit l’un des hommes
- Oui ! Sinon, … il sera encore plus furieux qu’on ne lui est pas dit plus tôt …
- … Mais … il va nous faire sauter le caisson si on lui dit … On peut pas partir au Mexique plutôt ! …
- Non ! … Il … Il va Co.. Comprendre …
- Je te jure que si il se met en colère je lui dit que c’est de ta faute !
- Sale con !
- Toi-même !

Je me mis la mains droite sur le visage et soupira, leur discutions devenaient de plus en plus agaçante et de plus en plus crétines. Cela me désespérais fortement. Soudain, l’un des hommes frappait à ma porte.

- ENTRER !

Un grincement de porte strident résonna dans le bureau.

- Mr Evans … vous êtes là ? .. Oo …
- Ba oui Abrutis ! Si je t’ai dis de Entrer c’est que je suis DANS mon bureau ! En accentuant toute les syllabes.

Les deux hommes se rapprochaient de moi, effrayés, comme si j’étais un animal féroce prêt à leur bondir dessus.

- Euh … nous avons un aveu à vous faire parvenir …
- Bien ! Dit moi ! Avant que je m’énerve vraiment !
- D’accord … Alors euh … Le Gang Molina …
- QUOI ! Parle ! Je n’ai pas la vie devant moi !
- Ils nous ont attaqué … Et puis … nous ont pris la cargaison et assassiné notre client pour lui prendre son argent …

Je ferma le poing et tapa d’un coup sec sur le bureau …

- Les deux paquets ? Répondis je en essayant d’être calme…
- Euh … Les armes et la drogue … Nous sommes désolé …
- TU TE FOU DE MOI !!! TU SAIS POUR COMBIEN IL Y AVAIT DANS CES PAQUETS !!!
- Nous sommes vraiment désolé, on a rien put faire …
- Non … Je suis désolé pour vous ! Répondis je … Temps mieux qu'il ne vous aient pas tué !
- Merci Mr !

J’ouvris l’un des nombreux tiroirs à ma droite et pris mon 9mm qui était à l’intérieur et vida le chargeur sur le bureau et remis seulement une seul balle. Et le pointa vers les hommes, l’un d’eux s’écarta et désigna son collègue du doigts.

- Je le ferais moi même et ceci me donnera encore plus de plaisir !
- C’est de ça faute à lui !
- Incompétent et Balance en plus !

Je visa cette homme en particulier et lui dis.

- Je vais tirer 3 fois ! Si ! Au troisième coup tu n’es pas mort ! Je vous laisserais une chance de vous en sortir !

J’appuya sur la détente et un bruit métallique se fis entendre … Je rechargea mon arme et tira une seconde fois, le même bruit que le 1er , l’homme transpirait de peur, je chargea une dernière fois mon arme et aucun coup de feu.

- Merci Mr !!! Dit ils en se mettent tous deux à genoux comme pour remercier le ciel, discrètement, je pris une autre arme dans mon tiroirs qui, malheureusement pour eux, était chargé à bloque.

- Enfaite, j’ai pas envie de vous faire de faveur !

Les deux hommes relevaient la tête et une expression de stupeur se sculpta sur leur visage.
Et les Deux coups de feu partis, résonnant sans cesse dans les couloirs.

- Une balle en pleine tête chacun, … comme ça … pas de jaloux … Dis je en rangeant mes deux armes dans le bureau.

Les deux corps gisaient sur le Tapis, et le sang teintait celui-ci, toujours les pieds sur le bureau, j’appuya sur une des touche du téléphone.

- Oui Mr !
- Venez faire le ménage tous de suite !
- Nous arrivons Mr …

Pendant que des hommes venaient me débarrasser de ses cadavres, mon ami et associer venait m’annoncer une nouvelle alléchante.

- Sirius ! …
- Oui Aleksandr !
- La Jeune Femme est arrivée … Tatiana Klimenko
- Haaa !!! Enfin une bonne nouvelle ! Enfin un peu de professionnalisme et d’action !
- En plus d’être qualifiée … elle est plutôt bien faite ! Dit il avec un ton coquin.
- Encore mieux !!! Dis je en riant avec mon ami.

