Une équipe Matinal [ Castle, Kate ]

J’ouvris lentement les yeux, j’étais toujours blottis dans ses bras comme si il ne voulait plus me lâcher. Je jeta un coup d’œil par-dessus son épaule pour entre percevoir le réveil qui était sur la table de chevet, celui-ci annonçait 5h18 du matin. J’essayais de glisser calmement hors de son étreinte, quand soudain, le jeune homme se mis a bouger pour enfin me libérer et se retourner sur le coter opposé du lit.
Je me permis de respirer, mon cœur battait aussi fort que des percutions, je me leva lentement du lit en évitant de le faire grincer. Je repris mes sous vêtements que j’avais parsemée sur le sol, ainsi que mes habits, je me recoiffa rapidement en faisant une queue de cheval, et remis ma veste. Lentement, je me déplaça dans la pièce et fouilla dans les tiroirs à la recherche de la marchandise et de l’argent que se dealer se faisait depuis quelle que mois, mais le seul point faible de ses hommes sont les jolies jeunes filles. Je me déplaçais sur la pointe des pieds en essayant de ne pas faire de bruit, quand l’une des latte du plancher se mis à grincer bruyamment. Je me stoppa nette quand j’entendis mon suspect gesticuler dans son lit avant de se rendormir. Je fis redescendre la pression que je mettais mise et continua mes recherches …
Après quelle que minutes, je trouva enfin ce que j’étais venu chercher, toute la marchandise et l’argent de son business cachée dans son armoire à vêtements. 

- Il y a de quoi se défoncer pour l’année avec tous ça … Dis je en chuchotant tellement que j’étais surprise. Je sortie mon portable et pris une photo quand tout à coup, ma belle au bois dormant se réveilla.

- Qu’est-ce que tu fais ! Cria-t-il 

Je referma rapidement les portes et dissimula l’un des paquet que j’avais pris quelle que seconde plus tôt dans mon dos pour avoir des preuves.

- Rien … Beau Gosse .. Je n’allais pas tarder à y aller … Dis je avec une petite voix sensuelle … Je ne voulais pas te réveiller, tu dormais si bien, bon je vais y aller. Dis je avec un ton un peu triste et innocent. Je me rapprochais lentement de la sortis en dissimulant le paquet sous ma veste quand j’entendis une armes entrain d’être chargée.

- Tu te fou de moi ! 
Toujours dos à lui, je commença à prendre mon armes que j’avais dissimulé sous mon T-Shirt.
- Mais Non … Dis je en commençant à me retourner avec un ton aussi innocent que le premier.
Ok … Je te prend vraiment pour un con ! Lançais je en lui faisant face et en pointant mon armes sur lui.

En l’espace de quelle que seconde, je lui colla une balle dans le bras droit d’où il tenait se revolver, le jeune homme le lâcha et s’écroula de douleur sur son lit tout en se tenant l’avant bras.
Je me rapprochais lentement de lui en jetant son revolver du pied loin de lui. 
Je me pencha à sa hauteur et le fixa.

- J’espère pour toi que tu es Pâtissier et que c’est ton stock de sucre ! Si se n’es pas le cas … alors la … tu es dans la merde ! Finissais je en lui posant le canon de mon armes sur la tête tout en me relevant.

- Tu es une sale Garce ! J’ai rien vu venir …
- Je prend sa pour un compliment ! Lui dis je en lui mettant les menottes.

Je pris mon portable et appela la NYPD en anonyme pour leur annoncer que Marco Lietta les attendaient dans son appartement. Je patientais en surveillant leur arriver, quand une équipe de police commença à gravir les escaliers, j’ouvris la fenêtre et m’enfuis par l’échelle de secours.
Je m’engagea dans la rue comme si de rien n’était, d’un pas serein, je retira ma perruque blonde platine et disparus au milieu de la foule.

La police arrêta le dealer et commença à l’embarquer dans la voiture, pendant se temps il cria a plein poumon.

- ELLE EST OU CETTE SALOPE QUE JE LUI DÉFONCE LA TÊTE ! Cria-t-il en montant dans la voiture.
- La ferme ! Lui répondis l’un des policier.

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J'arrivais enfin au commissariat, j'étais impatiente de voir comment cette lieutenant allait gérer cet individus. Je montais dans les bureaux par l'escalier, un peu de sport me ferais le plus grand bien.
Je me retrouvais dans une pièce sombre et déserté, des paperasses encore en pilier sur certaine table et bureaux. Je vis de la lumière dans l'une des pièces du fond, je m'approchais lentement, sans me faire remarquer et entrouvrit la porte avant de l'ouvrir complètement et croiser les bras tout en m'adossant contre le mur de la pièce.

