Temps pluvieux

Alexis s'était à nouveau levée tôt aujourd'hui, et après avoir déjeuné, elle était retournée dans sa chambre. C'était les vacances, et elle ne savait pas trop comment elle occuperait sa journée, étant donné, que ses amis étaient partis en famille. Tous au soleil. Alexis s'était donc recouchée dans son lit, en poussant un soupir de lassitude, avant de regarder l'heure sur le réveil placé sur sa table de nuit.

Jeudi 16 août- 7h30

*Seulement 7h30?*
Elle se retourna sur le lit et enfouit sa tête dans son coussin en grimaçant, et resta dans cette position quelques minutes. Le temps pour elle de trouver une activité. Son père n'était pas à la maison ces jours, et elle devait s'occuper toute seule.
Après quelques instant de réflexion, elle pensa peut-être aller faire un jogging. Mais.. Après avoir jeté un coup d'oeil à sa fenêtre, elle décida d'abandonner l'idée. Elle avait trop été plongée dans ses pensée pour remarquer le bruit de la pluie sur les vitres, alors qu'il pleuvait à torrent. Ce temps n'allait pas lui aider à faire passer sa journée.
*Donc... Il me reste: les jeux video de mon père et les livres.*
Elle se dirigeât donc vers la bibliothèque de sa chambre et commença à parcourir les titres, espérant en trouver un d'interressant. Elle les avait déjà tous lu, et avait en général de la peine à se replonger dans un livre dont elle connaissait déjà la fin. Après avoir parcourut toute sa bibliothèque du regard, elle se releva et sortit de sa chambre. Elle se rendit dans le bureau de son père. Il lui manquait terriblement. Alexis décida donc de lire un de ses livres. Elle opta pour "Vague de chaleur", le premier roman de l'histoire de Nikki Hard. Mais aussi le premier pour lequel il s'était inspiré du Lieutenant Kate Beckett. Dès qu'elle l'eut trouvé, elle le prit et s'installa confortablement dans le fauteuil de son père. Après une pensée pour son père, elle l'ouvrit enfin et commença sa lecture.

Les mains sur le volant, je regardais la route défiler sous mes yeux, le temps était grisâtre et des nuages sombres nous menaçaient. Je roulais depuis quelle que temps déjà, et l'impatience commençait à me monter au nez. Je ne pouvais plus supporter ses feu rouge, et j'étais pressée, je ne pouvais pas me permettre de perdre une minutes de plus. Je fouilla dans la boite a gants et pris mon Gyrophare et le plaça rapidement sur le toit de ma voiture après que la fenêtre soit ouverte.
Je le mis en marche et frappa le klaxonne qui se trouvait sur le volant avec rage. Les quelle que voitures qui se trouvaient sur mon chemin en se poussant sur le coter, je me fraya un passage entre se bouchon monstre.

- C'est CARNAVAL pour que vous sortiez tous a cette heure ci !? Ou c'est pour me faire chier ! Criais je, toujours en klaxonnant avec rage et fureur.

J'avoue, je n'étais pas discrète ... et cela n'était pas digne d'un agent fédérale et encore moins d'un Agent de la CIA, mais bon, il fallait que je sois a l'heure pour cette mission.
Enfin, c'est plus une mission personnelle qu'autre chose, il fallait que j'en sache plus sur cette homme, je ne voudrait pas qu'il contredise avec sa bêtise mes plans. J'étais plus cas quelle que rues de chez les Castle, après mes nombreuses observation, à cette heure Castle n'était pas chez lui et sa mère venait tous juste de partir et bien sur sa fille, studieuse comme je l'entend dire, étudie surement à la bibliothèque ou est partis en vac. Une mission complètement anodine.
Je retira le Gyro. avant d'arriver à destination, cela servait à rien de se faire remarquer d'avantage.
Je me gara prêt de l'immeuble ou Castle avait son domicile, je coupa le contact et pris un sac de sport noir qui était sur la banquette arrière, il contenait tous le matériel aux quelle j'aurais besoin pour entrer et autres. Je me pencha légèrement en avant et partis à l'aveugle à la recherche de mon arme sous le siège conducteur que j'avais cacher pour certaine situation, même si je m'attendais à rien de bien choquant chez cette homme, mais bon... on ne sait jamais.
Je plaça mon silencieux dans dos, bloqué grâce à mon jeans noir. Je pris ma veste de sport à capuche noir également et l'enfila avant de sortir. Après réflexion, j'avais l'impression que j'allais braquer une banque vêtu ainsi, ceci me fit rire intérieurement.