Je me leva rapidement de mon bureau et marcha lentement dans les couloirs au coter de Aleksandr. Je vis au loin cette jeune, de dos, ses cheveux était aussi sombre que la nuit. Soudain, sa chevelure vola pendant que la jeune femme se retournait, une beauté pur, peu être ma future victime… Ma Future Créature … Ma bête de la nuit !
J’espère ne pas être déçus de cette femme …
Je m’approcha lentement d’elle et une fois à son niveau, je lui pris la mains droite d’un air gentleman qu’elle me donnât volontiers et lui baisa celle-ci.

- Enchanté Jeune Demoiselle ! Dis je en m’inclinant légèrement et d’une voix sensuelle et charmeuse. Je suis Sirius Evans et vous venez de prendre mon cœur …

A peine les clés dans la serrure de la portière que je me fis déjà interpeller, c’étais un jeune homme brun, plutôt grand et surtout très beau garçon. Il venait faire moi, une pochette rouge à la main droite.

- Agent Dobrev ?
- Oui …
- 312 ?
- Oui je suis bien l’agent chargée de cette affaire, vous avez quelle que chose pour moi ? Lui répondis je.
- Effectivement … Dit en me tendant la pochette … ce sont tous les documents que j’ai pus récupérer au cours de ma mission … Il baissa le regard avant de dire … Je vous souhaite bon courage Dobrev … c’est long … très long … être en mission chez Evans …
- Ne vous inquiétez pas ! Je n’ai pas de famille … Allez retrouver votre fille et votre petit garçon Agent Wilson.
- … Merci Major !

L’homme partis pour disparaitre dans la foule qui s’accumulait lentement sur les trottoirs.
J’eu un léger pincement au cœur avant d’ouvrir la portière, le faite d’avoir vu cette homme risquer sa vie depuis 8 mois s’en contact avec sa famille à du être très dur pour lui … Et moi, … pendant combien de temps je n’allais pas voir mes amis … mes collègues et ma famille … Et surtout, allais je revenir vivante de cette mission à haut risque. Pour une fois j’avais peur, pas la peur de la mission, le faite de côtoyer des criminelles, mais surtout j’avais peur pour ma vie. Je resta, le regard vide pendant quelle que seconde en me soutenant à la portière de ma BMW. Je me passa ma main droite sur le visage et souffla un bon coup, je pris au même moment mon portable qui se trouvait dans l’une des poches de mon Jeans et composa un numéro, la tonalité sonnait comme une sentence pour moi, je trouvait le temps horriblement long avant d’entendre une voix sortir du téléphone.

- Bonjour, ici Tatiana à l’appareille ! Dis je d’un ton un peu russe … J’ai eu les informations sur la cible mais je voudrais voir Evans avant de me mettre au travail !
- Cela n’es pas possible Mademoiselle ! Le boulot avant !
- Il est hors de question ! Dis je en m’énervant. Si vous voulez avoir de mes services vous avez intérêt de faire tous ce que je dis !
- … Bon … entendu … je vais annoncer à Mr Evans votre venus Mademoiselle.
- Bien !

Et je raccrocha le portable, j’avais l’impression d’avoir signée mon arrêt de mort. Je monta enfin dans ma voiture et claqua la portière et alluma le contact. Je resta un moment les mains crispées sur le volant avant de m’engager sur la voie. J’avais l’impression de la route était interminable … comme quand on prend la voiture pour partir en vacances.

Quelle que heures plus tard, je me rapprochais de la destination de plus en plus, j’avais allumer la radio pour calmer mes nerfs, la route qui défilaient sous mes roues, chaque virages et feu rouge me rapprochais encore plus.
Je pris mon courage à deux mains et serra le volant, j’étais déterminée à en finir et surtout à réussir cette mission. Cela fessait déjà quelle que années que je rêvais voir se type sous les bareau, ou en face de arme … lui coller une balle entre les deux yeux ou même lui poignarder le cœur et regarder son regard se vider de toute vie … de toute énergie.

Je stoppa la voiture devant le grand bâtiment, digne d’un hôtel de luxe prêt des docks, j’ouvris le par soleil et me recoiffa rapidement avec l’aide de la glace et ajusta mes lunette de soleil. Je le referma rapidement et pris mon sac, avant de cacher la pochette rouge dans une cachette qui était située dans le plafond de la voiture. J’ouvris la portière, sur de moi et sortis et la claqua avec force. Je commençais déjà à rentrer dans mon personnage. Je m’avançais vers l’entrée du bâtiment d’une démarche presque féline, je pris une prestance sur de moi et cruelle. Je passa les garde à l’entrée sans même leur adresser un regard, sans même faire attention à eux. On entendait mes bruit de pas résonner dans le Hall D’entrée avant de pouvoir arriver vers la réceptionniste. Cette hôtel était une couverture pour cacher tous le réseau qui se trafiquait ici, je regarda la réceptionniste et retira mes lunettes.

