Premier meurtre pour Ian in New York ce situ aprés son arrestation (équipe Winchester)

La lune traversait pour quelques fin rayons les rideaux, il était a peines 2h30. Je me mis alors à la mise en œuvre de mon tableau pour que la police et les médias puissent admirer ma création, bien entendu, j’ajoutais ma signature personnelle sur le bras droit de cette jolie blondes  aux boucles d’or.

(Note de l’auteur: le I est en écriture calligraphique)

Et ajouta une petite surprise à l’ intention de Nina et son prince charmant,

« Cela ne fait que commencer et je te retrouverais Nina, tes proches sont les prochains »

Et je glissai une photo de la petite Lara dans sa chambre endormi avec mon coteau au dessus d’elle.

Je sortis de le chambre pour aller dans la seconde , ou j’avais tout installer, un décor parfait, un lit de dentelle ou je laissais reposé le corps de la jeune fille, que j’avais tout de même laver et  habiller d’une robe de dentelles blanche, qui recouvrait l’intégralité de son corps juste ces bras étaient nues, je l’installa de façon a ce qu’elle est l’aire paisiblement endormie malgré ces marques.  Je regardais alors pour la dernière fois cette pièce recouvert d’un magnifique papier peint blanc cassé, d’étagère blanche sur les murs remplit de poupée de cire d’anciennes années, la chambre ressemblait a celle d’une jeune fille de haute bourgeoisie des années 1800. Je refermai la porte, prit le temps de regarder avec un aire nostalgique cette porte, repensant a mon père qui aurait était fière de moi  et repartis vers ma voiture. Je laissais le soin aux femmes de chambre de trouvaient mon œuvre. Ma première scène ici a N-Y …. Ha que j’étais impatient de raconter toute ma mise en scène a Arya !!!

Flash Back :
23H50 la veille- Quoi de beau au pays du rêves nocturne ? Moi je trouve que tout ceci n’est qu’une blague éternelle, seul le temps nous en dira plus. Ce soir rien ne m’importais plus que de savoir qui elle était et pourquoi elle était la. Jeune fille isolée au cœur de cette grande pomme, la nuit risquerait d’être longue pour cette petite princesse. Je l’observai au loin, assis sur le rebord d’un petit muret à peine éclairé, la pluie me tomber le long des cheveux, des gouttes ruisselaient sur mon visage, les nuages assombrissaient le ciel. Je ne savais pas vraiment ce que j’allais faire, en voyant cette jolie fille je m’étais dit qu’elle aurait put être une œuvre splendide, mais une mélancolie passagère m’empêcha d’aller plus loin que l’observation. Mon père, me manquait, cela faisait long temps que je ne lui avais pas fait honneur en réalisant un meurs avec une jolie mise en scène et un beau décor pour valoriser ma cible… La pluie ne me gênait pas vraiment, elle ne faisait qu’un contacte frais sur ma peau, j’avais le tee-shirt trempé jusqu’au os. Peut être prendrais-je un rhum ? Cela me fis rire, seul la maladie pourrait retarder mes plans, rien n’y personne ne pourra m’arrêter, je métrais cette ville sous la terreur, le désespoir, la peur et le frisson.

La demoiselle s’arrêta pour refaire un de ces lacet, c’est alors que je sortis un mouchoir imprégniez de produit soporifique pour qu’elle parte aux pays des rêves, je la surpris par derrière et plaqua ma main sur le devant de son visage m’assurant de recouvrir son nez et sa bouche, elle ce débâtit et me mit un grand coup dans les cotes mais je ne lâchai qu’un grognement de haine, et la garda entre mes bras et attendit quelques secondes qu’elle tombe dans les vapes. Je la passai sur mes épaules en sac a patate, je me mis alors en route vers ma voiture qui ne ce trouvait pas si éloignait de nous. Quand enfin je la vis, je constatai que deux personnes la regardait de très prés, ceci était le problème avec les voitures de sports c’est qu’elles attirent l’œil, mais il me fallait absolument rester discret pour ne pas me faire repérais, alors je rabattis la capuche de mon pull, me redressa, sortis les clés de ma poches et me mis a courir jusque ma voiture, poussa un des jeunes hommes qui se trouvait trop prés de ma portière arrière, y déposa la jeune fille, referma celle-ci et me mis en direction de l’avant de mon véhicule , mais la personne que j’avais bousculé me prit par l’épaule, et un reflex naturel me fit décrocher une droite directe vers son visage, qui le mit a terre. C’est alors que le second me barra la route.

« Ian, ne tue pas ces personnes, tu a une demoiselle qui t’attend, tu n’aurais pas le temps de prendre du plaisir » me dicta ma conscience.

Mais il était trop tar, j’avais déjà sortit  le couteau qui ce trouvait dans ma poche pour le planter en pleins cœur de mon adversaire avec une grande rapidité une excellente agilité. Je ne pouvais laisser de témoins, alors je me retournai pour tuer les second, mais celui-ci était déjà trop loin jamais je ne pourrais le rattraper même en courant aussi vite qu’un guépard…

« Mince, heureusement pour moi, il n’a pas vu mon visage »

J’observais l’homme a terre, il devait avoir la vingtaine, ces yeux noir grand ouvert reflétait sa terreur envers mon acte, il était allonger d’une façon complètement stupide, le sang couler et ce mélanger avec l’eau sur le trottoir, je restais des plus calme, pas de panique, ceci n’était pas le moment pour cela… dé fois je me demande si je réfléchis … Mais je n’avais pas le temps de trainer alors je laissa cette personne ici, il m’aurait encombrer plus qu’autre chose mais tout de même avant de partir, je ressortis mon couteau que j’avais ranger, découvris son bras et y grava alors ma signature, car tout meurtre même inutile mérite d’être revendiquait.
Je pris la route vers deux chambres d’hôtel que j’avais loué sous un faux nom, et  la aussi personne ne m’avait jamais vu y entré alors que ceci était complément faux, j’avais déjà préparé tout mon décor pour mon art, mais la seconde était une complètement recouverte de papier plastique avec une grande tables d’acier avec des attache pour y installé mon inviter, et de multiples instruments y étaient disposé sur un plateau roulent sur le coté de la pièce.