Je sortis de la voiture, mon sac sur l'épaule, les cheveux dépassant de la capuche et continua le chemin à pied. Enormement de monde rentraient et sortaient de l'immeuble, je ne pouvait pas prendre le risque de passer par la grande porte, je regardais un peu partout autour de moi, quand une idée farfelu m'illumina.
Je vis la ruelle sombre passer derrière l'immeuble et je pensais tous de suite au échelle de secours.
Je disparus en quelle que seconde, pour arriver au pied des échelles, je lança mon sac la haut pour être libre de tous mouvement pour attraper l'échelle qui n'était pas dépliée.
Celle-ci était trop haute pour que je puisse sauter afin de l'attraper, je réfléchissais quelle que instant et fixa le mur face à moi, je recula de quelle que pas et pris mon élan, je courus face au mur et sauta, je pris m'a battue grâce à mes pieds sur le mur et bondis en direction de l'échelle et l'agrippa des deux mains, j'utilisa cette vitesse et cette force et je me mis à me balancer vers l'avant. Une fois vers le haut, je me retourna pour pouvoir agripper la barrière de la plate-forme supérieur grâce mes jambes. La tête en bas, je n'avais plus cas me redresser pour monter et me mettre debout. Je repris mon sac et monta les escalier tranquillement jusqu'à que j'arrive à la fenêtre de Castle.
Je jeta un rapide coup d'oeil à l'intérieur, aucune lumière et aucun signe de vie, je décida d'entrer.
J'essayais de forcer la fenêtre avec le plus grand silence possible mais cela était impossible.

- Et puis Merde !

Je referma mon sac et d'un geste rapide, je pris mon arme et tira dedans, le coup de feu était presque inaudible, on entendait juste le verre brisé tomber sur le sol, j'avais l'impression que cela n'avait alerté personne à l'extérieur.
Lentement, je me glissa dans l'appartement et posa mon sac sous la fenêtre, j'essayais d'écouter pendant un premier temps puis je fis quelle que pas, l'arme face à moi, le regard qui se dirigeais partout. Il n'y avait bien personne.
Je commençait à ranger mon arme quand soudain, j'entendis un bruit suspect, je dégaina mon arme en une micro Sec. vers sa direction. Je m'avançais lentement dans la pièce, toujours la capuche sur la tête.

Alexis sursauta quand elle entendit qu'une des vitres du loft s'était brisée. Elle posa son livre sur le bureau de son père et attrapa le première objet qu'elle pu pour se défendre, c'est-à-dire, une grosse agrafeuse. Dès qu'elle eut saisît son arme, la jeune fille alla se plaquer contre le mûr à côté de la porte.
*Calme-toi.. tu vas te faire repérer.*
Elle se concentra sur sa respiration et les battements de son coeur, ayant peur que l’intrus ne se rende compte de sa présence. Alexis risquât un coup d'oeil dans la pièce voisine et vît une silhouette encapuchonnée. Au moment de se remettre contre le mûr, elle tapa, sens le faire exprès, son agrafeuse sur le coin de sa "cachette". Elle fermât les yeux et serra les dents, priant pour que son erreur soit passée inaperçue.
*Non, non, non ..! *
Elle crispât ses doigts autour de sa seule arme, sa seule chance de s'en sortir. Puis elle entendît des pas s'approcher d'elle. Son coeur battait la chamade et elle pouvait percevoir son pouls dans ses oreilles. Elle retînt son souffle et sentît une larme perler au coin de son oeil.
*Pourquoi faut-il que je sois seule?! Pitié papa, grand-mère, rentrer vite.*
La jeune femme avait peur que son adversaire soit armé d'autre chose au'une agrafeuse... Comment aurait-il pu briser une vitre sinon?

Je m’avançais lentement, d’un pas assurée, je baissa mon arme et laissa mon arme reposer sur le coter de ma cuisse. J’entrais doucement dans la pièce, se qui me sauta a l’œil était le bureau immense qu’avait Castle, je passa le seuil de la porte et m’avança dans la pièce et arriva prêt du bureau et y posa mon arme puis mes deux mains pour m’y appuyer. Je regardais un peu au tour de moi et vis les nombreuse étagères qui composaient cette pièce.