- Tatiana Klimenko, j’ai un Rendez-vous avec Mr Evans … c’est pour affaire … Dis je calmement en regarda le moindre mouvement de la réceptionniste.
- A vous êtes la Russe qui doit …aider Mr Evans à régler son léger soucis de clientèle ?
- Tout à fait … Dis je toujours en gardant une ton calme et posé.
- Je vais vous appeler l’un de ses Associer pour vous emmener jusqu’à Mr le Directeur.

Je la salua d’un signe de tête et patienta sagement en fessant un petit tour dans le Hall, en fouinant mon regard partout. Je pouvais voir de nombreux hommes vêtu de noir sortir du bâtiment, ceci me mis perplexes.
Combien était il ? Et surtout … ai-je une chance ?

- Tatiana ! Vous êtes enfin arrivée, quelle bonne surprise vous nous faites là ! Dit un jeune homme avec un fort accent russe.
Je m’avançais vers lui en lui tendant ma main droite pour le saluer.
- Enchanter, je suis Tatiana Klimenko !
- Moi c’est Aleksandr, dit il avec sensualité … mais c’est Alek’ pour les intimes reprit il en me fessant un clin d’œil discret. Je vais vous emmener voir mon ami Sirius, il va être ENCHANTE de votre présence ma demoiselle.
- Très bien ! Lui répondis je avec un sourire charmeur.
- Vous êtes charmante ! Si cela était de mon pouvoir ! Je vous engagerais tous de suite ma chère !
- Merci beaucoup !

* Qu’Est-ce que les hommes peuvent être bête ! *


Je suivis le Jeune Homme à travers les nombreux couloirs avant d’arriver à un ascenseur, les portes s’ouvrirent pour commencer une longue descente. Le merveilleux son de l’ascenseur retentit, devant nous se trouvait une sorte de salle d’attente, d’un rouge sanglant.

- Attendez moi ici Tatiana, je vais vous ramenez le patron

Quelle que instant plus tard, j’entendis une conversation provenir du couloir et des pas qui se rapprochais de plus en plus. Quelle que seconde plus tard, je vis deux hommes revenir dont l’un qui était parfaitement séduisant.

* Cette Mission ne va pas être si désagréable âpres tous … * Me Dis je.

Une fois à ma hauteur, celui ce pencha vers moi et pris ma mains, d’une délicatesse si fine que j’avais l’impression qu’elle était sur un Nuage avant de me laisser un doux et délicat baiser sur la main.

- Enchanté Jeune Demoiselle. Dit il d’une voix presque sensuelle … Avant de reprendre. Je suis Sirius Evans et vous venez de prendre mon cœur … 

Je ris intérieurement, je ne pouvais pas m’en empêcher âpres une technique de drague aussi pathétique. Je retira ma main délicatement en soutenant son regard et resta de marbre.

- Je suis la pour le travail Mr Evans … Je n’ai pas le temps pour quelle conque galipette… Dis je en insistant sur chaque son prononcés.

Le Jeune Homme se mis à rire avant de laisser un long silence s’installer autour de nous ainsi que dans l’enceinte du bâtiment.

- Vous me plaisez ma chère … Résistante et sans peur … C’est la 1ère fois qu’on me dit de pareille chose, … surtout venant d’une femme … Me dit il… vous voyez se que je veux dire … Répondit il en me faisant un clin d’œil discret et tendre à la fois.

- Temps mieux pour vous si vous prenez souvent votre Pied Mr Evans … mais je ne suis pas se genre de femme… Comme je vous le disais, je suis la pour le travail.

- D’accord, d’accord … Mais on verra bien le quelle des deux cédera le plus vite …
Cette phrase me glaça le sang, rien que le faite de m’imaginer dans ses bras me répugnais.

- Suivez moi Belle Créature ! Dit en s’inclinant et en tendant le bras pour m’indiquer le chemin à prendre.

Ceci me mis hors de moi, il voulait me tester, il sera donc servis.
Je pris le belle âtre par le colle et le plaqua au mur, à cause de cette colère qui montait, je découvris comme une seconde force.

