Présentation de Larry Layne, photographe amateur et témoin potentiel terminée

Larry Layne

Age :20 ans

Métier :Photographe à plein temps

Groupe :Citoyen

Derrière l'écran

Pseudo :Larry Layne

Age :17 ans

Comment a tu connue le fow ? Je voulais écrire des textes policiers et je savais qu'il y avait des forum sur la série Castle, donc j'ai cherché sur internet et j'ai trouvé ce forum.

Fréquence de connexion :À peu près tous les jours.

Autre :J'aime bien lire, je joue du piano et j'adore les romans d'Agatha Christie.

Code du règlement :ICI

Histoire

Toutes les personnes qui se sont vues enlevées croient qu’un enlèvement peut être horrible, surprenant, brutal et parfois mortel. Pour ma première fois, ce n’était pas du tout comme ça. Fils de bonne famille, je ne me plaisais pas auprès des riches garçons qui polluaient (et polluent toujours) les eaux de l’East River. A part, marchant dans ces rues gigantesques et bondées à chaque heure du jour et de la nuit, je cherchais l’aventure. Je ne m’attendais sûrement pas à trouver ce gars, collé au mur d’un immeuble abandonné, me prendre par le bras et m’emmener loin de ces quartiers propres et bourrés d’illusions.

Mon père n’avait rien en poche qu’un vieux pinceau qu’il n’utilisait jamais. Son heure de gloire avait sonnée lorsqu’il était devenu père. Voilà pourquoi je vous ai dit que j’étais un gosse de bonne famille.
Malheureusement, ce petit paradis ne dura pas longtemps. Les œuvres de Jack Layne, menacées par les nouvelles mœurs (de nos jours on aime les tableaux vides), tombèrent bientôt dans l’oubli. De ce passé florissant, il ne nous restait que quelques toiles, accrochées maladroitement aux murs de notre maison de Brooklyn.

Ma mère, femme énergique et maniaque, n’a pas pu apercevoir ces longs corridors qui tracent les avenues de nos vieilles universités. Galvanisée par son propre père, elle n’avait pas eu le courage de s’y inscrire. Malgré ses connaissances, elle dut vite trouver un travail pour se faire vivre. C’était avant qu’elle ne rencontre mon père. Devenue serveuse à plein temps dans un restaurant de Greenwich, elle passait tout son temps là-bas. Fière de son savoir, elle le communiquait à ses clients, qui lui reprochaient souvent de ne pas avoir eu la hardiesse d’étudier afin d’être heureuse dans ce qu’elle faisait.

Âgée d’à peine vingt ans, un jour qu’elle parlait avec un consommateur des plus bavard, elle avait aperçu au bout du restaurant un jeune homme de son âge, dont le visage lui disait quelque chose. Bien sûr, elle ne connaissait personne qui lui ressemblait, mais c’est en tout cas ce qu’elle lui avoua dès qu’elle se fut rendue à sa table. Charmé par cette femme curieuse dont l’œil brillait d’un éclat si particulier, il lui avait dit qu’il était peintre. A l’époque il n’était pas reconnu, mais le charme opéra, et Alice Pie (voilà le nom de ma chère mère) devint dès cet instant follement amoureuse de cet homme solitaire et timide.

Deux ans plus tard, j’étais né. Issu d’un milieu d’artiste, j’en devins un. Passionné de poésie, je lisais de tout. Les œuvres de Sylvia Plath, Frost et Virginia Wolf passaient dans le mixeur continuel de la mémoire et qui, si nous ne le décrassons pas tous les jours, finit par nous broyer totalement. Plus rien n’avait de secret pour moi. Tolkien était passé sous mes ongles ainsi que Rowling et Wilde, et Swift berçait tendrement mon esprit de voyageur.

J’en étais toujours aux Voyages de Gulliver quand, à l’âge de dix-sept ans, je fis une étonnant découverte. Mon anniversaire (le quatrième jour d’avril) arrivait bientôt et je savais que mes parents, qui pensaient fêter un événement majeur de ma vie, allaient m’acheter le plus beau cadeau qu’ils pouvaient m’offrir. Seulement, cette période de l’année était loin d’être prospère : Mon père ne vendait plus une seule de ses précieuses peintures, ma mère commençait à prendre des antidépresseurs, et mon meilleur ami, un vieux mendiant qui avait été autrefois un grand artiste, venait d’être renversé par un chauffard.

Fait bouleversant dans tous ces embarras, c’est que Max (le clochard) m’avait, il y avait de cela deux semaines, prévenu qu’il n’avait plus longtemps à vivre et le visage balafré par l’affront de l’âge, il m’avait dit : « Si, ta famille et toi n’avez plus d’argent, vous pouvez compter sur moi. Tu connais bien sûr ma cachette à outil, non ? » J’acquiesçai. Il m’avait souvent parlé de cette petite rue où il cachait tous ses trésors.« Eh bien, tu chercheras dedans un vieil appareil photo qui n’a probablement servi qu’à moi lorsque j’étais jeune. Prends-le, car je sais que tu auras comme moi la patience d’attendre le bon moment pour capturer cette étincelle de paradis qui dessine les photographies.»

