La Deuxième Oeuvre [ Agents de la NYPD et FBI ]

L’Aude commença à montrer signe de vie, après cette nuit de rêve couleur sang. J’étais encore fière de mon entrée fracassante a N-Y.

J’avais besoin de change d’air, les victimes potentiel de L.A de mon ancienne résidence ne m’inspirais plus. New-York est Pour moi mon nouveau talent artistique, l’enjeu était de taille. Défier la Muse du plus célèbre auteur de polar et ses détectives de chocs.

Je me suis mis à rire après cette pensée. Mon talent sanguinaire va enfin avoir un adversaire de grande puissance çi l’on peut dire.

Je roulais encore et encore en quête d’inspiration. Comment ? C’est une question que je me pose très souvent depuis ma derrière œuvre d’art. Comment puis-je défier d’avantage Beckett ? Comment puis-je lui retourner un telle point l’esprit quelle ne marchera plus droit.

Je Roulais Toujours et encore, quittant le Bronx, lieu de ma naissance meurtrière à New-York. Je regardais les piétons avec une regard de Braise, des idées pleins la tête, des rêves , du divertissement.
Des Scènes se déroulent dans ma tête …

Je ne suis pas folle, je suis créative chaque artiste à une façon particulière de s’exprimer. Je ne paint pas sur toile ou sur les corps, je ne sculpte pas, je met plutôt en scène des Crimes plus ou moins réaliste.
Une Nature qui était autre fois Vivante … Le Sang … Une couleur çi vive qui m’appaise
Mais mon art est rependus de tous, mais faite de manière illogique et aucun gout…
Le sentiment de ressentir le dernier souffle est un moment Unique …
Comme le Premiers souffle dans Nouveaux Né dans un autre monde.

Je Roulais toute la journée, le soleil commence a se couché. L’obscurité commence à hanté les rues

21h15:

Je passe devant un bar encore plein, je décide de m’offrir un petit remontent. Il n’y avait plus d’une trentaine de personnes fêtant un Anniversaire, mais ces jeunes n’allait pas Tarder à Décuver dans le parc le plus proche.

Je M’installais au bar, et commanda un Verre de martini à la Gérante qui était bien seul se soir. Je patientais sagement au comptoir avec mon verre à la mains.
Elle était dépassée par le travail, la fatigue se lisait dans ses Yeux et dans les miens … Se Lisait l’avenir que j’avais soudainement fondée pour elle.
Se rade ressemblait à un vieux PUB Anglais, Table et Chaise en Acajou et le comptoir Marron Clair en bois Laqué.

Pour cette soirée peu spéciale, je me suis penché pour des vêtements plus décontracté, un Jeans Bleu Foncé et un Pull Noir a Capuche avec L‘inscription ‘’ I Love N-Y ‘’.

22h:

Les Poivrots sortent enfin du Bar, je fini ma dernière gorger retente de martini

- Excusez moi ? En Lui tendant le Verre.

Celle-ci se retourne avec un torchon a la mains droite et pris mon Verre au Meme Moment dans la mains gauche pour le Nettoyer.

- Oui Mademoiselle ? Dit-elle tout en lavant et essuyant le Verre

- Pouvez Vous me prêter votre Torchon un Instant ? Dit-Je en lui montrant du Doigts.

- Evidement ! Repris la jeune femme en me le tendant mais elle enchaîna : Mais Pourquoi Faire ?

Je mis mes Fameux gants en Cuir avant de Répondre, un petit sourire s’inscrire sur mon Visage.

- Ba… Voyez vous ( Tout en Prenant le Torchon ) baa.. Je voudrais vous tuez, mais je ne voudrais pas me salir les mains.

La Jeune femme montrât une expression d’incompréhension sur son visage et resta Immobile.

- Aa… J’allais oublier ! Repris Je : Vous êtes priée de ne Pas Crier pendant le manœuvre, ceci est agaçant et absolument inutile pour vous !

Apres se brève discours, je pris appuie sur le comptoir et frappa de mon poing droit avec force la Jeune Femme, elle tomba en se Frappant la Tête au sol.

Je descendis calmement de mon Tabouret et fit le tour du comptoir. Je pris la Jeune Femme par les cheveux.

Je l’installai face contre terre, plaça mon pied sur son dos et pendant se temps, celle-ci attrapa une bouteille de Vodka Discrètement et se retourna Violement. Je Pris son poing pour stopper l’action de révolte, mon autre mains repris ses cheveux et lui frappa avec agressivité la Tête contre le comptoir, je poussa du pied la bouteille de vodka plus Loin.

- Je ne bois pas pendant le service ! Dit-je en plaçant le Torchon autour de sa gorge.

Le Dernier souffle s’éteins enfin, une mort rapide et impeccable, je traînais son corps vers l’entrée du bar en face de la Grande Porte d’entrée, j’adossais le corps a La grande colonne de bois qui se trouais en face de l’entrée. Je me dirigeais vers les billards et pris une cannes de Jeu.