- Il n’aurait pas pus habiter dans un studio … Dis je fessant le tour du bureau pour ouvrir les tiroirs afin de fouiller grossièrement. … Stupide écrivain …

Soudain, je stoppa mon action, mon sixième sens s’était mis en marche, il se passait quelle que chose d’anormale dans cette appartement. Je regard à l’affut de la moindre chose, je tournis autour du bureau pour prendre mon arme. Je passa prêt de la porte et m’arrêta un moment. Je tapotais le canon de mon silencieux sur la porte, comme si je voulais jouer une rythmique, j’entendais une fine respiration, qui devenait de plus en plus saccadée … j’avais une ouïe très fine. Maintenant j’en étais sur, il y avait quelle qu’un derrière cette porte.

- Sors de là … Gamine …Dis en arrêtant de tapoter le canon de mon arme sur cette porte qui me semblais si fragile au premier coup d’œil. Puis je poussa la porte avec force de ma main droite pour m’assurer qu’elle était bien là.

- Sors de là ! Je ne me répéterais pas deux fois ! Insistais je.

Une fois repérée et sortie de sa cachette, Alexis essayât tout de même de frapper son ennemie avec l'agrafeuse qu'elle avait encore en mains, mais c'était sans espoirs. L’intruse la maîtrisât en moins de deux secondes.

-Lâchez-moi! Qu'est-ce que vous voulez?!

Elle se débattait sans succès. Son adversaire avait bien plus de force et d'expérience au combat. La jeune femme savait qu'elle n'aurait aucunes chances de s'en sortir en continuant de la sorte, alors elle arrêtât et en profitât pour reprendre son souffle. Son coeur battait à 100 kilomètre à l'heure.
*Et je fais quoi, moi, maintenant?*
Elle éludât la question. Son père ne rentrerait pas avant au moins le soir, et sa grand-mère .... Elle n'en avait aucune idée. Une seule solution, peu sûre, lui vînt à l'esprit. C'était sa seule chance.
*Gagner du temps.*

-Qu'attendez-vous de moi? Si vous cherchez de l'argent, prenez-le!

Alexis détaillât son adversaire. C'était une belle brune qui, bien que ne portant qu'un simple sweat, avait l'air soignée. Elle ne devait pas être là pour de l'argent.
*Et si elle était là pour m'enlever?!*
Cette idée lui vînt rapidement en tête. Après tout, son père était un célèbre écrivain. Et en plus de cela, il travaillait avec la police. Rien d'étonnant à ce que quelqu'un veuille se venger..

J’ouvris la porte et lui agrippa le bras fermement de la main gauche, car la droite était encombrée par mon arme. Elle essaya mais en vint de se défaire de mon emprise, je cachais mon visage temps bien que mal, je la traina à l’extérieur de la pièce. Elle se débâta encore et toujours, jusqu’à quelle s’épuise totalement, elle sortit dans une voix tendu et paniqué.

-Lâchez-moi! Qu'est-ce que vous voulez?!

Après ses mots, mon ventre se tortilla, je n’avais absolument pas prévus de prendre la fille de Castle en hottage. Enfin, cela est un grand mot, cette jeune fille semblait très maline, elle me rappelait moi à son âge.
Je la tenais toujours par le bras et arriva dans le séjour.

-Qu'attendez-vous de moi? Si vous cherchez de l'argent, prenez-le! 

Je garda mon calme, mais cela me prenais l’estomac qu’on puise me prendre pour une criminelle, après tous, elle ne me connais pas … je rentre par effraction, elle avait bien raison de se méfier. Je ma jeta doucement sur le divan pour l’assoir et garda un œil sur elle. J’essayais de réfléchir, vite … très vite … à la situation.
Je rangea mon arme dans mon dos.

- Je ne veux pas de votre argent … Répondis je calmement et avaec sang froid, tout en étant un ton un peu glacial.

Je lui tourna de le dos et fouilla un peu partout dans la pièce, il fallait que je trouve quelle que information, je ne voulais pas être venus ici pour rien.

- Je te ferais aucun mal, … à moins que tu m’y oblige… Dis je en la regarda dans les yeux avant de retirer ma capuche.

Une fois sur le canapé du séjour, Alexis avait pu remarquer que l'intruse avait pris soin de ne pas lui faire de mal.

-Je ne veux pas de votre argent.