Obéissant à Max, dès que je sus qu’il avait disparu, je pris la résolution d’aller chercher l’appareil photo. Je n’eus pas plus tôt atteint la cachette qu’un homme que je n’avais pas remarqué s’était approché de moi par derrière. A peine eussé-je sorti l’appareil photo du trou, qu’il me l’ôta avec une force prodigieuse sans dire un seul mot. Surpris, je protestai que l’objet était à moi, mais il n’en voulut rien savoir. Il plongea l’appareil photo dans sa poche de manteau et s’en alla. Curieux d’apprendre pourquoi cet homme, à peine plus âgé que mon père, m’avait ravi la chose que je voulais le plus au monde, je le poursuivis en lui criant de revenir et de me rendre ce qu’il m’avait injustement volé ; mais au lieu d’entendre raison, il se retourna et, m’ayant promis de m’obéir, m’emmena dans une ruelle étroite. Une fois arrivé, il sortit de sa poche un mouchoir qu’il me mit de force au niveau du nez. Sans savoir ce qui m’arrivait, je m’évanouis.

Le reste de l’histoire m’a été raconté par mes parents, qui, inquiets de ne pas me voir rentrer, se rendirent au département de police de New York pour en avertir la justice. Pendant ce temps-là, mes ravisseurs, ignorants des effets néfastes du chloroforme, qui, bien qu’il ne me rendit pas aveugle, me plongea dans un coma de deux semaines. Sans m’en rendre compte, j’avais été enlevé par un homme dont le caractère avait dépassé celui de sa raison. En réalité, cet homme était un petit criminel à la base, mais qui, à cause de son caractère violent, était devenu un meurtrier.

Il y avait de cela trois ans, Max avait rencontré ce type dans un bar. Bon parleur, celui-ci l’avait embourbé dans une affaire qui fait toujours beaucoup de bruit et Max avait alors besoin d’argent. Banquier d’origine, il avait donné des centaines de dollars à Max sans lui dire qu’il devait lui rendre. Un mois plus tard, en conséquence de sa naïveté, Max fut abordé par trois messieurs armés qui l’avaient menacés de le tuer s’il ne leur donnait pas à chacun six cents dollars. Le pauvre Max, effrayé, ne put rassembler une telle somme, et souffrit de son innocence en s’étant fait renversé par son banquier.

En fait, le banquier ne voulait pas de l’argent. Il voulait tout ce que Max possédait. En l’embarrassant d’une dette qu’il ne pouvait pas effacé, il croyait qu’il pouvait avoir tous ses trésors. Cependant, il était arrivé trop tard à la cachette à outil. Un gamin l’avait devancé, et un gamin qui connaissait bien Max. Voyant le désespoir le submerger, il fit une chose à ne pas faire : retirer des mains d’un môme l’objet qu’il désirait. En l’enlevant, il fit une grosse erreur, car seul cela aurait pu le livrer à la police. Grâce à mon GSM, bien coincé dans ma poche de jean, le banquier perdit sa liberté et je regagnai la mienne.

Aujourd’hui, dès que je me remémore cette histoire, je me dis que j’avais eu de la chance de tomber sur un homme aussi naïf que Max Feld. Désormais, je sonde les rues de New York en recherche d’autres criminels, armé seulement d’un appareil photo.

Votre Physique

A bien me regarder, on voit bien que j’ai déjà rencontré des criminels : les cheveux sales et bouclés (emmêlés à vrai dire) et cet air de voyou qui me suit partout où je vais. Même si je ne fume pas, j’ai souvent porté à mes lèvres des clopes, mais c’était juste pour qu’une de mes photos, que je voulais qu’elle soit une de mes meilleures, me montre comme un « bad boy ». Cependant, j’aime porter des boucles d’oreille. C’est à peu près le seul truc de mon physique qui me paraît indispensable. Je trouve que ça me donne un air cool. On peut dire tout ce qu’on veut sur moi, je soutiens que je m’en moque. L’opinion des autres, je ne l’écoute pas. On me dit que je suis musclé, mais je n’y crois pas, bien que mes photos disent le contraire. Je n’ai malheureusement pas de barbe, et c’est ce qui m’énerve le plus dans mon physique. Je n’arrive pas à me faire pousser un barbe qui ne poussera peut-être jamais.