- Je n’ai peut être pas la même force que vous … mais vous pourriez être surpris … 1 seconde … dis je en rapprochant mon visage du siens … c’est le temps qui me faut pour vous tuez de 3 manière différentes… et se sera Melle Klimenko à l’avenir pour vous Mr EVANS … J’insistais sur la prononciation de son nom avant de le relâcher.

Sirius défroissa son col avant que je puise me reculer.

- Je sais que je vous ai froisser en disant cela … et j’en suis navré … sincèrement mais à l’avenir … évitez de recommencer cela ou je serais dans l’obligation de vous faire descendre.

- Essayer pour voir ! Dis je en lui passant devant pour m’avancer dans le couloir.

- J’aime énormément cette Fille Aleksandr ! Dit il à son associer.

- Mais si vous voulez me garder MR Evans, il va falloir y mettre le prix ! Dis je au loin.

- En plus, une audition parfaite, rien à dire ! Dit il en rigolant.

- Il n’y a pas que ça qui est parfait ! Dis je en lui adressant un clin d’œil avant de m’aventurer dans son bureau pour m’installer sur la chaise en cuir devant celui-ci afin de l’attendre.

SIRIUS EVANS : Par Nina Dobrev

Le faite que cette jeune femme me résiste, me plaisait énormément mais, ceci attisait les braise de ma colère. Je fixa mon ami d'un regard pesant.

- Laisse nous Aleksandr ... Dis je avant de rester immobile le regard fuyant pendant quel que instant.

Je me retourna et me hâta jusqu’à la porte de mon bureau qui était grande ouverte, je referma celle-ci après mon passage. Je pouvais voir la jeune femme de dos, installée sur le fauteuil en face de mon imposant bureau en bois vernis.

- Bon ... vu que vous êtes là pour affaire et rien d'autre ... parlons affaires ... Dis je avec un peu d'amertume dans la voix.
- Très bien ! Répondit elle pendant que je fis le tour de mon bureau et de m'avachir sur le siège en cuir. Je mis mon coude sur l'accoudoir et fis reposer ma tête dans le creux de ma main droite. Je l'avouais à moi même, j'étais extrêmement en colère de son rejet, mais très heureux de l'avoir prêt de moi pour les futur travaux qu'elle allait exécuter.

- Alors ? Insistait-elle, elle devait s'impatienter.
- Oui ... J'ai besoin de toi pour un travail très spécial ...
- Je n'en doutais pas Mr Evans !

Je me leva de ma chaise et fit le tour de mon bureau et me posta derrière elle. Je me rapprocha lentement de Tatiana, d'un pas lourd et lent guêtant le moindre de ses mouvements.

- J'ai besoin de tes talents ... Lui murmurais je à l'oreille en prenant quelle que mèches de ses cheveux ... de ton sang froid permanent et ta ... créativité. Finissais je en faisant claquer mes dents prêt de sa joue avant de me redresser.

- Je vous écoute ! Me répondit elle comme si de rien n'était.

J'esquissais un léger sourire avant de lui répondre sur un ton calme et posé.

- Abattre une personne pour moi ... Un traître ... Que tu pourras saigner à ta guise ... temps qu'il est une mort lente et pleine de souffrance ... qu'il soit un exemple pour les autres !
- C'est dans mes cordes Mr Evans ... Qui est cette personne ? Me dit elle.
- Un agent du FBI du bureau de New York !

Je restais immobile, fixant le mur à l’écoute de la moindre de ses attentes.

- J'ai besoin de tes talents ... Me murmurait il à l'oreille en prenant quelle que mèches de mes cheveux ... de ton sang froid permanent et ta ... créativité. Finissait il en faisant claquer ses dents prêt de sa joue pour se la jouer sauvage avant de se redresser.

- Je vous écoute ! Répondis je comme si de rien n'était, je ne voulais pas jouer à son jeux du chat et la souris.

Il relança sur un ton calme et posé.

- Abattre une personne pour moi ... Un traître ... Que tu pourras saigner à ta guise ... temps qu'il est une mort lente et pleine de souffrance ... qu'il soit un exemple pour les autres ! 
- C'est dans mes cordes Mr Evans ... Qui est cette personne ? Dis je avec assurance.
- Un agent du FBI du bureau de New York !

Je laissais rien paraitre devant cette homme, il ne le fallait surement pas. Au fond de moi, j’avais peur, je ne savais pas encore comment me sortir de cette situation, si j’allais pouvoir l’éviter et surtout … Est-ce que je connais cette personne ?

