La Faucheuse à N-Y [Intrigue]

Cette Nuit sans Lune, Sous les Etoiles de New-York une ville où je compte fonder ma nouvelle vie …
Le Vent frais d’une Nuit sans intempéries s’engouffrais dans mes Cheveux Noir d’ébène qui se confondais avec le ciel de cette Nuit.

Le Bras au dessus de La Portière de Ma 206 Gris Métallisée, je roulais sur Une National Deserte…
Je me sentais Libre …
Un Léger sourire marqua Mon visage, j’étais perdu dans mes pensés.
Des Pensés peu banale.
Mes Yeux Fixais L’arrivé a grand pas de la Ville de New-York, je poursuivis encore ma Route jusqu’au Bronx, les quartier mal famé remplis de mafieux.
Les Lumières, les Voitures , les Passants … Mon sourire Toujours Présent.
Je Stoppais la Voiture a un feu rouge pour laisser passer une Jeune Femme sur la passage piéton.

Je Murmurais tout bas …

- New-York, c’est votre Heure … La Faucheuse est Parmi Vous ! Dis-je avec un peu d’ironie.

Le Feu reprit sa Couleur Verte Eclatante, la Voiture redémarra brusquement.
Je fis de Grand détour , pris de Nombreux Carrefour pour finalement M’arreter dans un Hotel très peu fréquenté.

J’ouvris la Portière de la Voiture, mon pied gauche Chausser de Talon aiguille a lanière d’un noir Profond Toucha le Sol .
Je sorties intégralement de La voiture vêtu d’une Longue Robe de Soirée Rouge avec un dos Nu.
Je fis le tour de la voiture pour atteindre le coffre, l’ouvris et pris un sac noir et assez Grand.
Puis dans la fouler pris une Bouteille de Champagne et deux Verres.

Puis d’un pas calme, je me dirigeais vers le Petit Hôtel de passage, empreinte L’escalier.
En Marchant je frôlais les portes du bout du Doigts comme pour choisir ma cible.
Attirer par la Chambre Numéro 7 qui était habité, je frappa a La Porte apres quelle que seconde d’atente une Jeune Homme Torse Nu m’ouvris et me Souris.

Je posa me sac a Terre, le Regarda et Lui Dit D’une Voix Tendre

- Bonsoir, je suis Nouvelle dans cette Ville … ( Le Lui fit un regard Triste ) … Et je n’ai pas les Moyens de me Louer une chambre D’hôtel. ( Je lui tendis le Champagne et les Verres ) Mais çi cela ne te dérange pas, on pourrais la Partager.

Le Jeune Homme avait environ 25 Ans, seul.
Il avait les cheveux cours et d’un bruns profond.
Celui-ci me tendit la Mains et dit avec gentillesse et toujours avec un sourire sur mon visage en me Regardant de la tête au Pied.

- Evidement… Il y a de la place pour une Jolie Jeune femme telle que toi. Dit-il en me tendant la Mains.

- Je te remercie. ( Je rentre dans la Pièce en prenant soin de reprendre mon sac et sanslui prendre la mains) Je vais me Mettre A laise dans la salle de bains, j’en ai pour une Minutes. Dis Je en retirant mes chaussures.

Je m’avançais vers la Salle de Bains avec mon sac a la Mains, je pousse la Porte de la Celle-ci fouilla dans mon Sac.
Je me Vêtu de Gant de Cuir Noir et d’une Longue Cape et Capuche en Sois.
Je sortis de la salle de Bain en m’avançant vers le Lit et la table de Chevet ou le Champagne avait été Déposé avant mon entrer dans la salle de Bain.
Je Pris un des Verres, me Retourna vers l’homme qui s’été Installer sur le Lit.
Je m’avançait vers lui prudemment…
- Quelle est Ton Nom ? Dit Il en Me fixant.
- Un Nom Peu Commun … Lui Répondis Je.
- Mmhh… Tu es Bien Mystérieuse Murmura-t-il
- Et toi tu seras Un mystère Pour tous! Répondis Je avec de l’ironie.

L’homme avait une expression d’ incompréhension sur son Visage.

- Tu vas très Vite le comprendre. Dis Je avec Un Grand Sourire.
Je commençais a L’embrasser Langoureusement quand pendant se temps je brisais le Verre sur le Bord du Lit.
- Tu es Un peu Maladroite Dit Il, suivit de quelle que rire.
Je Lui souris

- Non Pas du Tout ! Dis Je en Lui plaçant le Verre Briser sous la Gorge.Maintenant, ( En lui souriant ) Viens avec Moi.
Le Jeune Homme Me suivit dans la Pièce, je lui dis de s’allonger sur le sol, Il prit cette action pour un jeu et s’exécute.