- Vous êtes bien Matinal mon chère Castle ? Dis je un sourire au lèvres.

Le bruit du téléphone portable de Kate me sortis brutalement de mon sommeil et d’un rêve absolument génial qui plus est. En effet, pour une enquête, Kate et moi avions du intégrer la NAVY et nous pourchassions un certain Altair Nawal. Il était le dirigeant d’une armée terroriste de plus de 15 000 hommes.

Enfin, nous étions dans le désert et Kate se trouvait comment dire… dans une tenue assez légère mais armée jusqu’aux dents. Avec notre équipe, nous avions réussi à trouver son repaire et nous avions livrés l’armée entière à la NAVY pour que ces terroristes soient jugés. La seule chose que je trouvais perturbante, c’est que Permultter en face partie…

Mais après cette incroyable « excursion », Kate et moi nous étions retrouvés pour fêter cela… Et le téléphone de Kate a sonné quand les choses commençaient à devenir intéressantes.

Je grognais de mécontentement et entendis Kate faire de même.

- Ne réponds pas Kate, ils peuvent survivre quelques heures sans toi… Dis-je en l’attirant vers moi. Tu as vu l’heure, il est à peine 4 heures du matin…

- Castle… Dit-elle en prenant en main son téléphone avant de décrocher.

- Beckett. Répondit-elle d’une voix étonnement claire et réveillée.
- D’accord, on arrive. Dit-elle avant de raccrocher.
- On a une enquête chaton ! Lança-t-elle avant de tirer toutes les couvertures.
- Mais !!! Râlais-je avant de la tirer vers moi. Toi tu ne bouges pas. Dis-je en prenant d’assaut ses lèvres.

Nous nous embrassâmes quelques minutes avant que la raison de ma partenaire reprenne le dessus et se libère de cette étreinte.

- On doit y aller Castle, il faut qu’on se dépêche.

Un petit quart d’heure plus tard, nous arrivâmes au commissariat avec chacun notre gobelet de café à la main venant du Star Buck.
Gâtes demanda à voir Kate alors je me rendis à la salle de pause pour terminer tranquillement mon café en attendant son retour.
J’entendis le grincement d’une porte et vis une jeune femme s’adosser sur le chambranle de la porte, les bras croisés.

- Vous êtes bien Matinal mon cher Castle ? Me dit-elle, le sourire aux lèvres.
- Agent Dobrev, c’est un plaisir de vous voir ! Mais voyez-vous, je suis un membre à part de cette équipe mais cela ne m’empêche pas de faire du travail de flic…
- Même si là je termine mon café… Ajoutais-je voyant son regard. Mais j’attends le retour du lieutenant Beckett… Repris-je avec assurance.

Un bruit étrange me sortit de mes songes. Mon téléphone. Encore lui. Un coup d’œil sur le réveil. 4H07. Encore un meurtrier qui s'est senti l'envie de commettre un meurtre de si bonne heure. Faut-il leur rappeler que nous aimerions avoir une vie en dehors de notre boulot ? Nan, ça leur passerait au-dessus. Castle râle. Pas besoin alors de le réveiller.

- Ne réponds pas Kate, ils peuvent survivre quelques heures sans toi… Dit-il en m’attirant vers lui. Tu as vu l’heure, il est à peine 4 heures du matin…

- Castle… Dis-je en prenant en main mon téléphone avant de décrocher.

- Beckett.[i] Répondis-je d’une voix étonnement claire et réveillée.[/i]
- D’accord, on arrive. Dis-je avant de raccrocher.
- On a une enquête chaton ! Lançai-je avant de tirer toutes les couvertures.
- Mais !!! Râla-t-il avant de me tirer vers lui. Toi tu ne bouges pas. Dit-il en prenant d’assaut mes lèvres.

Quelques minutes passent avant que je me rende compte qu'il faut que l'on y aille. J'aurai préféré rester ici mais l'équipe ne va pas nous attendre éternellement.

- On doit y aller Castle, il faut qu’on se dépêche.

A peine arrivés au commissariat avec nos cafés à la main, que Gates souhaite me voir. Elle va encore vouloir me demander d'aller le plus vite possible pour résoudre cette enquête.

- Chef ! Vous voulez me voir ?
- Entrez, lieutenant et fermez la porte derrière vous.