- Pourrais je avoir quel que renseignements sur cette personne ?
- Ne t’attache pas trop vite au chose qui sont vite éphémère … Me dit avec un petit sourire en coin en faisant le tour de son bureau pour s’assoir sur son fauteuil.
- Loin de moi cette pensée ! Mais vous m’avez engagé pour un travail de qualité et pour cela, j’ai besoin de renseignements ! Repris je sur un ton plus déterminé tout en gardant mon calme.
- Bien . . . Commença-t-il… J’aime les femmes qui savent réclamer ce qu’elles veulent . . .
- Je crois que j’ai été assez clair sur ce sujet Mr Evans . . . Dis je en me relevant.
- Très bien très bien ! Poursuit il, tout en se relevant rapidement pour me retenir.

Je le fixa du regard et resta face à lui.

- C’est une jeune femme des bureau de New York, Mila Rodriguez . . . C’est comme ça qu’elle se fait appeler, mais j’ai pus découvrir que c’était une agent du nom de Adams . . . Laureen Adams . . .
- Vous pensez qu’elle a des complices ? Enfin, Est-ce qu’elle agit seul ?
- Oui, après cela, je pense que tu peux imaginer ma vigilance. . . Dommage, cette jeune fille est mignonne et talentueuse . . .

Je me mis à sourire.

- Vous n’avez plus cas me dire l’endroit et vous pourrez conjuguer cette phrase au passé d’ici peu de temps Mr Evans ! Dis je toujours avec ce petit sourire en coin.
- Elle est déjà ici, j’ai voulus t’aider dans ton travail.

Mon cœur fit un bon dans ma poitrine, je ne pensais pas que cela allait ce passer si tôt, que j’aurais pus réfléchir à une éventuelle solution.

- Pourquoi m’appeler pour ce meurtre, si toute les conditions sont réunis pour que vous le fassiez vous-même Mr Evans ?
- Car je voulais te voir œuvrer ma chère Tatiana, . . . La confiance ce mérite . . .

Je baissa le regard et fixa le sol un moment, serais je obliger de la tuer, mais si je ne le fais pas j’allais être démasquer et toute l’opération allait être foutus et ma vie, allait rapidement être détruite.
Je replongea mon regard plein de haine dans le siens.

- Je n’ai jamais aimé travailler sous la contrainte Mr Evans et encore moins le faites d’avoir un Baby Sitter …

Il posa sa main sur ma joue avant de la faire glisser lentement de ma nuque rapprochant de plus en plus son visage du miens avant de murmurer dans un volume de voix quasiment inaudible.

- JE mène la danse … tu ne seras pas la première à contredire mes ordres je te le garantis . . . Donc maintenant, tu vas faire tous ce que je te dis sans rechigner ! Me suis-je bien fais comprendre ma belle ?

Je pris sa main qui se baladait sur ma nuque et la retira rapidement avant de l’écarter de moi.

- Allons y ! Repris je avec détermination en me rapprochant de la porte. Et vous me retouchez encore une fois, vous allez sortir de ce bureau les pieds devant ! ... Sans vous manquez de respect Mr Evans !

Il retourna à son bureau, fouilla dans les tiroirs avant de sortir une arme et de me la tendre après d’être revenue vers moi. Il ouvrit la porte lentement, je pris volontiers ce qu'il me tendait et coinça le revolver entre mon pantalon et mon dos et sortis la première.

- Suis moi, elle est dans un bâtiment tout prêt d’ici. . .

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Il me fit rentrer dans un vieux bâtiment, un immeuble qui commençaient à prendre de l’âge d’après ce que je pouvais voir. J’empruntais des escaliers qui me menait au sous sol. Il se stoppa devant une porte avant de me faire face.

- Voila l’animal, attention ! Les filles ont pour réputation de mordre ! Me dit il avant de rire.
- Ceci est une plaisanterie ?
- Bref . . . Elle est tout à toi ! Je vais admirer le spectacle grâce à mon amie la caméra ! Et ne t’inquiète pas, elle à été fouillé et trouver sans arme, enfin c’est-ce que mon surveillant m’a affirmer.
- C’est gentil de votre part de vous soucié de moi ! Dis je en ouvrant la porte et pénétrant dans la pièce.

Je referma la porte derrière moi, de dos à l’agent, je resta un moment immobile avant de lui faire face et de m’approcher d’elle et de tourner autour de la chaise.

- Je te préviens, je ne vais pas y aller par quatre chemin, le Boss sait que tu es du FBI … Dis je avant de rapprocher mes lèvres de son oreille.