- C’est fou comment les Hommes S’on Bête ! Dit Je en rigolant.
Au Même Moment je posa le verre a Terre mis ma mains sur sa bouche pour lui signaler de se taire, pendant je sortis a couteaux attacher grâce a une lanière placé sur ma Cuisse.
D’un Geste Vif, lui planta dans le cœur avec violence sans peur de me salir les mains, son Visage , son Regard exprimais la terreur et surtout sa naïveté .
Le Cœur dans son Torse, je le tenais Fermement en Attendant son Dernier Souffle qui Fu presque Instantané.
Ma Tunique et mes Gants Etaient toujours impeccable… Mais Pas pour longtemps.

- Ton Heure était Venu … car je l’ai décidé. Dis Je a son Cadavre en souriant.

Apres le Travail achevé… la Pièce impeccable pour effacer ma présence, la bouteille reprise par mes soins, les verres …

Le corps était la devant le Lit, au milieu de la pièce.
Le Cœur de la Victime avait été Retirer, a la place de celui-ci, un rouleau de parchemin avait été Placé avec soin.
Celui-ci indiquait ‘’ New-York, La Faucheuse est Parmi vous’’

Le Cœur se Trouvait nulle part, l’arme du Crime Inexistante …

En Ressortant de La chambre toujours vêtu de mes gants de cuirs plein de sang …
J’essuie ma mains volontairement sur la porte, celle-ci laissa une grande traîner de sang derriere elle.
Sur La Porte on pouvait Lire un message écris avec du sang.

‘’ Beckett ! Police de New-York ‘’

Un message volontaire, qui seras trouvée au Petit Matin Par le Gérant.
Je Montais dans ma voiture avec toute mes Affaires en plus d’une boite mystérieuse.
Toujours avec un sourire aux Lèvres.

Je Repris la Route et Dis Je :

- Au Suivant !

Ancienne Kate :

Je dormais bien tranquillement au fond de mon lit avec la couverture remontait jusque sous le menton quand une sonnerie de téléphone retentit dans la chambre. Je poussais un grognement de frustration et enfoui ma tête sous l'oreiller. Au bout de deux minute la sonnerie s'arrêta, je poussais un soupir de soulagement et repartit dans les bras de mon ami Morphée. Malheureusement pour moi le téléphone et son complice on décidaient de revenir a l'attaque.

- Non mais c'est pas possible a la fin ! On peut pas dormir en paix dans cette ville !

Je sortit ma tête de dessous l'oreiller et pris mon téléphone pour criait sur la personne qui haussait me réveillait un dimanche matin. Quel ne fut pas ma surprise quand je vis le correspondant, celui même qui m'avait obliger a restait chez moi.

- Capitaine ?
- Désoler de vous réveillait lieutenant mais on a besoin de vous.
- Maintenant ? Je vous rappelle qui c'est vous qui m'avait forcer a restait j'ai moi.
- Oh oui ! Je m'en rappelle très bien, il a fallut que je menace de vous suspendre pour que vous acceptait.

Moi aussi je m'en rappelais très bien, il avait fallu une heure au capitaine pour me faire entendre raison. Grâce a une menace soi disant passant.

- Que puis je pour vous ?
- On a un eu un meurtre dans lequel on a besoin de vous.
- Pourquoi ? L'équipe du dimanche ne peu pas s'en charger ?
- Malheureusement non, ils sont pris sur une autre affaire.
- Bien, ou dois je allait ?
- A l'hôtel « Grand voyage « dans le Bronx.
- Bien je préviens l'équipe et j'arrive.
- Merci lieutenant.

Une fois que le capitaine est raccrochait je tapais vite fait un texto a toute l'équipe. Esposito, Lanie et Ryan. Une fois le message envoyer, je cherchais un contacte en particulier dans mon répertoire. Une fois le contacte trouver je lançais la communication en appuyant sur le téléphone vert. Au bout de trois sonnerie une voix endormit me répondit.

- Castle …
- Allez debout l'écrivain on a un meurtre.
- Beckett ?
- Non c'est le pape ! Bien sure que c'est moi, bon vous venez oui ou non ?
- Sa ce passe ou ?
- A l'hôtel « Grand voyage « dans le Bronx.
- Bien je vous retrouve la bas.