Cette réponse confirma ce qu'elle pensait, et quelque chose lui disait qu'elle ne devait pas être là pour l'enlever non-plus. La jeune femme regarda son adversaire fouiller la pièce. Et plein de questions tournaient dans sa tête...
*Qu'est-ce qu'elle cherche si c'est pas de l'argent?!*
Alexis n'en avait aucune idée. Mais l'intruse avait l'air très méthodique, voie professionnelle dans sa recherche. Et la chose la plus impressionnante, était que son adversaire gardait son calme, alors qu'elle n'avait apparemment pas prévu la présence de la fille du célèbre écrivain.
*Un agent du FBI ? De la CIA? Et d'ailleurs, elle va faire quoi de moi après?!*

- Je te ferais aucun mal, … à moins que tu m’y oblige…

Cette dernière phrase lui glaça le sang. Mais la jeune femme ne pu quand même pas s'empêcher de poser les questions qu'elle avait en tête. Après tout, si elle finissait par mourir, au moins qu'elle sache pourquoi.

-Qu'est-ce que vous cherchez? Vous êtes un agent spécial ?

Je retournais vaguer à mes occupations et regarda un peu partout avant que j’entende Alexis parler.

-Qu'est-ce que vous cherchez? Vous êtes un agent spécial ? Dit elle avec une voix presque inaudible.

Je me retourna et la fixa, il ne fallait pas qu’elle sache, je ne savais pas quoi faire sur le moment. Mais je décida de rester calme et de jouer à son petit jeu de gagneuse de temps.

- Tu n’as pas besoin de gagner du temps avec moi … comme je te l’ai dit tout à l’heure … si tu es sage comme une grande fille ! Tu auras la vie sauve …

Je pus remarquer son expression de stupeur sur son visage, cela me retourna encore plus l’estomac de faire peur à cette gamine … Mon but premier n’était pas de prendre qu’elle qu’un en otage. Je décida d’être honnête envers elle.

- … Je cherche des informations sur ton père …

Je sortis du salon pour aller une nouvelle fois dans le bureau, je la surveillais du coin de l’œil.

- … Je cherche des informations sur ton père …

Cette phrase pétrifia Alexis. Que pouvait bien avoir à cacher son père? Elle avait confiance en lui, une confiance aveugle. Car avant d'être son père, c'était aussi le meilleur ami qu'elle n'ait jamais eut. La jeune femme chassât alors rapidement, honteuse, la seconde de doute qu'elle avait eut sur son père, de son esprit.
Elle regarda l'intruse continuer de chercher des informations sur le célèbre écrivain.
*Il faut que je trouve un moyen de m'en sortir.*
Son téléphone portable attendait patiemment dans la poche avant de son jeans, qu'elle l'utilise. Alexis eut une lueur d'espoir quand l'intruse s'éloignât et sortît de la pièce. Elle tendît l'oreille pour être sûre de ne pas se faire remarquer, et pu entendre que la brune s'éloignait de plus-en-plus. La belle rousse sortît alors son téléphone et décidât d'envoyer un message de détresse au bureau du Lieutenant Becket.
*Faites qu'ils soient au bureau et pas sur une enquête...*
Elle tapât rapidement le message.
- Intruse dans la maison. Suis prise en "otage". Aidez-moi. #Alexis -
Espérant depuis le plus profond de son Être, que le message était assez clair, elle cliquât sur "Envoyer". Le message partît directement. Encore heureux! Alexis n'osait même pas imaginer ce qu'elle aurait fait si il n'y avait pas eut de réseau. Elle rangeât rapidement l'appareil dans une de ses poches en entendant des pas se rapprocher.

Castle et Beckett étaient partis arrêter Jason Muller. Un trafiquant de drogue qui dilait dans le Queens.

Lanie avait découvert ses empreintes sur le corps la victime : Theresa Jenkins. Une jeune femme d’une vingtaine d’année, qui travaillait comme assistante au bureau d’avocat Donovan.

Une affaire simple en somme.

Je partis dans la salle de pause me préparer un thé. Je m’asseyais quelques minutes et me perdais dans mes pensées. (Mes pensées ne vous regardent absolument pas, voyons ! Bande de petits curieux ! ) Quelques minutes plus tard, je me décidais à faire la paperasse pour notre affaire.

La sonnerie du téléphone m’interpella. Il est rare que l’on envoie un sms sur le fixe de la police.

Je lis le message : Intruse dans la maison. Suis prise en "otage". Aidez-moi. #Alexis.

