J’observait la petite cellule dans laquelle je me trouvait, j’avais était shooté par plusieurs dose de médicament car je ne sentais rien et avait du mal a bouger, pour m’asseoir il m’avait bien fallut 20 minutes et la tête commençait a me tourner, mais comment avais-je put en arriver la ? Ou avait était mon erreur ? Comment le F.B.I avait t’il put me retrouver aussi facilement, normalement il ne sont même pas au courant de ma présence en ville, n’ayant rien encore entrepris ici… Quand ont il eut une longueur d’avance sur moi ? Ou peut être ne l’avait il jamais eut .. Maintenant que j’y repensais la fille semblait bien résister a la douleur, avait elle subit un entraînement ? Je le pense car personne n’aurait put survivre aussi longtemps ! J’étais en colère contre moi même de ne pas avoir pris le temps de me renseigner suffisamment sur elle… Ce coup de colère m’avait mis dans un pétrin incroyable.
J’avais les mains et les pieds attacher quand un garde vient me tiré de ma cellule, je tenais a peine debout, et le fait de marcher avec ma jambe gauche me lançais des fourmis dans toute la jambe et c’est la que je me rappela le coup de feu et de couteau dans celle-ci, je baissés alors la tête et vis un bandage autour de me cuisse et mon mollet. Mes cotes commençais a me lancer, ma mâchoire aussi, il n’avait pas du me la casser mais surment légèrement la décalée. Moi aussi j’avais du lui assenait quelques coups bien porter voir ces cotes et sa mâchoire, mais aussi son nez, et son arcade. En traversant les couloirs, je me vis dans une glace, j’étais en piteuse état, il me restait encore du sang séché sur le visage, mes cheveux était complètement en bataille et mon visage était complètement tuméfiais.
L’on m’installa dans une pièce plus petite avec un bureau et deux chaise, une de chaque coté, ceci devais surment être la salle d’interrogatoire, l’on me passa les bras dans le dossier de la chaise et l’on resserra mes menottes plus que nécessaire et l’on m’attacha les pieds aux pieds avant de la chaise, de façon surment a s’assurai que je ne tenterais rien quand mes calmants ne ferons plus effet. J’étais la a attendre, je ruminais toute ma rage envers ces personne, mais ne laissa transparaître qu’un sifflement d’un aire de Chopin. Je savais qu’ils m’observait derrière la vitre opaque en face de moi. Ils me voyais et je ne les voyaient pas. Quand cela fis bien une trentaine de minutes que j’étais assis la, ce qu’ils m’avaient donner contre la douleur c’était dissiper, mais je restais tout de même bien engourdi, j’avais plusieurs douleur aux niveau de l’abdomen et du visage assez bénigne, j’avais l’habitude de ce genre de blessure, mais celle qui me lançait le plus était celle que j’avais a la jambe, étant complètement mal caler avec celle-ci, sa me tirais le muscle toucher par cette foutu balle.
Quand la porte s’ouvrit enfin, je ne m’arrêta pas de siffler toujours ce même aire, et je vis entré le prince charmant de mon ancienne demoiselle en détresse qui devait être dans un piteuse état. Le prince semblait mal au point lui aussi, avec le visage gonfler, et le nez violacé mais aussi l’on voyait a sa démarche que j’avais réussi a lui casser une ou deux cotes. Je voyais très bien qu’il n’avait qu’une seule c’était de me tuer et d’aller rejoindre sa princesse, mais ces supérieure voulait surment savoir si je lui avait dit vrai, si j’était vraiment l’ange de la mort, car ceci serais plus qu’une grosse prise pour eux, car mes œuvres sont connue internationalement, je fait parti des tête d’affiche rechercher. J’attendis alors qu’il commence sont interrogatoire, mais qu’il ne compte pas sur ma coopération, certes je suis pris au piège ici, mais je ne dirais rien même sous la pire des tortures, aucun sons a part mon sifflement de la 5émre symphonie de Mozart ne sortira de ma bouche… Ou sinon je voie très bien comment retourné la situation en ma faveur et peut être m’en sortir, tout en continuant de siffloté un petit sourire ce dessina légèrement sur mon visage a la pensée que je venais d’avoir. Finalement la journée ne serais pas aussi pourrie qu’elle ne s’annonçait…
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