Je raccrochais puis me levais en directions de mon dressing. Une fois devant celui ci je pris un jean de couleur bleus, une chemise blanche avec des manches courte, des sous vêtement blanc, une veste de cuir noir et pour finir le tout des talons noir. Une fois les vêtement en main je pris la direction de ma salle de bains pour prendre une douche bien froide qui me réveillera surement. Une fois habiller, bien coiffer et un peu maquillait je retournais dans ma chambre pour enfiler la montre de mon père et le collier avec la bague de ma mère. Puis j'accrochais a ma ceinture mon arme, mon badge et mes menottes. Une fois prête je jetais un dernier coup d'oeil dans le miroirs de mon entrez, pris mes clés de voiture même si j'aurais préférait prendre celle de ma moto et sortit de chez moi en pensant a bien fermer mon sanctuaire. Direction ma voiture, une fois dans celle ci je mis le contacte, la radio et pour finir le gyrophare en marche.

Une demi heure me suffit pour arriver sur les lieux du crimes, qu'elle fut pas ma surprise quand je vis la voiture du capitaine ainsi que cinq voiture de police. Je me garais, sortit de ma voiture et me dirigeais vers le policier en uniforme qui gardait l'entrez de l'immeuble. Une fois mon badge montrait, il me souleva le ruban jaune et me laissa entrez.
Une fois a l'intérieur je pue voir que mes collègues était déjà au travaille. Esposito parlait a un homme d'une cinquantaine d'année qui semblait très bouleversait. Il devait s'agir de gérant. Quand a Ryan lui parlait avec des policier en uniformes, quand il me vit il se dirigea vers moi.

- Salut patron !
- Salut Ryan !
- Bon je te fais le topo. Esposito interroge le gérant, c'est lui qui a trouvait le corps. Lanie est la haut a coter du cadavres quand a moi je vais interroger les autres locataires.
- Bien ! C'est ou ?
- Premier étage, chambre 7.
- Ok , a tous a l'heure.
- Ah et une dernier chose, j’espère que tu as le cœur bien accrocher.

Ryan partit en me lançant cette phrase qui me disait rien de bon. Je me dirigeais donc vers l'étage ou plusieurs policier en uniformes empêchait les gens de sortir de leur chambres. Une fois devant la chambre je comprit enfin pourquoi Ryan m'avait lancer cette phrase.
Juste devant moi sur la porte, était écrit mon nom avec du sang. Une frisson me parcourue l'échine mais je me reprenais vite car j'avais du boulot. Je me dirigea donc vers Lanie qui inspectait le corps.

- Bonjours Lanie, tu as quoi pour moi ?
- Salut Kate. Alors, il s'agit de Christopher Jackson. Homme de 25 ans cheveux court bruns en très bonne santer. Il aurait put vivre longtemps si on ne lui avait pas enlever une chose importante.

En effet je pue remarquer que sur sa poitrine ce trouvait un trou béant dans lequel se trouver un parchemins. Tous en mettant mes gants je répondis.

- On lui as arracher le cœur ?!
- En effet, on l'a même remplacer par un petit mots. J'attendais que tu arrive car j'en déduis a ce qui as sur la porte que ce message était pour toi.

Je regarda Lanie puis prit le parchemins et l'ouvrit, voyant Esposito et Castle rentrez je lis a voix haute le message.

- New-York, La Faucheuse est Parmi vous
- Houla sa fait froid dans le dos.

Tous le monde était du même avis que Castle. Lanie et mes collègues me regarder avec un air inquiet et je comprenais pourquoi. Un autre fous venez d'arriver en ville et c'est avec moi qu'il avait décidait de jouer. Me reprenant je me levais et mis le parchemins dans une poche en plastique.

- Esposito tu donnera sa aux scientifique qu'il cherche des empreintes ainsi que dans toute la pièces . Mais au faite comment ce fait t'il qu'il n'y a pas plus de sang ici.
- La pièce a était nettoyer de fond en comble, aucune empreintes, pas trace d'ADN, rien !
- Et les vidéo de surveillance ?
- Il y en a aucune.
- Vous voulez me faire croire qu'on a rien sur la personne qui a fait cela !

Le silence qui fit place dans la salle voulait tout dire. On avait un fous dans la ville est rien pour l'identifier. Je sentais que cette affaire aller me rendre folle.

J'étais debout depuis l'aube, pour pratiquer mon petit jogging du matin. Bon j'avoue... courir à 4h du Matin il y a quoi être fou, mais je n'arrivais pas à m'endormir. Je pensais à des tas de chose pendant ma course folle, sur moi et mon entourage, la vie est ci différente ici à New-York, qu'il me faudra un léger temps d’adaptation.