Je murmura quel que mot de dos à la caméra

- Mais … comment tu t’ai démerdé pour te faire démasquer, … tu me donne une tache bien difficile et un choix compliqué à faire… Murmurais je avant de me redresser.

Je la pris par le col de son haut des deux main et la leva de sa chaise avant de la jeter à terre et de m’accroupir prêt d’elle.

- Ai confiance … Murmurais je.

Je la releva avec violence et la plaqua contre le mur sous la caméra et glissa rapidement un couteau à cran d’arrêt sous son T-Shirt avant de coincer celui-ci contre son abdomen et son slim, tous cela rapidement avant que la caméra ne change d’angle pour nous voir.

- Ca ne sait pas se défendre ! Pour un Agent du FBI ! Dis je en lui infligeant un coup de genou dans les côtes avant que la jeune fille se plie en deux de douleur.

Je la repoussa sur le mur opposé, j’étais de nouveau dos à la caméra, je tenais sa gorge fermement.

- Je suis l'agent Nina Dobrev FBI. . . Murmurais je . . . Ecoute moi ! Toujours sous des murmures avant de lui donner un coup de poing dans l’abdomen … Je suis surveillé, donc tu vas me poignarder ! . . . T’évite le cœur, c’est tous ce que je demande . . .

Je la pris par le bras avant de la jeter violemment à terre au centre de la pièce.

- Tu aurais du réfléchir à deux fois avant d’espionner ici ! Criais je pour me faire entendre, tout en dégainant mon arme sur elle. Je me rapprocha de la jeune femme, j’étais presque au dessus d’elle. J’espérais qu’elle allait rapidement passer à l’action, sinon je ne savais plus comment éviter le drame.

Je me sortais d’un rêvé étrange, je ne savais pas trop pourquoi j’avais rêver de ma propre mort, tuer par une brune a la poigne de fer... Ridicule. Je m’étirais, toujours a l’intérieur de ma couette. Ha que j’était bien a l’intérieur de ma couette. Peut être aurais-je du y rester ? La journée débuter a peine que je me prit les pieds et tomba au sol comme une loque.

Pas le temps de prendre un petit dej que déjà mon téléphone sonna… L’appel venait de Aleksandr, l’agence m’avait demander de me mettre sous couverture d’un éventuel acheteur d’arme, j’étais lors seul expert sous la main a ce moment ... Je devais gagner une certaine confiance avec les membres de l’organisation de Sirius Evans, et devenir un gros client, pour que Sirius lui même vienne a la transaction et accepte de me rencontrer, mais je savais que quelques chose n’allait pas, un sixième sens peut être et cet appel ne me disait rien de bon, je décrocha.

- Mademoiselle Rodriguez ?

- Oui, que puis-je pour vous Aleksandr ? Mon colis sera bientôt prés ? Je tentais d’être des plus calme et sérieuse possible

- C’est a propos de ce colis qu’il faudrait que l’on parle, pourriez-vous venir nous rencontrez pour en parler avec Sirius ?

- Bien, où et quand ?

- Hôtel Luxury sur les Docks dans 1heure.

- Parfait, je vous y attendrez.

Ceci ne me laisser pas beaucoup de temps pour me préparé a tout cela, mais il me fallait mieux être prudente et assurer ma sûreté en cachant des armes sur moi. J’enfilais alors un jean et un tee-shirt noir en colle v. Je ne pris pas le temps de me faire une grande coiffure, je ne me fis qu’une simple queue de cheval, un petit coup de maquillage et me voilà déjà prête a partir dans la gueule du loup, mais je sentais que cette journée n’allait pas s’arranger…

Je mis le contacte fis ronronner le moteur de ma Ferarie et arriva en moins de deux au point de rencontre, je frappa à la porte. Ce ne fut pas Aleksandr qui m’accueillit, mais un homme de basse besogne , et il me demanda de le suivre, m'amenant dans une grande salle très sombre. Il me fit ensuite signe de m'asseoir sur la seule chaise qui était présente dans la salle, m'expliquant que monsieur Evans viendrait bientôt me retrouver. Je m’assit sur cette chaise, ne voulant pas rester debout sur mes escarpins. Je restais seule, plusieurs heures, attendant comme toujours le criminel, me demandant pourquoi il n'y avait qu'une seule chaise. Mais surtout qu’es ce que je foutais la, maintenant j’en était sur, obliger j’étais démasquer, mais qu’attendait il pour me descendre ?