Je cassa celle-ci en 2 Morceaux, puis je me retournais prêt de la victime, souleva le corps et planta une pieux dans chaque épaules sous la Clavicule grâce au marteaux trouver sous le Comptoir et au 2 gros pieux de bois. Je Pris Une longue corde puis l’enroula autour des deux pieux de Bois.
Je fixais solidement la Corde à la grand colonne de bois pour soutenir le corps en l’air.
Ces Pieds touchais encore le sol, une femme comme moi à du déjà inventer un système de poulie enfin de m’aider a soulever le corps.
La Femme pendait dans le vide telle un Pantin, les pantins de l’époque.

Je sortis mon Fidel couteau, toujours souiller du sang du 1^er meurtre, je le posa délicatement sur la Poitrine de la jeune femme puis commença la boucherie.

Je découpais un carrée autour de son cœur pour que celui-ci sois intacte.

Je retirais la Peau et la chair du dessus pour extraire avec prudence le cœur de la victime avec mes mains gantées.

Je le plaçais le cœur dans une petite boite que j’avais préparé a mes pieds avant l’opération, après celle-ci fermé, je pris une autre boîte a mes pieds qui était fermée pour la placé toujours avec prudence dans la poitrine de la Jeune Femme. La Boîte avait les Proportion Exacte. Puis je passa le doigt sur le ventre de la Jeune Femme, pris des chaussons de laine pour Bébé dans mon sac de sport et Pris le couteaux qui se trouvais sur le barre. Je Plantais le couteaux de cuisine dans l'abdomen de La jeune Femmes.

Je tirais le Tableau Ardoise pour y inscrire les menus devant la victime. Je pris une Craie et écris de ma Plus belle écriture un message adressé a sa serveuse qui viendra demain matin faire l’ouverture. Je fis une trace de Mains avec mon gants Plein de Sang en bas du tableau.

‘’ Je Crois que tu es virée !

Heure du Décès : 22h08‘’

Je me relevais et fis face au cadavre

- Tu es morte, c’était ton heure… car je l’ai décidé. Dit je avec Fierté.

Je Pris sa mains droite et la fit reposer sur le tableau face a elle.



Avant de sortir du Bar j’en filais la capuche de mon Sweat puis je retirais mes gants de cuir et les méta à l'envers avant de les ranger dans mon sac.

Je sortais les Clé de ma voiture et partis calmement en toute Discrétion ... et partis de Manahtan.



* Tu auras du mal Beckett ... Crois Moi ... Maintenant Pensons au cas de Rebecca ! * Pensais- je .



Le cadavre passa toute la nuit a pendre sur la grande colonne de bois, ça Jeune Serveuse Intitulé Charlotte 21 ans la découvrit a l’ouverture, elle se rua sur le téléphone Pour alerter la Police

La Boîte ? Celle-ci contient le Cœur de la 1er Victime et un petit rouleau de Parchemin indiquant

‘’ La Faucheuse à encore pris une âme …( Quelle que ligne plus bas écris avec du sang de la 1ere Victime du Bronx )

Beckett arrivera tu as en épargner d’autre en m’arrêtant ? …

Pourras tu épargner à Rebecca le Malheur qui va s'abattre sur elle ...

Tu le seras Bien Assez Vite !



La Faucheuse ! ‘’

J'avais passé une très mauvaise nuit, j'étais revenue de ma mission, une balle en plein dans l'épaule gauche. Je ne pouvais aller à l’hôpital, car mon identité et ma couverture seraient compromise. Si j'étais passée par cette case j'aurais été obligé de faire un rapport au FBI. Donc, c'est pour cela que ma cuisine s'est transformée en petit cabinet médical, cela fessait plus d'une heure que j'étais plantée devant mes ustensiles. Pour une fois, je n'avais pas le courage de me retirer la balle moi même.
Décidément, c'est la zone la plus plombée de tous mon corps. La douleur n'était pas continue, je recevais comme des décharge électriques, c'étais presque insupportable. Je me tapais la tête sur la table et laissa reposer celle-ci. Je restais quel que temps ainsi en cherchant à atteindre la motivation extrême. Je me redressa et me décida enfin. Je pris un chiffon où j'avais pris soin de le torsader avant de le mordre.
La main droite tremblante, j'approchais celle-ci vers la grande pince qui pourrait me permettre d'extraire la balle de mon épaule gauche. Je la serra fortement entre mes doigts, comme si j'étais accrochée à elle, ma seul chance de survis, mais cela n'étais pas faux après tous. Je serra la mâchoire sur le chiffon et ferma le poing gauche après d'avoir déchiré le haut de mon T-Shirt. Je pris mon courage à deux mains et mis la pince dans la plaie pour rechercher la balle. Je mordis avec force le chiffon en poussant un hurlement de douleur étouffée à cause du torchon torsader que je mordais avec rage.