6h45 :

J’atteins enfin mon appartement et puis fouilla mes poches pour rechercher mes clés, quelle que minutes plus tard ma porte s'ouvre enfin.
Je jeta mes chaussures à l'entrée, suivit de mon sac. Tout en me dirigeant vers la salle de bains, je retirais mon T-Shirt, ainsi que mon pantalon.
Une fois dans la salle de bain, je laissa couler l'eau de la douche avant de me glisser sous cette pluie d'eau brûlante.
Je laissais celle-ci couler sur mon visage, tout en remettant mes cheveux vers l’arrière, je baissa la tête, plaqua une mains contre le mur et laissa l'eau ruisseler sur mon dos pour essayer de me détendre. Je ne savais pas ce qui clochais chez moi aujourd'hui ...
Après de mettre laver énergiquement les chevaux et d'avoir rincer et éliminée la mousse qui parsemait mon corps, je sortis enfin de la douche.
Un frisson parcourut mon corps avant de prendre la serviette qui se trouvait sur le lavabo et me la mettre autour de la taille.
J'ouvris le tiroir de la salle de bains et pris une brosse à cheveux et me les démêla.
Soudain, mon portable sonna, je ne réagissais pas tous de suite qu'il agissait mon portable.
Je courus à travers l'appartement à la recherche de mon téléphone, tout en tenant la serviette au niveau de ma poitrine.
Enfin, je mis la mains sur mon portable et décrocha.

- Atwell ? J'écoute ?
- Lieutenant, nous avons un meurtre dans le Bronx, Beckett et son équipe vous y attend ...
- On a pas besoin de moi ci l’équipe de Kate est déjà sur le terrain !?
- Quand vous verrez la scène de crime, vous comprendrez Lieutenant Atwell ...
- Bon ! D'accord je me prépare et j'arrive ...

Je nota les coordonnées avant de raccrocher mon portable un peu énervée ...
Je me sécha les cheveux et me maquilla avant de me diriger vers mon armoire.
J'enfila un Slim noir avec un débardeur rouge et une fine veste en cuir noir.
Je pris mon sac et enfila mes Talon.
Je traversa le salon pour récupérer ma plaque que j’accrochai à ma ceinture et mon arme que je plaça dans mon dos.
Je sortis de mon appartement et me précipita sur le lieu du crime avec ma voiture.
Sur la route, je pris mon portable et appela l'inspecteur Keller pour quelle me rejoigne sur le lieu du crime.
Enfin arrivée à destination, je garais ma voiture prêt de celle de Kate et en descendis.
Je me dirigeais vers les policier qui gardais la scène de crime et leur montra ma plaque et en leur disant mon identité.
Je vis quelle que inspecteur au loin et m'approcha d'eux.

- Ou se trouve la scène de crime ? Lançais je.
- A L'étage ... chambre 7 ...

Je me précipita vers la chambre 7 à la recherche de Kate et tomba nez à nez avec la porte de la chambre ensanglanter du nom du Lieutenant Beckett. J'étais scotché de voir une tel chose, je mis mes gants au même moment puis poussa la porte.
Je vis l’équipe de Beckett ainsi que Castle dans la pièce, un silence de mort reniait dans la pièce.
Je m'approcha lentement, le bruit de mes talons résonnaient dans la chambre.

- Kate ? ... Lançais je tous doucement avant de tourner le regard vers le cadavre et m'accroupir à ses cotés, une pochette de preuve se glissa sous mes yeux, c'etait Beckett qui me tendit le parchemin qui se trouvait sur le corps pour que j'en prenne connaissance.
Je le lu rapidement et le tandis à un inspecteur qui le mit avec les autres preuves.

- ... Il ... Commençais je suivis d'un soupir ... Il faut te mettre sous protection Kate ! Finissage en me relavant et en la fixant.

Exposito et moi nous rendîmes devant l’hôtel. Une patrouille encerclait déjà le périmètre.

Nous entrions dans le hall et nous demandions à l’officier se trouvant déjà sur les lieux de nous indiquer la scène de crime.

Nous nous rendions jusqu’à la chambre. La chambre 7.

Ce que je vis sur la porte me fit froid dans le dos. Il était écrit, sans doute avec le sang de la victime : "Beckett ! Police de New-York"
Quelqu’un en voulais à notre boss et cela ne me plaisais pas du tout…

Javier entra en premier dans la pièce. L’équipe de légistes étaient déjà sur les lieux. Nous approchions de Lanie et je lui demandais quelques informations.

-Salut Lanie ! Qu’est-ce qu’on a ?

Je m’approchais du corps de la victime. Elle avait un trou immense dans le thorax. A la place du cœur plus précisément. Et à l’intérieur se trouvait un parchemin.

A cette constatation je faillis vider le contenu de mon estomac sur la moquette.*

- Christopher Jackson, 25 ans. On lui a tout bonnement arraché le cœur, le pauvre.