Une jeune fille brune, comme dans mon rêve entra alors dans la pièce. Restant immobile quelques secondes, elle me fit enfin face et ce rapprocha, pour finalement tourner autour de la chaise tel un rapace.

- Je te préviens, je ne vais pas y aller par quatre chemin, le Boss sait que tu es du FBI …

Je m’en doutais, était elle ici, pour m’abattre ? Allais-je me laisser faire ?
Puis elle ce pencha et ajouta dans mon oreille très discrètement


- Mais … comment tu t’ai démerdé pour te faire démasquer, … tu me donne une tache bien difficile et un choix compliqué à faire…

La je n’avais pas compris, elle se redressa, mais que voulait elle dire par la ? Finalement elle me prit par le col a deux main, me souleva en j’atterris encore par terre finalement aujourd’hui j’adore être a terre… Puis elle s’accroupit.

- Ai confiance …

« Heu non je ne crois pas»

Elle me releva avec violence et me plaqua contre le mur sous la caméra et glissa rapidement un couteau à cran d’arrêt sous mon T-Shirt avant de le coincer contre mon abdomen, il irait rejoindre un collègue a lui qui attendait déjà son tour.

- Ca ne sait pas se défendre ! Pour un Agent du FBI ! Me dit-elle en m’infligeant un coup de genou dans les côtes

Elle me repoussa sur le mur opposé, et tenait ma gorge fermement.

- Je suis l'agent Nina Dobrev FBI.. . . Ecoute moi ! Elle ajouta de nouveau un coup de poing dans mon abdomen … Je suis surveillé, donc tu vas me poignarder ! . . . T’évite le cœur, c’est tous ce que je demande . . .

Elle me pris par le bras avant de me jeter violemment à terre au centre de la pièce.

- Tu aurais du réfléchir à deux fois avant d’espionner ici

Elle était presque au dessus de moi. La j’étais entrain d’hésiter a vraiment lui assener un coup fatal, mais non je me retiens, je lui donnais un violent coup a la tête en relevant ma jambe droite, la mit a terre, me posa au-dessus d’elle, dégaina un couteau le lui mit a la gorge.

- Chut maintenant je mène la danse pour sauver ta peau. Murmurais-je a peine inaudible, sans bouger les lèvres.

Car valait mieux la sauver elle, elle devait plus valoir que moi. J’avais déjà entendu son nom, que de grandes qualité lui étaient vouer, et il me fallait mieux la tirer de la vivante, que sa couverture ne crève pas par ma faute et que elle non plus au passage. J’ajoutais alors en Russe dans un accent parfait, pour Sirius

- Вы проводите его (она, ) жизнь? Я думаю об этом затем теперь открывают дверь или меня нож он (это) без дальнейшей задержки.
( traduction en français : Tiens-tu à sa vie ? Je le pense alors maintenant ouvre la porte ou je l’égorge sans plus attendre. )

J’appuya plus fort le couteau sur la trachée de Nina de façon a ce qu’une légère goutte de sang perle. Je restais d’un visage impassible. J’ajoutais alors pour Sirius toujours

- Если я убиваю ее (это) теперь, выходящий из этого - ваша жизнь, которую я беру.
( traduction en Français : Si je la tue maintenant, en sortant c’est ta vie que je prend.)

La porte s’ouvrit alors sur Aleksandr qui tenait une arme pointée sur nous.

Je reçus un violent coup de pied à la tête, me laissant tomber lourdement sur le sol. La jeune femme en profitait pour ce mettre en dessus de moi, déposant délicatement la lame de son couteau sur la gorge.  J’exprimais mon agacement pour cette situation intérieurement, je détestais être en situation de faiblesse même si cela en est de la comédie pur et dure. En tout cas, ce que je pouvais voir, c’était que cette jeune femme était alors une actrice amatrice voir même de théâtre de quartier. Elle n’avait même pas prit le temps d’enlever mon arme de la main, me laissant toute liberté, m’offrant seulement quel que picotements sur la gorges, rien de bien méchant. Je la laissais faire son monologue en russe, qui par ailleurs sont des répliques bien dramatique et théâtral. J’adorais être ironique avec moi-même surtout pendant les périodes de « Crises ».

* Non mais Allo !? Tu es un agent du FBI et tu te crois sur un plateau de cinoche ! *

Elle insistait sur ma gorge à la fin de ses paroles, je me crispais sous sa lame. Je savais qu’elle ne me ferait aucun mal, mais je n’avais pas très confiance en cette brune qui devait être blonde dans une autre vie.