A force, je commençais à avoir l'habitude, mais cette balle était introuvable, je fouilla encore un peu à mon grand désespoir. Mais quel que temps plus tard,je tomba enfin sur la balle mystère, et la pinça fortement et l'extirpa rapidement dans un cri de douleur. De la transpiration perlait sur mon front. Je posa la balle sur la table, un bruit métallique résonnait dans la cuisine. Je cracha le chiffon et m’avachis lourdement sur ma chaise. Je me laissa quelles que minutes de répits avant de désinfecter et bander la plaie. Mon bandage me pris toute l'épaule ainsi que la poitrine, j'étais fière de l'avoir si bien réussis, entièrement seul. Je nettoyais également et grossièrement la pièce car j'avais semé du sang un peu partout.

Soudain le téléphone sonna et décrocha rapidement.

- Agent Dobrev !
- Bonjour Nina
- Ha ! Chef ! Que me vaut cette appelle ?
- J’espère que vous êtes en forme Dobrev ?!
- Je pète le feu ! Dis je avec enthousiasme mais en grimaçant derrière le téléphone.
- Je veux que ma meilleure équipe du FBI enquête sur le meurtre à Manhattan. C'est la même tueuse qu'au Bronx. Je vous envois les coordonnés par Message.
- Très bien j'y serais !
- Bonne Enquête !

Je raccrocha le portable et partis dans la salle de bain me débarbouiller et me changer. Je m'habilla avec difficulté. Je sortis de la pièce et me pressa pour prendre mon sac, veste et chaussure avant de sortir de mon appartement. Je poussa la porte d'entrée de l'immeuble, le bras gauche contre l'abdomen et mon l'épaule droite. Je pris mes clés de voiture et ouvris la portière avant de m'installer douloureusement. Je démarra la voiture et pris la route pour la scène de crime.
Quelle que minutes plus tard, j'arrivais enfin à destination, heureusement que je savais parfaitement conduire à une main. Je me gara prêt du bar où le meurtre à eux lieu. Il n'y avait encore personnes, aucun agents, le NYPD ne devraient pas tarder. Je mis les gants qui se trouvaient dans mon sac et poussa et pus voir directement le cadavre sous mes yeux. Je retourna rapidement à ma voiture pour poser mon sac et prendre mon téléphone. Je composa un numéro.

- ...
- Matt ! C'est Nina !
- ...
- Nous avons un meurtre, viens vite ! Et Appelle Alex' pour qu'il vienne nous rejoindre ! Lui dis je.
- ...

Je lui donna l'adresse de la scène de crime avant de raccrocher définitivement. Je retourna dans le bar et posa mon regard un peu partout. C'était évident qu'il y est eu lutte prêt du plan de travail où la serveuse vendait ses verres à consommer avec modération. Je m'approchais lentement du cadavre et le regarda de la tête au pied.

- Elle a beaucoup de créativité cette dingue ! Dis je

Je vis le tableau où une phrase humoristique était écrite, malgré l'aspect tragique de cette scène cela me fit rire. Je fis le tour du bar, et essaya de m'accroupir, mais la douleur de mon épaule me rappela à l'ordre, comme ci je venais de recevoir des dizaines de coups de poignard. Je me releva aussi sec, la main droite sur mon épaule accompagné d'un cris de douleur et me tapa la tête sur le bar avant de voir Matt.
L'Agent du FBI me dévisagea.

Je m’immobilisa et le fixa en lâchant mon épaule.

- Ha !! Matt !! Euh ! ... Ça va ?! Dis je avec un grand sourire gêné.

Ce qui est sûr, c’est que mener une double vie n’est pas de tout repos. J’ajustais la cravate de mon smoking, devant la glace de la salle de bain de ma chambre d’hôtel.
Aujourd’hui, je suis un homme d’affaire influant, puissant et riche adorant faire affaire avec de très jolies jeunes femmes. Ce qui n’est pas pour me déplaire…
Je pris ma valise contenant un peu de 15 millions de dollars en petites coupures et allumais le micro caché dans un des boutons de ma chemise pour enfin sortir de la chambre…
Je passais dans le hall et adressais un sourire charmeur à la réceptionniste. Je lui confiais les clés de ma chambre et sortis de l’hôtel.
Je montais dans ma Ferrari remplie de gadgets d’espion méga cool. Le MI6 ne lésine pas sur les moyens ce qui me permet de mener une vie de prince et je ne vais certainement pas m’en plaindre.
J’arrivais à destination : Rome. Je pénétrais dans un bar, un repaire de la mafia Italienne. Je rencontrais mon contact : Sophia Leonelli. Une jeune fille à la beauté époustouflante. Elle avait des traits fins, de longs cheveux bouclés chocolat, des yeux sombres envoutants et une taille fine à en damner un saint. Je m’approchais d’elle et lui baisais la main. Je devais garder ma couverture d’homme à femme donc je l’invitais dans un lieu plus intime pour procéder à l’échange.