Ce que je fis de suite. Puis, je me dirigea vers son bureau et me mis devant elle. Elle avait un air assez grave. Chose qui ne devait pas avoir de lien avec notre meurtre.

- Lieutenant Beckett, comme vous le savez, nous détenons, dans nos locaux, un certain Marco Lietta, me dit-elle, en regardant un dossier.

- Un appel anonyme, m'a-ton dit ? Répond-je.

Elle hocha de la tête.

- J'aimerai que vous alliez interroger notre suspect mais avant tout, je dois vous dire que l'agent du FBI Dobrev est ici et souhaite participer à l'enquête ?
- Nina ? Ici ?

Je jette un œil dans la salle, essayant de voir où elle pourrait être. En vain.

- Mais chef, continuai-je. Depuis quand devons-nous collaborer avec le FBI ? Nous sommes assez pour gérer ça …
- Je sais, je sais mais étant donné les éléments que nous avons et la preuve qu'elle nous a donné, je ne peux que lui donner accès aux dossiers.
- Mais … répliquai-je, avant que Iron ne me fasse signe de la main de partir.

Je soufflai. Je n'aimais pas que le FBI s'interpose de la sorte, bien que j'appréciais énormément Nina.

- Ok, chef.

Elle me tendit le dossier et me fit signe de sortir.

- Elle vous attend dans la salle de repos.

Je me dirigea donc vers la salle de repos, voyant mon homme en pleine discussion avec elle.

- Nina, dis-je avec un grand sourire, en rentrant dans la salle.

- Vous êtes bien Matinal mon cher Castle ? 
- Agent Dobrev, c’est un plaisir de vous voir ! Mais voyez-vous, je suis un membre à part de cette équipe mais cela ne m’empêche pas de faire du travail de flic… 
 
Je haussais un sourcil en le fixant.


- Même si là je termine mon café… Ajoutait-il en voyant mon regard. Mais j’attends le retour du lieutenant Beckett… Reprit-il avec assurance.
- Vous n’avez pas à vous justifier Castle … Commençais-je calmement avant de m’avancer dans la pièce et de m’assoir sur l’une des chaises avec nonchalance, toujours en le fixant … Vous m’intriguez Castle … Repris-je en penchant la tête sur le côté droit avec un léger sourire malin en le regardant de la tête au pied.
 
Il faillit s’étouffer avec une gorgée de son café avant de me fixer avec un regard interrogateur.  J’en riais intérieurement, pour moi, un écrivain n’a rien à faire dans les pattes du NYPD, voir même toute sorte de forme judiciaire ou gouvernemental. Je me méfiais de lui, malgré son regard et ses allures d’enfant de 9 ans, cet homme était très intelligent.
Je me perdis dans mes pensées avant de le fixer avec de nouveau un petit sourire secret, de croiser les jambes et de regarder autour de moi comme si j’avais peur d’être vu où même entendu. Je crois que ma plus grande passion était de faire tourner la tête aux hommes, les faires réfléchir à des questions qui n’existent pas, essayant de deviner à quoi je pense.
 
- Oui Castle … Vous m’intriguez … Dis je sur un ton sans émotions, presque neutre avant de me relever avec lenteur de ma chaise et de m’approcher de lui, peut être un peu trop prêt à son goût … Car pour moi … Repris je en cherchant mes mots et en regardant de temps en temps le plafond comme si la réponse allait tomber du ciel. Je plongeais mon regard dans le siens avant de poursuivre … Un écrivain n’a rien à faire ici ! Finissais-je avec plus de conviction.
 
Je ne lui laissais pas le temps de répondre en lui donnant un coup de poing amical sur l’épaule en voyant Kate arriver avec le coin de l’œil.
 
- Mais sans rancunes Castle ! Dis-je avec un grand sourire faux.
 
- Nina. Dit-elle avec un grand sourire.
 
Je jetais un petit regard à Castle avant de me diriger vers elle.
 
- Lieutenant Beckett ! Enfin Kate si je peux me permettre ? Lui dis je en lui tendant ma main qu’elle prit volontiers.
 
- Je suis désolée de m’imposer dans votre enquête … Dis je en paraissant gênée, mais au fond de moi je ne l’étais pas … Je sais que le NYPD, surtout votre équipe faite un excellent travail mais nous suivons ce suspect depuis un bon moment Lieutenant Beckett et nous voulons mettre toutes les chances de notre côté pour l’enfermer une bonne fois pour toute, si vous me comprenez ? Finissais je avec mon petit sourire enfantin, tout en pensant que j'étais surement comédienne dans une autre vie.