* Les couteaux tu ne les trouves pas à Jouet Club !!! Ils sont vrais ! *

Je fixais la jeune femme, elle semblait imprécise dans ses idées et surtout elle avait l’air de manquer de beaucoup de confiance en elle. Malgré toutes mes pensées négatives, cette jeune fille pourrait être un très bon agent fédéral. La porte s’ouvrit rapidement avant de claquer contre le mur de la pièce. Aleksandr, l’homme à tout faire d’Evans était sur le seuil de la pièce, pointant son arme sur la jeune femme.

- Mademoiselle Rodriguez . . . Vous ne savez pas à quel point M. Evans tiens à cette jeune femme effectivement. Commença t-il, sur un fort accent russe. Mais par contre, il ne tient en aucun cas à la votre ! Dit-il en chargeant son arme.

J’esquissais un léger sourire de satisfaction en regardant Audrey et lui offrant un léger clin d’œil.

- Sans coucher . . . en plus . . . Lui murmurais-je avec la plus grande discrétion.
- Aleksandr ? Pouvez-vous me rendre un grand service ? Commençais-je avant d’inverser rapidement les rôles avec la jeune fille, la désarmant de son couteau que je jetais à travers la pièce et en pointant mon arme sur sa gorge, l’immobilisant avec le poids de mon corps.
- Oui Tatiana ? Dit-il en abaissant rapidement son arme et en me souriant.
- Fermez là ! Lui dis-je avec l’un de mes regards les plus noirs, sont sourire disparus rapidement de son visage, sans aucun répondant.

Je pris l’agent du FBI part le col et la releva rapidement, mon arme sur la tempe. Je déposais sur elle mon regard pesant, je ne savais plus quoi faire . . . Je ne pouvais pas la tuer pour sauver ma couverture et ma mission. En l’espace d’une seconde, pendant ma longue réflexion, un coup de feu retentit, je pouvais voir Aleksandr s’effondrer sur le sol et la jeune femme, mon second 9mm à la main. Je la lâchai et la fixai avec un regard interrogateur. Elle avait prit mon arme qui était à ma ceinture, je ne lavais même pas sentis et je pouvais en penser que Aleksandr ne l’avait pas vu venir.

- Qu’est ce que tu as fait ?! Lui dis je avec colère !
Elle me regardait sans donner de réponse pendant un long moment.
- Il faut qu’on sorte d’ici ! Me dit elle avant de se ruer vers la sortis de la pièce.
- Attend ! Criais je.
- Quelle est ton nom ? Ton vrai nom ? Lui dis-je avec calme.

- Vous trouvez vraiment que c’est le moment de me demander mon nom ?

Dis-je surprise, je vérifia le couloir pour savoir si la voie était libre et effectivement que non, ceci aurais était trop simple … J’avais dit que j’arrêtais les infiltrations, que je ne prenais que les affaires de drogues et encore mais non, j’étais la seul a parler russe dans le service alors il a fallut que j’y aile moi bien évidemment, pour ma mutation a New York .. J’aurais préféré rester la ou j’étais a Los Angeles j’y était très bien. Et la bas tout le monde savait parler toute les langues donc je n’avais ce soucis pour les infiltrations a risques… depuis que j’avais fait celle de 1 ans ½ et que l’arrestation fut une grande réussite je leur avait dit que je ne voulait pas le refaire mais non il a fallut qu’il me reprennent moi .. En plus maintenant je me trouver en compagnie d’un super agent dont tout le monde parle en ce moment .. Il vont bien ce rendre compte que je n’ais rien a faire sur le terrain, je préfère la paperasse, certes j’ai des compétences mais y a des moment je préfères comme celui la laissais la plus a l’élite du F.B.I.

- Il y a deux garde qui approche au fond vers notre porte de sortie, une suggestion pour la suite ?

Je dit cela tout en me retournant vers ma partenaire du moment, elle semblait toute frêle mais en réalité a l’intérieur ce cache une battante hors du commun.

Dans cette situation je n’était aucunement stresser, j’aurais du l’être je venais de mettre en danger l’un des meilleur agent du F.B.I.. Peut être que âpres cela je devrais rendre ma plaque ? Enfin d’abord il fallait que l’ont sorte de ce trou a rat.

Je me mis dos au mur, rechargea l’arme et observa Nina.

- Qui prend lequel ?