Mon dieu la fille de Castle est en danger ! J’appelais Castle et Beckett, et chargeais Velasquez de faire avouer le suspect dès que Hastings l’aurait emmené au poste. Comme elle se trouvait avec eux, le suspect ne risquerait pas de s’enfuir. Surtout que Hastings était L’âme Solitaire… (Ndlr : Castle saison 4 épisode 2, si vous ne voyez pas de qui je parle)

Je sortis rapidement du commissariat, et entrais dans ma voiture. Je mis le gyrophare et arrivais en une dizaine de minutes à l’appartement des Castle.

Je sais qu’y aller seul est vraiment imprudent mais s’il arrivait quelque chose à la fille de Castle, je ne me le pardonnerais jamais. J’ai toujours beaucoup apprécié cette jeune fille. Elle est bien plus mature que son père. Parfois, je me demande si c’est bien sa fille…

Je mis mon gilet par balle et pris mon glock 38. Je saluais rapidement le gardien qui me laissa passer sans demander quoi que ce soit. Il savait que je travaillais avec Castle ou plutôt il savait qu’il nous suivait pour des enquêtes…

Cependant je m’écriais en entrant dans l’immeuble :

- Ne laissez personne entrer ou sortir d’ici ! C’est clair ? Attendez l’arrivée de la police !

Je montais les escaliers quatre à quatre et défonçais la porte du loft de l’écrivain.

- NYPD ! Les mains en l’air ! Que personne ne bouge! M’exclamais-je en pénétrant dans l’appartement.

…

Le salon était désert et dans un désordre pas possible! Il y avait des dossiers éparpillés un peu partout, quelques vases cassés,…

Je ne pris pas la peine d’observer plus en détail car j’entendis soudain un bruit provenant du bureau de l’écrivain.

Je mis ma main sur la poignée de celle-ci et ouvrais lentement la porte…

Du coin de l'oeil, je vis Alexis dissimuler quel que chose précipitamment. Je pensais bien que cela était son portable. Je sortis de la pièce lentement et la regarda fixement. Son visage changea d'expression, on pouvait y lire une peur évidente. Je m'avançais lentement vers elle.

- Tu es arrivée à appeler les secours ? Où il faut que je t'aide et que je te prête mon portable ?! Lui dis je.

Elle ne sut quoi répondre, je lui pris le bras droit et la tira derrière moi pour l'emmener dans le bureau de son père. Je l’installais sur le siège de bureau, pour que je puise la surveiller de prêt. Je sortis mes menottes et lui attacha les deux poignets au rebords du siège. Je regardais les étagères puis Alexis avant de lui poser quel que mots.

- ... Bon ... Ils vont arriver dans 5 minutes environ ... Qu'est ce que tu en pense ?

Je lui tournis le dos et partis vers la porte pour celle-ci derrière moi. Je n'avais plus rien à perdre de laisser seul. Pendant se temps, je montais rapidement à l'étage pour y jeter un oeil. Je savais qu'il me restais très peu de temps. Je déambulais entre les pièces rapidement avant d'entendre un bruit assourdissant. Je pris mon silencieux qui était logé dans mon dos calmement et le brandit à deux mains devant moi. Je me rapprochais lentement, pas à pas de l'escalier pour observer ce qui se passait en bas. Je posais chaque pas avec une grande délicatesse pour faire le moindre bruit possible en descendant les marches. Je vis un agent de la NYPD de dos.

- NYPD ! Les mains en l’air ! Que personne ne bouge! Criait il.

Il fut surpris de trouver personnes dans l'appartement et de voir un telle désordre.
Il ne pouvait pas me voir, d'ailleurs, il n'avait pas chercher à regarder au sommet de l'escalier.

* Erreur de Débutant Petit Père ! *

Soudain, un bruit se fit entendre du bureau de Castle, l'inspecteur se dirigeait l'arme en 1er plan vers la porte du bureau et appuya sur la poignet.
Je descendis l'escalier rapidement et sans bruit et le suivi. Il ouvrit enfin la porte en grand et vis Alexis. Je me plaça lentement derrière lui.

- Alexis ! Tous va bien ?!
- RYAN ! Atten...

A ce moment je frappais l'inspecteur à la tête avec la cross de mon arme et le plaqua au sol face contre terre avec mon silencieux reposant tranquillement derrière sa nuque.

- Je pense pas qu'on vous ai invité ! Dis je.

Il n'avait pas encore vu mon visage, mais il faudra bien qu'il le voit un moment donné. Je lui fis une clé de bras pour l’immobiliser et serra celle-ci avant de lui dire.

- Vous savez pas sur qui vous êtes tombé! Dis je en lui resserrant la clé de bras.