Enfin, les vêtements. Je ne mets pas des costumes super chers ou des pantalons de cachemire, mais j’aime être bien habillés. Pour moi, pas besoin de cravate. Avec tout ce que je touche pour avoir la bonne vue lors de mes instants photos car ça la salirait plus qu’autre chose. Pour l’été, un T-shirt et un short me suffisent amplement. Pour l’hiver, il m’arrive de porter des pulls. Je n’ai qu’une paire de chaussures, et j’en suis fier grâce à leur efficacité sur le terrain. En bref, les trucs classes ne me vont pas du tout, et j’en suis soulagé. Je soigne mon apparence, mais pas jusque là.
Votre Caractère

Je n'ai Dieu soit loué aucun point commun avec mon père. Je ne suis pas timide au point de ne plus sortir de chez moi les jours où la foule martèle de son pas régulier les pavés de la rue. Je suis plutôt curieux(sentiment que j'ai reçu de mes deux parents) et souvent jusqu'à l'excès. Mon passé mouvementé m'a beaucoup changé.
Autrefois je ne faisais aucunement confiance à la police et je n'aurais jamais tenté de l'aider. Rassurez-vous, la police ne m'a pas encore embauchée pour faire partie de ses enquêtes, mais je puis dire que je suis convaincant lorsque je veux quelque chose. Éloquent donc, mais parfois maladroit devant ces femmes qui peuvent surpasser mon caractère et me faire ravaler ma langue. Maladroit dans mes actions, je suis pourtant très doué pour prendre au bon moment une photo qui pourrait me rapporter gros. Eh oui, je suis attiré par l'appas du gain, mais je ne suis pas avare et je donne régulièrement aux mendiants de l'argren souvenir de Max. De plus, je déteste jouer au poker ou à ces jeux où quelqu'un doit perdre son argent parce qu'il a mal joué. J'abhorre tout ce qui peut être injuste, et ces jeux sont injustes envers ceux qui dépensent toutes leurs économies pour un jeu de cartes.
Toutefois, j'aime me mettre en danger, et le risque est pour moi comme une drogue, un désir qui veut toujours s'enfler jusqu'à ce qu'il explose. Finalement, je n'aime pas qu'on me contredise, et si la personne qui me parle ne fait pas gaffe, je peux être très violent, mais seulement en paroles. J'ai tous les traits d'un homme colérique, mais je n'oserais jamais attaquer par derrière pour une raison de vengeance, bien que j'aime parfois me venger par mon sang-froid et ma constance. J'espère en tout cas que si je tombe sur un flic, il ne me prendra pas pour un tueur en série psychopathe et mythomane.

CRÉDIT - FICHE

Bonjour et bienvenue parmi nous !

Si tu as des questions n'hésite surtout pas, ma boite a MP est ouverte Very Happy

Ensuite, attention, ton avatar n'est pas a la bonne taille, il faudrait le mettre en 200X320 et aussi, que l'on puisse voir la célébrité que tu as choisi

j’espère ne pas t’effrayè dés ton entré en espérant que l'un puisse croisé nos plumes, Ian.

Bonjour. Merci de ton accueil.

Pour l'avatar, est-ce que tu sais un site où je pourrais agrandir mon avatar?

J'ai essayé de le faire par moi-même mais c'est trop petit.

Bienvenue! Very Happy

Non, je ne connais pas de site, mais tape ta célébrité sur google image va dans
-outil de recherche
- taille
- égale à.... et tu écris : Largeur 200 Hauteur 320.

Sii tu n'y arrive pas pour ton avatar, quand je peux et que mon ordi marche Wink

je m'en occupe Smile

C'est très gentil de ta part. Voici l'adresse de la photo:

http://www.virusphoto.com/imagehosting/7184806543657f0d.jpg

Merci.

T'inquiète pas.. je suis la pour cela Smile

Dès que j'ai un moment je m'en occupe Smile

*Désoléé du double Post*
C'est pour te dire, que j'ai mis ton Avatar à la bonne taille. Désolée du blanc autour, car j'ai fais tout ça avec mon téléphone. Quand j'aurai un PC je le ferai sans le blanc. A part si cela ne te dérange pas Wink

Non, ça ne me dérange pas du tout. Aujourd'hui je m'attaque à mon histoire. Pour le code, il est vraiment important de le mettre? Je crois l'avoir trouvé, mais je ne suis pas sur.

Oublie le code, c'est Ian qui veut en mettre un mais moi je veux pas Smile

Vous avez jute interêt à le lire c'est tout Smile

Si vous ne le respectez pas, moi je ne préviens pas deux fois. Juste pour que tu le sache Wink

Donc laisse tomber Smile

Désolée, je me suis trompée de compte Embarassed

ba le code est la pour m’assurè que tu a bien lu le règlement c'est tout

Ouai mais c'est galère pour gérer pour nous derrière Wink

Bonjour, j'ai terminé ma fiche, mais pas moyen de trouver le code du règlement du forum. J'ai essayé de voir s'il était caché dans le texte ou si vous l'aviez écrit en blanc sur les côtés, je n'ai rien pu faire. J'ai lu de fond en comble le règlement, mais il y en a deux. Est-ce que vous pouvez me dire au moins dans lequel le code se trouve?
Merci beaucoup.

Il n'y a plus de code, plus haut je t'avais dit de pas le mettre Wink

Ok, merci.

Héeee Bah !! Je suis heureuse de voir une fiche aussi complète et rédigé de la sorte.
Je suis heureuse de t'intégrer permis nous et de valider ta presentation

Merci. C'était un plaisir de rédiger ma fiche, mais si c'est un peu ennuyant de décrire physiquement et psychologiquement mon personnage.

Oui c'est sur, mais nous demandons pas si long, si tu le voulais, tu aurais pus abréger Smile

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