J’arrivais a destination, prit ma belle aux bois dormant dans mes bras, monta les escaliers, ouvrit la chambre et la déposa sur la table, je pris soin de la déshabiller, et de bien attacher ces liens et de les serrés a fond, ceci lui laisserait surement des marques. Je lui enfonçai un chiffon dans la bouche pour ne pas l’entendre crier trop fort et risquer de réveiller les voisins.
Je m’assis alors sur le rebord de la table l’observant jusque son réveil qui ne devrait plu trop tarder…

Quelques instants plus tard la jeune fille sortis de son sommeil.

- Bonsoir, charmante demoiselle, ne cherchez pas à vous enfuir, ceci ne servirait à rien. Je me présente Ian, ce soir je vous ais choisis vous car je vous trouve ravissante et que vous irez parfaitement pour ceux a quoi je m’attends pour ma futur œuvre.

Je descendis de la table, lui caressant le visage, elle détourna sa tête, ceci me fis sourire, je  pris un couteau sur ma petite table, et le pointa sur son visage.

- Ne résiste pas, ou tu en souffriras encore plus ma petite.

C’est alors que j’effleurai le long de son cou avec la pointe ce qui la fit frémir, elle tenta de bouger les mains et les jambes mais les liens la retenaient. Je descendis ma pointe le long de ces épaules, continua ma route jusque sa poitrine où je m’arrêtai pour la fixais droit dans les yeux, elle était complètement terroriser et en même temps elle ne savait plus où ce mettre, je pense qu’être nue devant un inconnue doit y être pour quelque chose.

Bien il était temps pour moi de passais aux choses sérieuse et de m’amuser un peu avec cette créature. Je souriais de plus belle, ce qui affolât ma proie qui ce débattait de toute ces forces, les liens devaient lui entailler les poignets, mais elle continuait tout de même alors que je n’avais encore rien fait a son corps. Pauvre bête…

Je l’observais d’un regard de prédateur pré a sauter sur sa proie, j’avais faim, non pas d’une faim de nourriture, j’avais une faim de sang, de plaisir, car oui, je prend beaucoup de plaisir a faire ce que je fait, et c’est pour cela que je le fait, j’aime voir les gens souffrir, j’aime les entendre crié, j’aime les entendre me supplier, j’aime voir le sang couler le long de leur corps.
Ma petite princesse allée enfin pouvoir s’affoler pour quelque chose, ma lame fine fendit un trait épais et rouge sur son ventre tel une ouverture d’opération chirurgicale.  Puis laissa ceci ouvert pour faire une nouvelle incision dans sont avant bras gauche, je posai ma lame pour récupéré une pince avec laquelle je sectionnai  un ligament malgré le chiffon dans sa bouche ces hurlement de douleur était tout de même assez brouillant je n’allais pas bâcler mon travaille mais celui-ci serait rapide, il ne durerait pas plus de 30 minutes de torture ce qui n’était rien.  Sans nul doute que pour elle ceci durerait une éternité…

Puis ne trouvant pas la couleur de ces yeux parfaite pour ma scène je décidai de les lui retiraient. Posant mon instrument je pris une petite cuillère, mais avant pris un masque de médecin et des lunettes de protection car le sang allait gicler de partout, je posai une main qui maintenait son œil et enfonçai la cuillère a l’intérieur du premier, il y ut résistance mais la cuillère finit par rentré, je fis comme si je prenais une boule de glace et le retira, j’us des difficultés mais je coupai la rétine avec un ciseau proche. Je fis la même opération pour le second. Ma princesse ce secouait dans tout les sens et son sang couler par ces yeux son ventre et son bras, elle n’allait plus tarder a ce vider.

Je repris ma lame et ouvris plus mon incision dans son ventre pour atteindre sa poitrine, je ne la fis pas trop profonde et écartai sa peau avec deux pinces de chirurgie. Je pris un scalpel, pendant ce temps l’hémorragie finissait d’achevé ma victime, c’est alors que pour abréger ces souffrance, je lui perforai le poumon droit et lui découpa le cœur de la même façon que l’aurais fait un vrai chirurgien. Je refermai son corps en plusieurs points de couture aussi bien réussi, l’on aurait put me confondre avec un vrai médecin, si je n’avais pas fait artiste j’aurais surement pris ce chemin…
Voulant continuer de la vider, j’entrepris de lui ouvrir sa cuisse gauche et son mollet droit, lui déchiqueta l’intérieur comme si un loup était venu ce rassasiait...

Retour présent :

Je venais de finir de nettoyer la deuxième chambre, il ne restait plus aucune trace de mon passage, pas une seule trace d’ADN pour prouvait ma venue, la seul a laquelle l’ont pouvait savoir que j’étais venu sur place était par ma signature sur le corps de ma princesse car aillant fait ma réservation sur internet et aillant fait attention aux caméras, il n’y avait aucune trace de moi nulle part.

J’étais installé sur un banc en face, j’avais mis mon pull a capuche qui me recouvrait le visage, j’attendais ce cris strident d’une femme qui ne tarderait surement pas a découvrir mon œuvre … et quand j’entendis enfin ce sons merveilleux je ne pus m’empêcher de sourire a pleine dents, je me leva et partie dans la pénombre des ruelles pour rejoindre mon véhicule et lança comme pour moi-même.

- New York ma voila enfin …