- Pourquoi il n’y a pas de sang ? A part sur la porte, je veux dire.

- Le tueur est un pro. Il a tout nettoyé de fond en comble.

- Et le parchemin tu le laisses à l’intérieur ? Demandais-je surpris.

-J’attends que Beckett soit là comme c’est surement à elle que le mot est adressé.

- Je vais aller voir si des caméras de surveillances ont filmées notre tueur. Dis-je bien heureux de pouvoir prendre l’air.

Une trentaine de minutes de recherches infructueuses plus tard, je retournais sur la scène de crime pour voir si nous avions de nouvelles informations…

J'aurais Temps aimé voir Beckett et son equipe de choc sur la scene du crime.
Mais malheuresement, le secteur est trop surveiller, je m'enfuis discretement pour rejoindre Mannathan Le Lendemain Matin.
Mais Avant de partir ...

Sans me faire remarquer, je coinssa une lettre derriere l'essuie-glace de la voiture de Beckett.
Puis Repris Tranquilement le Route sans me faire Prendre ...


- Je vais enfin Pouvoir Passer au Suivant !

Lettre:

'' Bonne Enquete Beckett,
J'aurais aimer t'observer d'avantage mais j'ai été obligé de partir
Cherche pas a me retrouver dans le Bronx Je suis proche de Manathann
En Esperant que Le Beau Gosses D'ecrivain ne te derange pas trop
Je vais T'aider, ce qui va être la seul fois evidement ...
Je suis Une Femme, une meurtriere ...
Une Artiste et tu vas faire partis de mes oeuvres indirectement

Je te defis Beckett !
Tu vas t'en mordre les doigts comme Jamais
Arrête Moi ou sinon mon Prochain Meurtre A Manathann seras Réelle
Malheuresement ... pour toi ...

Signé : La Faucheuse ''

C'étais le début de mon règne et de mon empire de peur !

Le tue-repos, c’est comme ça que Javier appelais sont téléphone pour le moment, et oui encore une fois celui-ci sonnait alors qu’il venait juste de s’endormir après des heures et des heures à se retourner dans son lit.

- Esposito j’écoute… répondit-il d’une voix endormie en décrochant.
- …
- J’arrive tout de suite ! dit-il avant de raccrocher

Le bel hispanique sortit de son lit et se dirigea vers la salle de bain, il se rasa et pris une bonne douche froide pour bien se réveiller et être d’attaque pour la journée ! une fois essuyer il ouvrit sa garde de robe, il resta planter la pendant 2 bonnes minutes à contempler ces habits, puis il sortir un polo gris légèrement délavé et un vieux jeans en se disant qu’il faudrait songer à aller faire les magasin mais rien que cette idée le dégouta, il s’habilla en vitesse mis des chaussures et attrapa les clefs de sa voiture.

Arrivé dans la rue il monta dans son magnifique taco et pris la direction du Bronx heureusement pour sa bonne humeur (retrouver juste après la douche) le trafic était plus au moins fluide pour une matinée, 20 minutes lui suffire pour arriver à destination, le reste de l’équipe n’était pas encore arrive, mais le temps de sortir de sa voiture, Kevin son co-équipier et meilleur ami arrivait.

Ils se dirigèrent vers les autres policiers pour avoir les premiers éléments de l’enquête.

Ils avaient commencé à interroger le propriétaire et chercher des témoins en attendant Beckett, et une fois qu’elle fit sur place ils montèrent voir la scène de crime

…UN PEU PLUS TARD…

Esposito se dirigea vers la fenêtre, il voulait prendre l’air, ce corps avec ce trou béant à la place du cœur et ces lettres de sang sur la porte, brrr. Ça lui faisait froid dans le dos, pourtant il en avait vu des corps dans sa carrière. Peut-être qu’en voyant le nom de son chef sur cette porte lui faisait penser qu’il était lui aussi concerner. En arrivant à la fenêtre il l’ouvrit et respira un grand coup. Cette bouffée d’air frais lui fit le plus grand bien, il regarda les agents poster tout autour de l’hôtel, il avait l’air de s’ennuyer, mais pour une fois Esposito aurait bien aimé être à leur place. En relevant le regard il vit un papier virevolter sur le pare-brise d’une voiture, en y faisant un peu plus attention il remarqua que c’était la voiture de Beckett.
- Beckett, soit tu as une amende, soit quelqu’un t’as laissé un message… Dit-il à sa chef en la regardant.
- De quoi tu parles ?? Lui répondit-elle
- Regarde là-bas. Dit le charmant hispanique en montrant du doigt la voiture de Beckett par la fenêtre.