En effet, je devais récupérer une clé USB contenant des données compromettantes sur le gouvernement Américain. Nous pénétrâmes dans ma seconde chambre, celle où j’avais prévu de faire l’échange et de procéder à l’arrestation de cette magnifique créature.
Ce qui n’était pas prévu, c’est que cette jeune femme n’avait pas la même conception que moi des affaires. Elle se jeta sur moi et s’empara violemment de mes lèvres dans un baiser passionné. Il fallait que me sorte de ce pétrin…
Je jouais le jeu et la poussait sur le lit et l’attachais aux barreaux du lit avec mes menottes. Voilà, au moins elle ne me posera plus de problèmes. Je m’approchais lentement d’elle et lui mis du scotch sur la bouche avant de lui susurrer à l’oreille :
- Désolé ma jolie, mais j’ai d’autres plans pour toi…
Je ne comprends pas pourquoi toutes les filles veulent me sauter de dessus... Je sais que je plais aux femmes mais il est quand même pas marqué embrassez-moi sur mon front. Et puis si j'étais si séduisant que cela, je ne serai pas amoureux d'une fille qui a déjà quelqu'un dans sa vie. Je serais avec elle.

Tout à coup, un homme cagoulé débarqua dans la chambre, une mitraillette à la main. Je levais les mains en signe de soumission. Il se dirigea vers Sophia et je profitais de sa position de faiblesse pour lui asséner un coup à l’arrière du crâne.
Encore un amateur, ce n’était même pas drôle… Je dois avoir la poisse ces temps-ci. Je l’attachais au radiateur de la salle de bain et lui mis également du scotch sur la bouche.
J’appelais Sean mon contact. Il récupéra la clé et les deux zigotos, et emmena ces derniers dans une cellule haute sécurité du gouvernement.
Je communiquais à Sean les coordonnées et les directives de la suite de la mission car je devais rentrer à New York pour ne pas griller ma couverture.
Je me changeais puis me rendais à l’aéroport pour retourner chez moi…


New York

A peine eu-je franchis le seuil de mon appartement que mon téléphone sonna. Nina m’appelais pour un nouveau meurtre. Je déposais mes valises dans le salon, changeais mes papiers d’identité et prenais ceux de Matthew Bomer ainsi que mon badge du FBI et mon arme.
Je montais dans un autre de mes supers bolides : une Mustang. Le tout dernier modèle, un vrai bijou de la technologie. Elle est amphibie et possède même un ordinateur central pouvant localiser n’importe quel agent du MI6 en quelques secondes.

Je fis un détour par le Star-Buck du coin et achetais deux cafés.
Arrivé sur la scène de crime, je saluais les deux agents devant le bâtiment et pénétrais à l’intérieur.
J’entrais dans le bar, deux cafés fumant à la main. Je me mis à observer le cadavre. Alors que je m’approchais de celui-ci, je vis Nina se relever précipitamment. Elle avait l’air de souffrir beaucoup. Je vins vers elle et c’est là qu’elle frappa sa tête contre le bar.
Je ne pus m’empêcher de la dévisager. Mais qu’est-ce qui lui prenait ? Testait-elle la solidité du bar ? Drôle d’idée tout de même ! Et puis ce serait dommage de couvrir de coups un aussi joli visage…
Elle me vit et me souriait visiblement gênée.
- Ha !! Matt !! Euh ! ... Ça va ?!
- On a fait des bêtises hier soir, boss ? Lâchais-je pour tenter de détendre l’atmosphère.
Elle marmonna quelque-chose d’incompréhensible et se dirigea à nouveau vers le cadavre. Je la suivis et lui tendit son café.
- Cela vous réveillera peut-être un plus que de vous taper la tête contre le bar. Lui dis-je en rigolant. Vous savez si vous avez des douleurs musculaires, je veux bien vous faire un petit massage. Je suis très doué avec mes mains…
Elle me lança un regard mi- amusé, mi- mauvais. Je décidais alors de changer de sujet pour éviter de m’attirer les foudres de mon agent favori.
- Des informations sur la victime ?
- Notre victime s’appelait Rebecca Stuart 22 ans,…
- En tout cas cette tarée a le mérite d’être originale ! Mais pourquoi en a-t-elle autant après le lieutenant Beckett ? Il faut la mettre sous protection.
- ...
Le cadavre n’était vraiment pas joli à voir. En tout cas, on peut dire qu’elle de l’imagination cette dingue !
C’est à ce moment que l’agent Avery décida de faire son apparition. Il nous salua et nous fis son rapport…